Il dérouille, éros
Autant dire qu’avant de m’y mettre, j’avais le cul entre deux chaises (roulantes). Sur l’étagère "à priori berk": un pitch improbable, Marion Cotillard dompteuse d’orques infirme (infirme, on est...
Par
le 12 nov. 2012
62 j'aime
8
Créée
le 13 juin 2013
Critique lue 279 fois
D'autres avis sur De rouille et d'os
Autant dire qu’avant de m’y mettre, j’avais le cul entre deux chaises (roulantes). Sur l’étagère "à priori berk": un pitch improbable, Marion Cotillard dompteuse d’orques infirme (infirme, on est...
Par
le 12 nov. 2012
62 j'aime
8
J'ai pas forcement envie d'être dur avec ce film et pourtant je crois qu'il faut tarir d'éloge à son sujet. Au sujet de son développement si étiré, avec beaucoup de redondance. On ne saurait taire...
Par
le 31 mai 2012
55 j'aime
8
Le voilà enfin, le rôle de sa vie. Enfin, Marion Cotillard nous scie les pattes ! L'ORQUE, IDEE SAUVAGE Stéphanie est jeune et jolie (si, arrêtez avec les insultes maintenant, elle est souvent...
Par
le 25 avr. 2013
51 j'aime
7
Du même critique
Dès les premières minutes de "World War Z", le mot d'ordre est clair : pas de round d'observation comme le feraient deux boxeurs pour se jauger au début d'un combat. Là il faut envoyer du lourd, du...
le 6 juin 2013
13 j'aime
5
Après "Collision", film choral sur le racisme déjà assez maladroit en manichéen, Paul Haggis s'attaque à nouveau au film choral, se concentrant cette fois sur le thème de la relation amoureuse...
le 5 nov. 2014
8 j'aime
9
Premier long-métrage d'un réalisateur suédois venu de la pub et du clip, "Charlie Countryman" est une sorte de trip sous acide à mi-chemin entre "Snatch" et "True Romance", servi par un casting...
le 16 avr. 2014
8 j'aime