Doom 3 se veut ultra-réaliste. Au début, on se dit "chouette". Puis très vite, le cauchemar commence. On apprend alors que tout ce réalisme ne sert qu'une chose : une mécanique de peur un peu idiote, illogique et déloyale. L'action se fait discontinue, le noir est omniprésent, les sons sont sur-amplifiés, les monstres apparaissent dans le dos comme par magie (en gueulant). Aucune musique entraînante, pas de sport, du tir aux canards sporadique dans un train fantôme (avec l'ambiance fête foraine en moins). Contrairement à Doom, "tu ne vaincras pas ta peur". Avis aux amateurs.