« L’enfer des vivants n’est pas chose à venir, s’il y en a un, c’est celui qui est déjà là, l’enfer que nous habitons tous les jours, que nous formons d’être ensemble. Il y a deux façons de ne pas en souffrir. La première réussit aisément à la plupart : accepter l’enfer, en devenir une part au point de ne plus le voir. La seconde est risquée et elle demande une attention, un apprentissage, continuel : chercher et savoir reconnaitre qui et quoi, au milieu de l’enfer, n’est pas l’enfer et le faire durer, et lui faire de la place ». Italo Calvino, Les Villes Invisibles (1991).
A peine sorti de la salle, me prend l'envie d'écrire une critique sur ce film. Chose peu singulière vu que c'est ma première sur sens critique. Mais ce film là mérite qu'on prenne le temps d'écrire...