Naissance, vie et mort d'un héros.
Dans Batman Begins, naissance et découverte de Batman.
Dans The Dark Knight, naissance et découverte du Joker (c'est lui le Chevalier Noir, en opposition au chevalier blanc secourant la ville).
Dans The Dark Knight Rises, naissance et découverte de Bane.
Fallait pas chercher Batman dans ce film, ce n'était tout simplement pas le sujet de la caméra.
Ce tableau conclut le triptyque en miroir de Nolan (dans sa narration), avec une croissance de violence annoncée par Gordon à la fin de Batman Begins.
On sait très bien que la fin n'est pas une fin. Que ce n'est qu'une trêve.
Il aura fallu 3 films à Bruce Wayne pour comprendre, apprendre et accepter sa maladie mentale.
Les avertissements d'Alfred résonnent encore plus avec ses paroles de Batman Begins. Les mêmes engueulades, presque les mêmes larmes, encore plus d'intensité. Il aide, assiste, impuissant un homme dont la folie se terre au fond d'une alcove sombre de son cerveau.
Il n'y aurait pas eu autant d'erreurs scénaristiques grossières, ça aurait presque surpassé The Dark Knight et déjoué la règle du troisième film meilleur que le second. Trop de défauts apparents. Dommage car impressionnant malgré tout.
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