Critiques de Je la connaissais bien...

Morrinson
7

Mirages de la ville

Je la connaissais bien : toute la mélancolie du récit à venir semble encapsulée dans le titre, comme un avant-goût de la conclusion amère des aventures de la jeune et très jolie provinciale partie à...

le 14 déc. 2020

8 j'aime

Alligator
7

Critique de par Alligator

Mon premier Antiono Pietrangeli. Aussi étrange que cela puisse paraître, je n'avais jamais vu de film de cet auteur. Je crois même que sans ce cinemed 2014, je serais toujours ignorant du...

le 2 nov. 2014

6 j'aime

Marlon_B
8

Itinéraire d'une pop star

Bercé par la douce et mélancolique musique yé-yé de l'époque chantant les amours perdues et l'insouciance de la jeunesse, Je la connaissais bien met admirablement en scène les femmes, ici...

le 12 avr. 2017

2 j'aime

EowynCwper
6

Avec un scénario, le génie passe mieux

Il peut être difficile de comprendre pourquoi Antonio Pietrangeli signe ici un de ses plus grands films. De certains côtés, il faut parfois attendre la toute dernière image. Ce n'est pas faute de...

le 16 juin 2018

1 j'aime

Djéba
8

Critique de par Djéba

Au premier abord Io la conoscevo bene n'a rien d'emballant. Portrait d'une jeune fille insouciante, frivole, épicurienne voulant devenir actrice, on se dit que l'on va assister au traditionnel...

le 8 janv. 2017

1 j'aime

DavidMoreau
3

LA PROIE

L'héroïne abandonnée. Des larmes dans les yeux, le mythe d'une société, remplie de douleurs et de requins. Un chant du cygne sur une narration glissante et répétitive.

le 5 avr. 2022

FrankyFockers
9

Critique de par FrankyFockers

Une jeune romaine manucure de profession se rêve actrice et ira de désillusion en désillusion, aussi bien dans sa réussite professionnelle que dans ses rapports avec les hommes, ne rencontrant que...

le 19 avr. 2023

In_Cine_Veritas
8

Portrait d’une enfant déçue

Avant-dernier opus d’une filmographie trop courte, Je la connaissais bien (1965) rend compte du chemin parcouru par Antonio Pietrangeli depuis son premier film, Du soleil dans les yeux (1953)...

le 16 juil. 2018

Zarathoustra93
8

Du rêve à la désillusion...

Du rêve à la désillusion, la protagoniste chute, au sens figuré, puis finalement au sens propre. Mais dans cette chute, il reste encore intact tous les rêves ci-né-ma-to-gra-phi-ques comme l'écrit le...

le 2 avr. 2017