Un jackass d'après-guerre
Une route bien monotone : tirette de marijuana, alcool, partouze d'après guerre et le sentiment de vivre à 100 à l'heure. 2 heures vingt laborieuses, répétitives et ennuyeuses. Heureusement, les "gueules" servis par un casting prestigieux et la mise en scène sortent du lot. Le final est ridicule : seul devant sa machine à écrire, l'écrivain débutant trouve enfin l'inspiration. Il tape sur sa Remington à toute berzingue persuadé de pondre un chef d'oeuvre de ses expérience proches des jackass de MTV. Le cinéaste nous livre la scène sans ironie, la larme à l'oeil. On sort de cette séance épuisé et vide.