6
A feelgood movie.
Vainqueur surprise des Oscars 1990, Miss Daisy est le prototype même du feelgood movie que l'on aime voir, car c'est bourré de bons sentiments. Ça commence autour de cette vieille femme, qui, pour...
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le 27 janv. 2013
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dans les limitations sans vitesse
Alors c'est l'histoire d'une vieille ( au passage, elle ressemble incroyablement à ma grand-mère) qui écrase sa voiture sans trop raisons, si ce n'est les outrages du temps. Suite à cela, son fils lui achètera un noir super pratique qui coûte pas trop cher et qui conduit pas trop mal pour l'emmener où elle veut.
Mais la bougresse résiste ! Flirtant toujours avec les limites de la décence vis-à-vis des noirs, Miss Daisy rejettera Freeman comme un enfant ses épinards. Mais ne l'oublions pas : Freeman, c'est Freeman. Et tout le monde aime Morgan Freeman.
Alors miss Daisy va commencer par le supporter, puis l'accepter, puis même l'apprécier. S'en suit alors la classique histoire sympathique sans jamais trop bercer dans la mièvrerie ; et l'on en remercie le réal.
Le gros du film tient sur les épaules de la vioc' ; ça lui fait quand même un sacré poids à assumer ; mais la bougre s'en sort plus que bien et nous fait littéralement rêver. Elle nous rappelle aussi l'injustice du vieil âge qui nous guette tous. Pour ma part étant encore jeune et dans le plein de mes capacités, ça ne me lance pas trop de mélancolie.
Quant à Freeman, il vieillit mieux dans le film qu'en vrai.
Mais la bougresse résiste ! Flirtant toujours avec les limites de la décence vis-à-vis des noirs, Miss Daisy rejettera Freeman comme un enfant ses épinards. Mais ne l'oublions pas : Freeman, c'est Freeman. Et tout le monde aime Morgan Freeman.
Alors miss Daisy va commencer par le supporter, puis l'accepter, puis même l'apprécier. S'en suit alors la classique histoire sympathique sans jamais trop bercer dans la mièvrerie ; et l'on en remercie le réal.
Le gros du film tient sur les épaules de la vioc' ; ça lui fait quand même un sacré poids à assumer ; mais la bougre s'en sort plus que bien et nous fait littéralement rêver. Elle nous rappelle aussi l'injustice du vieil âge qui nous guette tous. Pour ma part étant encore jeune et dans le plein de mes capacités, ça ne me lance pas trop de mélancolie.
Quant à Freeman, il vieillit mieux dans le film qu'en vrai.
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le 5 avr. 2013
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