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Effroyable ?
Jean Becker : après le polar "Un nommé La Rocca", il est devenu le cinéaste qui met en scène des braves gens ou encore l'amitié. Il y eut "Les enfants du marais" puis, après "effroyables jardins", il...
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le 6 nov. 2022
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Un clown dans le trou
J'avais des à prioris sur ce film français. Finalement je ne me suis pas trop ennuyé.
L'histoire est très simple et c'est ce qui fait tout son charme. Il est d'ailleurs regrettable que le film soit consrtuit comme un flash back car tout ce qui se passe dans le présent est assez peu intéressant. Tandis que la narration pour le passé est nettement plus travaillée, mêlant humour et drame sans problème.
Visuellement c'est assez agréable. Je regarde assez peu de films français contemporains, je suis donc surpris de découvrir qu'il existe encore des réalisateurs français capables de raconter une histoire sans tomber dans le découpage à l'américaine. Jean Becker filme avec justesse son histoire, son découpage est minimaliste, ce qui renforce ainsi la simplicité du fond.
En fait, s'il n'y avait pas ce côté lourdingue dans le présent, renforcé par la prestation d'un gosse insupportable et terriblement laid, j'aurais vraiment passé un très bon moment. Au lieu de ça, je me suis bien amusé mais je reste sur ma faim. N'empêche que pour un film qui traîte de la guerre mondiale, je préfère celui-ci à "Schindler's list", mais bon, les goûts et les couleurs...
L'histoire est très simple et c'est ce qui fait tout son charme. Il est d'ailleurs regrettable que le film soit consrtuit comme un flash back car tout ce qui se passe dans le présent est assez peu intéressant. Tandis que la narration pour le passé est nettement plus travaillée, mêlant humour et drame sans problème.
Visuellement c'est assez agréable. Je regarde assez peu de films français contemporains, je suis donc surpris de découvrir qu'il existe encore des réalisateurs français capables de raconter une histoire sans tomber dans le découpage à l'américaine. Jean Becker filme avec justesse son histoire, son découpage est minimaliste, ce qui renforce ainsi la simplicité du fond.
En fait, s'il n'y avait pas ce côté lourdingue dans le présent, renforcé par la prestation d'un gosse insupportable et terriblement laid, j'aurais vraiment passé un très bon moment. Au lieu de ça, je me suis bien amusé mais je reste sur ma faim. N'empêche que pour un film qui traîte de la guerre mondiale, je préfère celui-ci à "Schindler's list", mais bon, les goûts et les couleurs...
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le 23 oct. 2013
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