Drague-Queen

Ma folie, mon envie, ma lubie, mon idylle, ma Scarlett. Cette femme si je pouvais, je lui ferai des choses que vous ne pouvez pas et surtout, ne voulez pas imaginer. Son mètre 60 et ses 52kg sont parfaits, y a rien à jeter chez cette New-Yorkaise, tantôt fan d'oreilles de chevaux, de ping-pong ou d'arts martiaux. Car oui, Scarlett n'est pas simplement sublime, elle est également une actrice exceptionnelle. D'un autre côté, il y a Natalie Portman, la femme idéale, mais ça c'est une autre histoire. Scarlett c'est la maîtresse parfaite en fait, airs sulfureux, très glamour et formes aguicheuses. Je rêve encore que mon fantasme de toutes mes nuits puisse changer son nom pour le mien, car j'en ai marre de changer mes sous-vêtement chaque nuit. Elle est belle, elle est éclatante et resplendissante, et pourtant, je crois bien qu'elle n'a jamais été aussi bien mise en valeur, même avec Lost in Translation ou Match Point, pour dire.

Jonathan Glazer filme la belle blonde - ici brune - de manière exceptionnelle à tel point qu'on ne peut qu'être fasciné par sa beauté, et je suis le premier charmé de toutes ces proies. Ces plans sur ses fesses dans ce délicieux jean moulant, le soutif qui dépasse un chouya du ce joli pull corail, cette imposante paire de seins que tout mec rêverait rien que d'effleurer, c'est magnifique. J'en rêve encore, et mes draps s'en souviennent. Vous allez me dire "Mais il n'y a pas que cette pouffiasse dans le film !", eh bah presque, si. Car le scénario se résume à : Scarlett drague, Bonhomme se noie dans de l'eau pas très propre (Faut faire venir les surveillants sanitaires quand même), et c'est tout. Ça ne raconte rien ou presque, mais c'est beau.

Ce réalisateur méconnu dispose objectivement d'un réel talent pour filmer, il ne sera pas exagéré de considérer ce film comme une claque esthétique. A l'instar de notre belle actrice, c'est beau, tout est magnifique. Chaque plan, chaque portrait quel qu'il soit, chaque paysage, la moindre photographie est merveilleuse. Le rythme est lent, parfois on s'ennuie mais le tout reste paradoxalement captivant. Rarement une chute de flocons de neige ne m'aura autant fasciné. Et ne parlons pas du corps nue de Scarlett, sinon je devrais changer de slip une fois de plus.

Cette histoire "d'extra-terrestre femme fatale" arpentant les rues pour séduire les Hommes, ne tient pas la route contrairement à sa camionnette, du moins il n'est sans doute pas suffisant et ce trou scénaristique se ressent à travers ces répétitions, mais la force du film est ailleurs. L'esthétique je vous dis ! Voir notre 'héroïne' traquer ses proies dans un Glasgow sombre sous cette musique donne des frissons, puis voir ces gens marcher lentement, au garde-à-vous, se noyant petit à petit dans une mare d'encre noir en persistant à regarder la belle venimeuse. J'en reste bouche bée.

Ah il y a des métaphores et tout ? Une signification particulière à chaque action ? Bah je n'ai rien compris, j'ai suivi, j'ai subi, et c'est tout. Il est difficile de dire qu'on a aimé ce film, ici, on peut parler plutôt de 'ressenti', et ce film m'a fait ressentir des choses de malade. Non, je ne parle pas d'érection. C'était beau, c'était simple, quelque peu ennuyeux, Scarlett n'a jamais été aussi belle. Une belle claque hypnotique.

Et si un jour je vois cette splendide femme dans sa camionnette, même si je sais que c'est pour me faire du mal, je monterai avec elle, car le simple fait de la voir nue en direct live, me suffit à me combler, et à quitter ce monde avec le meilleur souvenir qu'on ait à m'offrir.

Puis cette affiche est superbe, faut absolument que je me la procure, et évite au maximum de la tâcher. Avec du ketchup par exemple.