Scott Pilgrim: an epic of epic epicness
Si il y a une chose que l'on ne peut reprocher à Scott Pilgrim, c'est de nous avoir trompé sur la marchandise. On nous vendait un trip complètement barré, et bien nous voilà servi.
Au delà de l'aspect geek du film, que l'on peut apprécier sans avoir joué aux consoles 8-bit (ce qui est le cas de l'écrivain de ces lignes), l'originalité artistique permet de retranscrire permet de rapprocher l'audiovisuel du support papier, avec ses onomatopées, le découpage de l'image et le montage - chose que certain films avaient déja tenté et échoué lamentablement (le Hulk avec Eric Bana par exemple).
De la première à la dernière seconde, le film tiens en haleine le spectateur, alternant répliques savoureuses, références geekesque (qui eu cru que l'on pourrait caser la BO de FFII dans un film ?) et scènes complètement barrées.
En deux mots: Epic win
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