Critiques de Business Blues - Largo Winch, tome 4

Play-It-Again-Seb
6

Le petit blues du businessman

Véritable thriller financier, cet opus fait directement suite à O.P.A. puisque la saga ne fonctionne que sur des diptyques. Le premier épisode consistait à une mise en place précise d'une intrigue...

Par

le 10 févr. 2023

8 j'aime

3

lhomme-grenouille
6

De la grosse ficelle. Mais de la ficelle solide…

Petite note d'avant-propos : désolé pour celles et ceux qui chercheraient à parcourir mes critiques de la saga Largo Winch en les lisant les unes à la suite des autres. Pour des raisons que j'ignore...

le 18 août 2021

3 j'aime

mavhoc
6

Too much

A la suite de l'OPA, les ennuies de Largo commencent réellement. Evidemment, comme il l'avait senti, cette affaire était loin d'en être une et le voilà, lui, pratiquement sur la paille, risquant de...

le 22 avr. 2017

1 j'aime

Wor
6

Critique de par Wor

Suite directe du tome précédent, cette affaire d'OPA va trouver une résolution ici. Ce n'est pas toujours crédible, cette surenchère d'évènements et de retournements de situations, c'est un peu gros...

Par

le 22 avr. 2022

Loki_Asgarder
6

Critique de par Loki Asgarder

Le tome précédent (O.P.A.) était si dense en informations qu'une page de résumé est nécessaire. Rappelez-vous : la mort d'un actionnaire de la Fenico donne à Cochrane et Sullivan, les numéros deux et...

le 1 juin 2023

EricDebarnot
6

Excès d'invraisemblances

"Business Blues" déploye donc l'intrigue ébauchée dans "OPA", et enchaîne les coups de théâtres et scènes d'action façon blockbuster hollywoodien (pas très réaliste). Passionnant bien sûr, le livre...

le 9 févr. 2015

Blaise_Perrenou
8

En attendant le suivant...

Plongé dans cet BD depuis des années en attendant les tomes suivants toujours avec impatience.

le 9 déc. 2013

Alligator
6

Critique de par Alligator

juillet 2006: Niveau scénario, l'action s'emballe, peut-être un poil trop par moments sur la fin. Encore quelques coups de griffe sur le cuir de la crédibilité. C'est gentil mais parfois simpliste.

le 17 nov. 2013