8
Ces bonnes surprises
C'est un film "bouche-trou", qui a atterri dans mon plan d'attaque pour la fête du cinéma 2008, parce que je n'avais rien trouvé d'autre à cette séance. Ce fut une grande et très bonne...
Par
le 30 oct. 2010
50 j'aime
4
Tristement jouissif.
Ce film a deux personnalités.
La première est celle d'un homme qui explose. Depuis de longues années, il est dans un moule qui ne peut plus le contenir. Ras-le-bol de ces faux-semblants, de cette société basée sur l'apparence et l'argent. De ces cons.
Un grand, un magistral Dupontel qui craque, qui envoie valser tout le monde dans des scènes, comme dit ci-dessus, jouissives.
Puis la fin du film approche, le héros se balade au milieu de fantastiques décors et on apprend.
Et là, la deuxième personnalité apparaît. Je ne spoilerai pas, mais j'avais une grosse préférence pour la première, puisque du coup toute la visée anti-conformiste s'efface au profit de larmes, déclenchées par la chanson finale plus que par le final en lui-même.
Un film qui retombe donc sur ses pieds même s'il ne faut pas trop s'accrocher à son but premier.
Et Albert Dupontel qui est dans le vrai, tellement dans le vrai.
La première est celle d'un homme qui explose. Depuis de longues années, il est dans un moule qui ne peut plus le contenir. Ras-le-bol de ces faux-semblants, de cette société basée sur l'apparence et l'argent. De ces cons.
Un grand, un magistral Dupontel qui craque, qui envoie valser tout le monde dans des scènes, comme dit ci-dessus, jouissives.
Puis la fin du film approche, le héros se balade au milieu de fantastiques décors et on apprend.
Et là, la deuxième personnalité apparaît. Je ne spoilerai pas, mais j'avais une grosse préférence pour la première, puisque du coup toute la visée anti-conformiste s'efface au profit de larmes, déclenchées par la chanson finale plus que par le final en lui-même.
Un film qui retombe donc sur ses pieds même s'il ne faut pas trop s'accrocher à son but premier.
Et Albert Dupontel qui est dans le vrai, tellement dans le vrai.
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Créée
le 12 déc. 2010
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