Le plus grand mystère vidéoludique (après Superman 64)
"Tu te nommeras Marcel", ai-je dit à mon Carapuce après de longues minutes (heures ?) d'hésitation sur son choix. Signe d'acquiescement, ou de débilité profonde, il m'a simplement répété trois fois "Carapuce". Chou.
Et nous voila partis explorer le monde pour devenir le meilleur dresseur... Combat après combat, Marcel devient plus fort, et aussi complètement BADASS après évolution, et est vite rejoint au combat par ses compères Albert et Michel, entres autres, venant renforcer mon équipe de joyeux lurons. Et ça recommence : combat, combat, combat...
De sorte qu'après 50 heures sans manger ni boire, tout joueur s'est demandé ce qu'il venait de faire de sa vie. Rien. Et c'est là le charme du jeu : sans posséder un gameplay varié, avec des graphismes moches, et des musiques inégales, il nous capte incroyablement et nous scotche devant notre écran afin d'assouvir notre désir de collectionite. Et la réponse à la question est toute trouvée : "Fuck it, allons friter la Ligue Pokémon". Et c'est ça qu'est bon.