Il fait bien joujou Thomas Langmann,c'est bien ça.

Le duo Frédéric Forestier, Thomas Langmann repasse derrière la caméra en espérant faire un film, raté une fois de plus. Car après les magnifiques navets que sont le boulet et Astérix aux jeux olympiques voici Stars 80, un autre navet sorti du même moule ou plutôt du même jardin. Le but de cette entreprise n'est à aucun moment de divertir le spectateur, mais de réussir à attirer les nostalgiques des années 80 devant les écrans. C'est le filon que tente d'exploiter Thomas Langmann ni plus ni moins, il a bien flairé qu'avec du vieux il restait encore une belle possibilité de faire de l'or. Et lui aussi veut une part du gâteau, enfin pour avoir une belle part il eut fallu un scénario qui dans ce navet est inexistant. Le spectacle est navrant tout autant que les gags fond du panier, des gags certainement recalés des autres productions Langmann et qu'il recycle ici. Enfin peut être pas car Langmann se prend pour un réalisateur et un auteur, il n'est ni l'un ni l'autre, c'est un fils à papa qui est maintenant à la tête d'une grosse boite de production et il fait ce qu'il veut de son jouet. C'est lui qui a l'argent et qui décide.
Les chanteurs des années 80 tiennent leurs propre rôles, humm la bonne idée singée Langmann. Sauf que ces gens ne sont pas des acteurs, ils déclament leur texte comme des retraités qui s'éclatent en cour de théâtre une fois par semaine. C'est une récréation qui fait peut être plaisir à ceux qui la pratique mais pour ceux qui doivent subir ce spectacle c'est une autre histoire.
Quel est l’intérêt de faire ce film aucun, autant diffuser en direct dans les salles de cinéma un concert de ces revenants des années 80. Il reste à Langmann une belle et longue carrière de producteur de navets.

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