Comment choisir entre l'amour raisonnable gage de sécurité et de stabilité affective, et la passion irrésistible, maladive, celle qui vous prend au coeur et aux tripes ?!
C'est pourtant à ce choix que va être confronté Léonard, lui le romantique exalté, l'écorché vif fragilisé par une déception sentimentale.
Sandra est brune, belle et douce, terriblement amoureuse, et rien ne semble s'opposer à leurs projets : Michelle, c'est la femme-enfant, la sirène blonde, instable, volage et fantasque, mais il est ébloui dès qu'il la voit.
Joachin Phoenix envahit l'écran de sa présence, un homme amoureux qui se bat de toute sa sensibilité à fleur de peau, contre lui-même et ses sentiments : il ne calcule rien, donne et se donne, et l'émotion est à son comble, quand ayant enfin "mûri" l'espace d'un instant, il rentre dans le rang car, hélas, on n'épouse pas un rêve.
Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes Alors on danse... au cinéma!, Qui sème le trouble... Les trublions:celui(ou celle) par qui le désir arrive, Les Vilains magnifiques : ces "moches" qui crèvent l'écran, Baisers de cinéma légers, amoureux, sensuels ou osés, ceux qui m'ont troublée, émue, éblouie ou chamboulée dans des scènes plus ou moins mythiques qui m'ont donné envie de traverser l'écran et Je t'aimerai toujours, je t'aime moi non plus, je t'aime... Je te tue !
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le 23 août 2011
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