Un final décevant pour un saga pourtant de très bonne qualité !

The Dark Knight Rises est, en plus de la conclusion d’une trilogie de film ultra populaire sur l’homme chauve-souris, exactement ce que je craignais avoir avec ce film après les deux premiers opus, à savoir une déception comparé à mes attentes et au souffle épique que beaucoup m’ont vendu après avoir vu ce film même si je ne lui attribue pas le statut de navet, très loin de là.


La première chose à savoir c’est que ce film a été énormément plus compliqué pour Christopher Nolan à sortir et à produire que les deux premiers Batman. Avant que Heath Ledger rende l’âme Nolan avait déjà un scénario de prévu dans sa tête. Parmi ces idées, il y avait le Joker qui était jugé et le retour de Harvey Dent alias Double-Face qui était toujours vivant, sans compter l’arrivée de la fameuse Harley Quinn mais tout ceci ne s’est finalement pas fait (on se rassure, 2016 arrive et on l’aura notre Quinn sur grand écran).


Et pour ne pas aider à la réputation du film, les controverses et événements malheureux ne manquent pas : lors d’un de ses avant-premières, une fusillade a eu lieu à Aurora au Colorado faisant 12 victimes à la suite de laquelle Zimmer a fait une musique pour leur rendre hommage. Et pour ne pas aider ce film, des débats politiques ont eu lieu à la sortie du film aux USA mais aussi en Angleterre, sans compter que depuis ce film cette pauvre Marion Cotillard se fait (très injustement) cracher à la gueule par les haters et internautes anti-Cotillard pour sa performance dans ce film.


Mais bon, vous savez, primo c’est un film dans un monde de fiction et de comics et non pas une vision du capitaliste ou n’importe quelle connerie du genre donc j’en ais rien à battre, le fait que ça se veuille réaliste n’y change rien, et de deux je ne pense pas que ça soit à Cotillard qu’il faut inculper la faute de sa performance pour la fameuse scène que beaucoup décrient. Et si je dois vous donner mon avis sur ce film… ben beaucoup des craintes que j’avais pour ce final se sont clairement confirmé, ça reste un film de qualité avec une écriture efficace mais ça se voit beaucoup trop que le scénario a été fait précipitamment et que beaucoup d’élément font défauts à ce final, tout cela étant certainement dû à la réécriture du script.



IMAX ou caméra 35 millimètres : fais ton choix Christopher !



Comme pour le précédent film, Christopher Nolan réutilise le format de caméra IMAX pour filmer les scènes en extérieur, un format de caméra 70 millimètres bien plus privilégié ici que dans le précédent film alors que le format d’image de 35 millimètres est moins présent. Dans le but de rendre l’action plus immersive et entraînante je veux bien et très souvent ça marche, il n’y a qu’à voir


le combat en équipe de Catwoman et Batman contre les hommes de Bane, la course poursuite en fin de film, ou même la bataille finale entre les flics de Gotham et les anarchistes à la botte de l’homme au masque,


mais par moment je me suis demandé si Nolan n’était pas trop ambitieux à force de privilégier l’IMAX car à de nombreuses reprises, dans les scènes d’intérieurs la mise en scène à l’aide de la caméra de 70 millimètres est privilégié sans qu’on ne sache trop pourquoi, à croire que Nolan voulait rendre son film le plus saisissant possible même en allant contre la logique du précédent film pour l'usage du format d'image. C’est qu’un détail mais ça peut devenir un peu énervant par moment. Et au risque de chipoter pour rien, on atteint rarement l’impact visuel qu’avait The Dark Knight : Le chevalier noir malgré des plans larges, des cadrages et un jeu de format en général efficace et très maîtrisé en plus d’une splendide photographie.


De plus, même la direction artistique a quelques problèmes : déjà parce que la plupart des scènes qui se déroulent dans Gotham se passent de jours, l’aspect sombre et réaliste en prend un sacré coup quand on sait que dans les deux précédents films, les principaux événements se déroulaient justement de nuit car en accord avec l’univers de Batman et les apparitions justement du justicier masqué. Ceci étant dit, on retiendra quand même des idées bien trouvé pour les costumes, surtout celui de Selina Kyle alias Catwoman avec les oreilles de chat très discret ou le masque à gaz de Bale qui aide à rendre la masse de muscle plus imposant encore, mais après certains choix me paraissent discutable.



Deshi Basara !



A la musique, pour ce dernier volet, Hans Zimmer revient à la baguette sans la présence de James Newton Howard cette fois-ci. Son travail sur les deux premiers Batman étaient déjà exemplaire mais là, c’est malheureusement pas aussi bon. Si je ne devais juger que The Chant qui constitue le thème principal de Bane, j’aurais rien de mal à dire tant il est génial, mais très souvent les morceaux ne sont pas aussi entraînant qu’on pourrait l’espérer et j’ai vraiment eu l’impression qu’il manquait quelque chose à tout ça, je trouve juste correcte et de la part de Zimmer, c’est un peu dommage. Par contre, le morceau Aurora en hommage aux victimes de l’attentat est magnifique, ça y’a rien à redire.



Faites entrer la bête d'Hollywood : TOM HARDYYYYYY !



Poursuivons avec les acteurs pour retrouver une dernière fois Christian Bale dans le rôle du justicier masqué, désormais détruit de l’intérieur


et qui semble avoir des séquelles physique… ce qui est pas très logique puisque 8 ans sépare l’histoire de ce film au précédent, il aurait dû récupérer physiquement ou alors on aurait pu nous dire ce qui lui était arrivé entre les deux films.


Comme pour les précédents films, Bale se révèle toujours aussi investi dans le rôle de Bruce et de Batman, le double personnage qu’il interprétait depuis deux films. Seulement, autant l’idée même de le faire reprendre du service face à une menace qu’il ne peut pas vaincre seul est sympa mais son parcours est trop expéditif sur plusieurs points, déjà parce que


son rétablissement est beaucoup trop rapide vu qu’on nous le présent comme très affaiblie physiquement, et pourtant on le revoit rapidement s’en prendre au groupe de Bane après le braquage à la bourse comme si il n’avait pas prit une pli.


Néanmoins, il y a quand même du bon à retenir, ses relations avec les autres personnages toujours aussi bien écrites et Bale garde toujours autant de charisme que dans les précédents. Michael Caine revenait, une dernière fois, pour jouer un majordome toujours aussi attachant et proche de Bruce qui s’avère plus touchant que dans les précédents volets et montrent sincèrement ses inquiétudes pour le devenir de Bruce,


allant jusqu’à lui avouer que Rachel avait renonçait à lui pour qu’il puisse cesser à son rôle de justicier et tourner la page sur sa vie à Gotham,


difficile de ne pas le prendre en sympathie quand on le voit à l’œuvre. Morgan Freeman est toujours aussi classe en Lucius Fox, de même pour Gary Oldman toujours aussi bon et


un caméo, une fois de plus, de Cillian Murphy qui n’aura finalement pas eu une occasion de vraiment briller, dommage pour lui.


Venons-en maintenant au méchant avec la bête en personne parmi les acteurs d’Hollywood, le monstre sur grand écran, l’animal qu’on a lâché pour nous dévorer de sa posture monstrueuse : Tom Hardy en Bane, The man who breaks the bat ! Physiquement, il est juste parfait, et mille fois plus crédible que la vision Schumacher ça ne fait pas de doute. Sa démarche, sa voix, son regard animal et sa musculature ainsi que la manière de le filmer continuellement en contre-plongée en font un pur monstre qu’on ne peut arrêter, bref un combattant imprenable et une impression à en faire frémir le spectateur, ça n'égalise pas le Joker de Nolan mais on le retiendra longtemps. Sa première apparition frappe fort et il impose pendant la première moitié du film, quand à ses motivations et son plan, autant il y a des très bonnes idées mais ça n’excuse pas le fait que son plan devient un peu con voire inutilement compliqué.


Et je ne parle même pas


de sa mort qui est juste merdique… ah si, si et si, désolé mais le faire crever avec une roquette dans le bide c’est juste minable de chez minable, quand on a un méchant comme Bane, l’homme qui brise la chauve-souris dans les comics et à la carrure bestiale, tu lui donnes un mort digne de sa force et de sa réputation, pas cette fin bâclée qui le fait passer pour une tapette et ne rend pas hommage eu personnage !


Au final, la méchante le plus réussi, ce n’est même pas l’antagoniste principal, mais Selina Kyle jouée par l’excellente Anne Hathaway qui est juste mignonne à croquer dans son costume en latex moulant (quoi, c’est vrai), et qui se montre crédible aussi bien en tant qu’actrice que dans son personnage qui joui ici d’une écriture qui reste bonne du début à la fin. Elle a du charme, même plus que Michelle Pfeiffer dans Batman : le Défi, elle montre un certain dédain pour la bourgeoisie dont envers Bruce Wayne, elle a une réputation et autre élément bien trouvé, celui de ne jamais l’appeler par le nom du personnage en question car assez d’élément sont présent pour qu’on sache qui elle est. Et j’aime bien la façon dont Nolan tire profit


de sa relation amour/haine avec Bruce, et la chimie entre le justicier et la voleuse passait bien.


Donc franchement, aucun problème avec la comédienne qui m'intéresse de plus en plus.


Le cas de Marion Cotillard en revanche est plus compliqué, parce que franchement je ne peux pas dire qu’elle joue mal, elle est même correcte mais son personnage est trop fade et faible pour qu’on la prenne vraiment au sérieux


en tant que méchante surprise.


De plus en faire


une love interest pour Bruce rend le subterfuge et le mystère sur son personnage très faible, on devine sans mal qui elle est mais on ne lui donne pas assez de personnalité, et c’est quand même dommage quand on sait que dans les comics, Talia et Ra’s sont quand même parmi les méchants les plus redoutables de Batman.


Quant à


sa dernière scène, je reproche plus à Nolan d’avoir bâclé la scène que le jeu de Cotillard parce que ce n’est pas forcément évident de jouer une mort soudaine, et en plus il paraît que Nolan n’a fait qu’une seule prise de ce passage donc désolé mais la faute revient au réalisateur et non à la comédienne.


Et enfin, pour ce qui est de Joseph Gordon-Levitt, j’avoue avoir été assez sympathiquement surpris par la manière dont Nolan a tiré profit du personnage qu’était John Blake, flic inspiré par l’image de Batman et qui a un penchant pour le risque et un sens du corps à corps


qui fait un clin d’œil très sympathique au partenaire du justicier masqué.


Et en faire


la relève de Batman était plutôt chouette comme idée, pas la plus originale mais c’est en accord avec la résolution finale de Bruce et l’influence qu’il laisse sur John.


En gros on a un casting excellent et porté par de très grand comédien mais des personnages tantôt intéressant et tantôt mal exploité par le scénario.



Souffle épique, ou es-tu ? Que fais-tu ? Je t'attend.



D’ailleurs parlons-en parce que, le scénario est justement le principal élément qui m’a posé énormément de problème dans ce film. Surtout que j’ai senti une chose de vraiment perturbant pendant le visionnage : ce n’est pas l’histoire que Christopher Nolan voulait raconter, je sais qu’il n’avait pas énormément de temps pour réécrire le script avec la mort de Ledger mais j’ai vraiment senti que cette histoire n’était pas celle que Nolan voulait raconter et qu’il était très loin d’être aussi investie que les deux films précédents. C’est la première fois que je ressent ça pour un de ses films parce que, que ça soit les deux premiers Batman, Insomnia, Memento ou encore Interstellar, il a toujours été au bout de ses projets en terme d’histoire alors que là, quand on voit toutes les incohérences et facilités à travers les ellipses et le manque de réalisme qui était pourtant présent dans les deux précédents films, ça se sent que l’histoire a été réécrit.


Déjà parce que, les ellipses sont nombreuses et pas toujours maîtrisé ou évident,


comme pour la première réapparition de Batman. C’est déjà difficile de croire qu’en huit ans ses blessures n’aient pas guéri (les morsures des chiens du Joker peut être... ou événement extérieur au film je présume), mais le voir revenir aussi vite alors qu’on l’a vu quelques minutes avant en rétablissement pour sa jambe c’est beaucoup trop gros à avaler pour un film de super-héros qui se veut réaliste. Quant à son second retour après que Bane l’ait brisé, je veux bien y croire que ça soit le coup de la corde ou le relèvement de Bruce même si ça reste difficile à avaler.


Mais les ellipses sont souvent utilisées trop facilement, comme le fait que


Bruce ait réussi à rentrer dans Gotham après avoir quitté le puits de Lazare alors que toute la ville est entourée de militaire et qu’il y a à la fois des résistants à la loi de Bane et des mercenaires à sa botte un peu partout… impossible que Bruce Wayne ait pu rentrer dans Gotham sans problème (ou alors il avait un passage souterrain à l’extérieur de la ville mais puisqu’on ne nous le montre pas).


Après, le plan de Bane pour détruire Gotham city est pas aussi con que certains le disent, en fait c’est même loin d’être aussi simple :


le but de Bane étant de tenir tout Gotham City en otage, piéger les flics sous terre pour avoir une autorité complète avec son armée de criminel et de mercenaire et faire exploser un réacteur à fusion qu’il a changé en bombe nucléaire à retardement pour achever l’œuvre de Ra’s Al Ghul et de la ligue des ombres. Mais après, c’est là que ça devient compliqué et vraiment salaud... mais peut être même que ça va trop loin.


Bane dévoile à la population que Harvey Dent était un criminel et que Batman et Gordon ont caché le secret à tous pour une paix durable dans Gotham, et ce afin de détruire le pourquoi du combat de Batman, avant d’installer sa propre loi martial pour détrousser les riches et donner aux pauvres et également de libérer les prisonniers de Black Gate pour leur donner le pouvoir. Et c’est là que ça devient plutôt débile, pourquoi installer sa loi martial et faire crever des riches et des policiers encore libre si Bane prévoit déjà de tous les crever dans quelques mois ? Pourquoi tu ne te contentes pas de dire la vérité à tout Gotham et de faire tout péter ensuite en les laissant dans le désespoir au lieu de rester dans cette ville ? Et surtout pourquoi libérer les prisonniers de Black Gate puisque, encore une fois, tu vas faire exploser Gotham pour finir le travail de la ligue des ombres ?


De plus,


le twist final sur Talia Al Ghul ne marche pas, déjà que Cotillard n’est pas aidé avec son personnage fade et prévisible, le twist final a beau être techniquement bien fait et bien construit, moi ça ne m’a pas plus surpris que ça. Et surtout sa relation avec Bruce est beaucoup trop vite expédié et trop vide pour qu’on croit une seule seconde que leur liaison ait un quelconque sens, j’ai même du mal à croire que Bruce et elle ait pu coucher ensemble. En gros… ouais, je trouve Talia trop peu exploité malgré tout le suspens que Nolan tente de mettre autour d’elle.


Et au final, avec toutes ces maladresses et complications souvent huileuses et inutile je ne l’ai pas vraiment senti ce fameux souffle épique. Je pose donc la question : ou es-tu souffle épique que j’en prenne plein la tronche ? Ou es-tu ?


Mais pour ce qui est des bons points, on a quand même du bon, voire même des vrais bonnes choses : l’idée d’exploiter Bruce Wayne complètement démoralisé et détruit est en soi une bonne initiative et le fait de le confronter avec les autres personnages apporte souvent son lot de beau moment. Je retiens surtout


son dernier face à face avec Alfred qui se confesse enfin à Bruce et lui avoue n’avoir jamais voulu le voir revenir à Gotham et refaire sa vie ailleurs plutôt que de s’infliger de nouvelle souffrance dans une ville ou Bruce n’a connu que des tragédies la plupart du temps : la mort de ses parents, de sa petite amie Rachel et bien sur le fait qu’il ait dû jouer le méchant pour sauver les apparences,


je trouve cela sympa de voir les répercussions que ça a sur Bruce et ses convictions qui s’en retrouvent chamboulé.


A tel point que,


sachant que Gotham ne sera jamais entièrement en paix, il finira pas céder le flambeau après s’être fait passer pour mort en sauvant Gotham d’une fin désespérée. A savoir, John Blake que Bruce évaluera à chaque rencontre et qui, d’ailleurs, montre une vraie inspiration pour ce que Batman lui a inspiré (vous pensez que c’est le jeune garçon que Rachel a protégé dans le premier film ?) et fait donc office de successeur en tant que protecteur de la ville.


Et enfin, le meilleur élément dans ce film : la liaison amour/haine entre Catwoman et Batman, puisqu’ici je trouve l’aspect ambiguë de Catwoman plus subtil que dans la version Burton et son ton sarcastique avec Batman plutôt fun, ça arrive même à arracher pas mal de sourire je trouve.



Tim Burton contre Christopher Nolan : qui remportent le duel ?



Mais au final, je reste quand même sur ma position : The Dark Knight Rises reste une grosse déception, surtout par rapport à la qualité des deux précédents films et même comparé à ce que Burton a fait avec ses deux films. Ça a plus de bon que de mauvais et les acteurs sont toujours aussi excellent, mais les nombreuses imperfections et trous scénaristiques du film ne m’ont pas aidé à totalement adhérer à ce final.


Ce qui me pousse à répondre à la question : qui de Christopher Nolan ou de Tim Burton a fait le meilleur travail, d’un point de vue personnel, sur le justicier masqué ? Et bien, si je dois résumer mon avis brièvement sur les 5 films : j’adore le premier Batman de Burton, Batman : Le Défi est mon second Batman préféré, j’adhère largement à Batman Begins, The Dark Knight est désormais un de mes films préférés mais je n’accroche pas pleinement à The Dark Knight Rises.


De plus, si j’adore la mise en scène et la vision de chaque réalisateur ainsi que le travail de Danny Elfman, de Hans Zimmer et de James Newton Howard pour la musique, j’avoue avoir une grosse préférence pour Christian Bale en Batman que Michael Keaton et il en est de même pour la version Nolan de Catwoman que je préfère à la version Burton, néanmoins le Joker gangster de Jack Nicholson ma plus emballé que l’anarchiste Heath Ledger (d’ailleurs j’ai hâte de voir la version psychopathe de Jared Leto l’année prochaine). En gros, oui, je garde une très minuscule préférence pour Burton, mais je respecte profondément Christopher Nolan pour un travail aussi gargantuesque (je vous avez bien dis que j’aimais ce mot) sur Batman. Et je pense que chacune des deux versions méritent d’être vu donc, si vous n’avez vu aucune des deux versions, lancez vous et faites votre propre opinion sur les visions que donnent Burton et Nolan, en tout cas elles restent mille fois meilleurs que les bouses de Schumacher.

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