moins méchamment gentil que prévu, agréable dans l'ensemble, sans baisse de régime comme on a pu le lire dans certaines critiques spécialisées.
Joel Murray (frère du grand Bill) est solide sans en faire des tonnes, avec ses faux airs de Bruce Willis, nous contamine par sa mélancolie, entre révolte et désabusement.
Un dénouement nihiliste, comme une version contemporaine de Bonnie & Clyde (pas aussi classe bien sûr) constamment pris en otage par sa conscience : on abonde vers certaines de ces prises de positions, mais passer à l'acte relèverait de la pathologie.
Et en même temps...
taffeylewis
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le 23 févr. 2013

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taffey lewis

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