A se prendre les pieds dans la cape...
(...) ce troisième volet a la gourmandise d’un dernier acte. Des effets pyrotechniques à la dramaturgie de l’ensemble, pour cacher un scénario décousu (et aux failles temporelles et logiques indignes de l’équipe des BEGINS et DARK KNIGHT), Nolan ne s’en sort qu’en prolongeant ce qui avait fait le succès de ses précédents, tout en y incorporant le maximum d’éléments gérables pour marquer le coup. Nul doute qu’il aura comme à son habitude été chercher des sous-intrigues dans les comics d’origine, et que nous nous ferons un plaisir de décrypter cela. Mais en imposant trop vite trop d’éléments à son public, il sort loin du cadre des deux premiers.