Je trouve que les dialogues, très grossiers (dans tous les sens du terme), se prêtent plus à l'oralité qu'à l'écrit, mais les graphismes sont beaux, les filles sont... comme j'aime, et ça m'a donné envie de me procurer la suite.

AlexandreAgnes
7
Écrit par

Créée

le 6 avr. 2016

Critique lue 153 fois

Alex

Écrit par

Critique lue 153 fois

D'autres avis sur L'Anomalie - Megalex, tome 1

L'Anomalie - Megalex, tome 1
Fatpooper
7

Cette tête me rappelle quelqu'un !

J'ai voulu explorer d'autres cycles appartenant à l'univers de L'Incal. C'est pourquoi je me suis procuré les trois parties de Megalex. Je n'avais jamais essayé de lire cette BD auparavant à cause du...

le 15 janv. 2014

1 j'aime

9

L'Anomalie - Megalex, tome 1
AMCHI
6

Une légère déception

Après un bon début, j'ai beaucoup aimé le 1er tome qui présente un monde intéressant sous un dessin spécial de Beltran mais à partir du deuxième j'ai moins accroché et c'est surtout au 3ème ou le...

le 1 août 2012

1 j'aime

5

L'Anomalie - Megalex, tome 1
Jericho
3

Du vert ... de l'air !

Malgrès une couverture de premier tome assez prometteuse - bien que ca sente la nana à gros seins avec un flingue- on constate que malheureusement le fil rouge a peu de contenu. Un grand béta, une...

le 27 sept. 2010

1 j'aime

Du même critique

Au revoir là-haut
AlexandreAgnes
9

On dit décidément MONSIEUR Dupontel !

La Rochelle, 26 juin. Jour de mon anniversaire et de l'avant-première de Au revoir là-haut en présence d'Albert Dupontel. Lorsqu'il entre dans la salle à la fin de la projection, le public...

Par

le 27 juin 2017

53 j'aime

4

Mektoub, My Love : Canto uno
AlexandreAgnes
4

Si "le travelling est affaire de morale", ici le panoramique vertical est affaire de vice

Je n'accorde habituellement que très peu de crédit au vieux débat clivant qui oppose bêtement cinéma populaire et cinéma d'auteur (comme si les deux étaient deux genres définitivement distincts et...

Par

le 27 mars 2018

48 j'aime

19

Arès
AlexandreAgnes
6

Ne pas jeter bébé avec l'eau du bain

Voilà un long métrage qui, en apparence, accumule les défauts : une erreur monumentale dans le choix de la date dès le carton d'ouverture (l'action se situe dans un Paris post-apocalyptique...

Par

le 24 nov. 2016

43 j'aime