Le seul film dans lequel le sang qui éclabousse tes pompes crasseuses te les vernira.
Le seul film dans lequel les pires actes deviennent supportables.
Le seul film où les gentils meurent à la fin.
Le seul film où Mickey Rourke a la tête de l'emploi (en Marv', fallait oser et c'est parfait).
Un Rodriguez à se damner.
Un Miller sans concession.

L'effet esthétique à peine exploité, suffisamment pour prendre une réelle importance.
On aurait aimé une meilleure ligne dure des visages, pour encore plus de vices.

Et puis revoir Rosario Dawson dans le rôle de Gayle quoi.
Misarweth
9
Écrit par

Créée

le 28 oct. 2010

Critique lue 325 fois

1 commentaire

Misarweth

Écrit par

Critique lue 325 fois

1

D'autres avis sur Sin City

Sin City
Sergent_Pepper
7

The wolves of wall strip

Le film noir a, dans son essence même, été un vivier à clichés. Par son iconisation des figures, l’attention expressionniste apportée aux décors, la création d’une atmosphère nettement identifiable...

le 7 juin 2021

35 j'aime

2

Sin City
LeTigre
8

L’enfer c’est de se lever tous les matins et te demander pourquoi t’es là !

Malgré le succès phénoménal des comics Sin City, le réalisateur Robert Rodriguez a remué ciel et terre pour convaincre l’auteur de bandes dessinées Frank Miller, dans l'unique but d'adapter l'univers...

le 15 juil. 2020

33 j'aime

3

Sin City
Ugly
8

"Je suis le copain de Shellie et j'suis complètement taré !"

Ce titre de critique résume un peu la folie hallucinatoire qu'on peut trouver dans le comic book de Frank Miller qui a trouvé son écrin grâce à Robert Rodriguez ayant su capter avec brio l'univers...

Par

le 3 sept. 2017

30 j'aime

5

Du même critique

No pasarán, le jeu
Misarweth
8

Le gamer politique

Classé en fantastique après quelques hésitations, les puristes se récrieront, je prend le risque. Livre certes dans une collection s'adressant à l'origine plutôt aux adolescents mais qui, dans son...

le 27 mars 2011

9 j'aime

Spinoza encule Hegel
Misarweth
10

Critique de Spinoza encule Hegel par Misarweth

Avant Mad Max, après mai 68, il y a Pouy. Petit opus, qui se lit vite, qui se déguste par paragraphe. Ça exhale la furie, ça suinte la référence littéraire, ça délire la nomination. Les piteuses...

le 27 mars 2011

9 j'aime