Un bel ofni que ce Jeeg Robot, film indépendant au budget dérisoire, banal au niveau de sa trame mais qui au niveau psychologique prend à revers. Car à première vue, on pourrait trouver cette histoire de super héros à la sauce l'italienne ridicule et pathétique, mais non. Au fil des minutes, la sauce prend, l'intrigue et les personnages se dévoilent, marginaux instables sublimés par une simple d'esprit. Un très beau pieds de nez à Marvel et DC Comics qui attire invariablement notre sympathie, et dont les 7 David de Donatello (l’équivalent de nos César) sont largement mérités.
Créée
le 14 déc. 2016
Critique lue 295 fois
D'autres avis sur On l'appelle Jeeg Robot
Banlieue Romaine, de nos jours, Enzo traine sur son sofa. L'appartement est merdique, le papier peint élimé, les meubles tiennent à peine debout. Lui, on le retrouve affalé comme une baleine échouée,...
Par
le 25 avr. 2017
26 j'aime
6
Les films de surper-héros on connaît. On connaît même bien puisque les sorties régulières en viendraient presque à nous fatiguer du genre. Bons ? Mauvais ? Tout le monde se tire la bourre. Les «...
Par
le 5 févr. 2017
21 j'aime
1
Fallait avoir de l'audace pour oser marcher sur les plates-bandes des films de super-héros américain, et surtout, ne pas se planter ! Et bien, un italien, un certain Gabriele Mainetti, inconnu au...
Par
le 11 sept. 2017
18 j'aime
22
Du même critique
George Miller est un génie ! Ce film est d'une folie et d'une maîtrise à couper le souffle. Unique.
Par
le 6 août 2015
3 j'aime
Nomminé au PIFFF, Oriol Paulo, pour un premier film derrière la caméra, signe là un magnifique hommage à Hitchcock - Truffaut en enprunteant les sentiers d'Edgard Allan Poe. Belén Rueda est toujours...
Par
le 24 nov. 2012
3 j'aime
Je ne saurai jamais dire aussi bien que Laurent Pécha dans "Ecran Large" : Dans la carrière de John Carpenter, Les Aventures de Jack Burton dans les griffes du mandarin constitue une sorte de...
Par
le 23 déc. 2011
3 j'aime
