2014 : Un avis sur chaque jeu fini !

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First run.
Une véritable pépite de game design et de level design ! Un très bon jeu d'infiltration, super grisant, qui incite vraiment à prendre son temps et à piéger au mieux ses ennemis. La rejouabilité est grande, ce qui montre la richesse du jeu (trouver les parchemins, accomplir les objectifs secondaires, s'amuser à ne tuer personne, le new game +). Le level design est de même très bon. Graphiquement, c'est superbe il y a une véritable patte et plein d'idées visuelles. Reste le scénario très convenu mais sympa avec ses cinématiques. Malgré toutes ses qualités, le jeu ne m'a jamais vraiment passionné, mais j'ai grandement apprécié chacune de mes parties.
Commencé le 13 décembre, fini le 8 janvier.

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First run.
The Darkness possède de nombreux et graves défauts en tant que FPS. Premièrement, il est d'une lourdeur insupportable, on a l'impression de peser trois tonnes, alors qu'en plus c'est typiquement le jeu où on aimerait aller vite pour tout massacrer. Ensuite, sa visée est imprécise, une visée auto nous assiste mais elle est merdique et nous fait viser parfois à côté, merci bien. Par contre elle sera pratique pour mieux atteindre les lumières. Et enfin son level design n'est pas sensationnel, surtout dans certaines phases de jeu, qui sont pas super propice au shoot d'autant que les ennemis sont souvent loin de nous, qu'on galère à les viser de loin, et qu'eux sont des snipers. Ah oui, et l'IA est déplorable. Mais à part ça, ce jeu défonce tout. Sa narration est excellente, très immersive, et nous plongera parfaitement dans l'univers. Le scénario est passionnant, constamment intriguant et surprenant. La DA déchire, je me suis parfaitement cru dans les bas-fond de New York, il y a une vraie ambiance. Les pouvoirs du Darkness sont jouissifs. En résulte un jeu mitigé, il faut oublier les imperfections pour en profiter au maximum. C'est ce que j'ai fait, j'ai été à fond, et j'ai littéralement pris mon pied. Je ferais peut-être une critique détaillant un peu tout ça.
Commencé le 6 janvier, fini dans la nuit du 11 au 12 janvier.

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First run.
Une découverte indy vraiment très sympa ! Réalisé en 72h dans le cadre d'un concours, on ne peut que s'incliner devant le travail accompli. C'est joli, le cadre est agréable à parcourir, il y a de l'inventivité. J'ai surtout bien aimé cet aspect technique de ne posséder qu'une seule flèche, devoir mesurer chaque coup. Vraiment grisant ! La musique est envoûtante et j'ai beaucoup aimé l'idée finale. Il n'y a pas grand chose à faire, et pourtant ça demande du temps pour le maîtriser. Un petit jeu gratuit vraiment cool.
Fait dans la nuit du 11 au 12 janvier.

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First run.
Autre jeu du concours Ludum Dare, j'ai trouvé celui-ci très ingénieux. Un super concept qui fait appel à la fois à la dextérité et à la mémoire, le tout saupoudré d'une musique vraiment cool. Le mode hard est HARD putain, quelle galère le niveau 5. Il m'aura pris du temps. Je mets 8 pour féliciter le travail en si peu de temps, car c'est vraiment un jeu de plate-forme de qualité, et les 50 niveaux sont tous très bons. Par contre il me marquera moins que Titan Souls, qui lui m'a séduit différemment, mais qui est moins bon en terme de gameplay. A tester si vous aimez la plateforme et le challenge !
Fait le 12 janvier.

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First run.
Au départ fortement sympathique, de part son atmosphère nouvelle, une bonne qualité graphique, un skin de Lara étrange mais amusant, et un niveau agréable à découvrir avec de jolies musiques péruviennes. Mais finalement, le jeu ne tirera jamais réellement parti de son potentiel, mettant ses meilleurs moments en début d'aventure (pièges, sauts techniques) avant de nous laisser faire tout le temps la même chose : aller du point A au point B pour actionner un nouveau levier. Boring et linéaire, le tout en gâchant les jolies musiques en les passant en boucle. Rageant. Pourtant, de bonnes idées viennent ponctuer le run, notamment visuellement, les temples ont une aura magique. Mais ce sera bien tout. C'est bien dommage. Voici une aventure de Lara plutôt anecdotique malgré son potentiel. Voir la critique de VGM.
Commencé le 12 janvier, fini dans la nuit du 16 au 17 janvier.

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First run.
Ce n'est pas un bon jeu, ni un mauvais jeu. En soi le gameplay a été amélioré par rapport au 1, mais c'est encore pas fameux. La visée de loin est catastrophique, et le jeu s'organise comme un cover to cover contre une IA cheaté. Ce sera donc à couvert, je tue, j'avance, à couvert, je tue, j'avance. A couvert, je tente de tuer, je prends cher, je regen ma vie, je tente de tuer, je prends cher, je regen ma vie, je tue, j'avance, à couvert... Ad eternam ad nauseam, le summum de l'ennui. Mais le jeu jouit d'une direction artistique et d'un visuel qui envoient du lourd. C'est moche mais photoréaliste, et ça va très bien avec l'esprit du jeu. La visite de Shangaï aura été pour moi de qualité, je me suis bien senti dans cette ville qui suinte. K&L2 est un jeu atypique, où l'on suit deux héros dégueulasse dans une aventure dégueulasse, qui enchaîneront les échecs et prendront cher. On sort des carcans vidéoludiques. Ce jeu est une curiosité, à tester si l'ambiance vous tente, je le recommande quand même car je ne regrette pas mon voyage, mais pas à plus de 2€ sur steam, ne soyez pas fou.
J'aurai bien écrit une critique, mais il y en a déjà beaucoup de pertinentes.
Commencé le 15 janvier, fini le 18 janvier.

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First run.
Je n'ai vu aucun intérêt à ce contrast. Niveau gameplay, l'idée de base est sympa et propice à des énigmes agréables. Dans les faits, la plate-forme est complètement raté à cause de sauts très mal gérés, beaucoup d'imprécisions, et la gestion des ombres dans les énigmes pas toujours au point. On se retrouvera souvent à pester sur des sauts qui auraient du être bidons. Artistiquement, à l'origine ça aurait du être du très bon, cette ambiance des années 20, la palette de couleur... Dans le faits c'est toujours pareil, et le charme des premières minutes s'estompe très vite. Musicalement, il n'y a aucune patte que l'on retienne et les décors sont affreusement vide, aucune vie, aucun charme, rien qui ne me donne envie de contempler cet univers. C'est du fade avec de jolis couleurs, mais du fade quand même. En plus, l'histoire qui aurait pu être sympa et assez pompeuse et on s'en fout complètement. Bref, Contrast n'est pas un mauvais jeu, mais un jeu beaucoup trop imparfait pour me convaincre.
Commencé le 5 décembre, fini le 7 février (en deux session espacées, chez un ami possédant la PS4).
Voir ma critique.

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First run.
Outlast est un survival qui a une vraie bonne ambiance, jouit d'un grand soin au niveau esthétique et sonore, et est original par l'utilisation de sa caméra. Cela dit, malgré le travail, les décors ne sont pas originaux pour le genre. Le level design ultra dirigiste empêche de faire naître la peur, on se sent beaucoup trop sur un rail. L'abus de jumpscare est aussi assez regrettable. Pas mal de défauts et d'imperfections qui viennent donc contrebalancer de vrais qualités. Reste un jeu en demi-teinte, efficace, mais décevant.
Fait le 7 février.
Voir ma critique.

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First run.
Difficile de ne pas afficher sa déception devant ce dlc : le fait qu'il traite deux histoires bien distinctes lui donne une grande impression de remplissage de vide. En effet, une seule des deux histoires est scénaristiquement intéressante... l'autre ne sert qu'à apporter le gameplay de The Last Of Us a l'ensemble. Si le génie narratif est toujours présent et que le gameplay est toujours très efficace, l'ensemble a du mal à former un tout uni. C'est d'autant plus dommage que la partie gameplay ne se contente que de faire du Tlou classique, sans surprise, même si efficace et plaisant à jouer. L'ensemble est en tout cas bien trop court pour justifier le prix de 15€. Je suis déçu, mais ma note est de 7 car il y a de très bons moments et que quoi qu'on en dise ça reste un dlc très plaisant à faire, devant lequel je ne me suis pas ennuyé une seule seconde. Mais la déception est forte, quand même.
Fait dans la nuit du 15 au 16 février.
Voir ma critique.

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First run.
Un très beau voyage dans un très bel univers. Une constante impression d'aventure alors qu'on ne fait pas grand chose. Mais l'on découvre, on explore, on interagit, et ça m'a vraiment immergé. En comparaison avec un autre jeu de randonnée, j'ai nommé Dear Esther, Brothers permet beaucoup plus l'immersion et l'implication (puisqu'il y a des choses à faire). Ma comparaison est juste une vanne, je précise. Par contre le jeu ne m'aura pas spécialement ému, car certaines choses sont attendues. Ce sont plutôt quelques petits détails qui me marqueront. Car si l'univers est guilleret et abordé de manière enfantine, il est pourtant impitoyable et marqué de la noirceur de notre propre monde. Je ferai peut-être une critique sur sa dimension de conte, car pour moi à ce niveau c'est une réussite. Mais ce serait full-spoil, donc j'évite de le faire ici.
Commencé le 22 janvier, fini dans la nuit du 20 au 21 février (après une longue pause).

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First run.
Ce second épisode m'a rassuré sur cette saison. Je l'ai trouvé plus maîtrisé et surtout mieux écrit que le premier. Ici, la saison 2 se lance vraiment. On s'attache et on s'habitue aux persos, les différentes intrigues se dévoilent et se développent, on est impliqués, il y a beaucoup de tensions et de surprises. Il y a beaucoup de personnages mais on ne s'y perd pas, ils dévoilent leur cartes petit à petit. C'est très bien construit, et ça me plait. C'est moins émotionnel en revanche, mais ça reste fort. Les détracteurs aimeront toujours aussi peu cela dit. Tant pis pour eux. (La musique de fin claaaaaaaaaque).
Fait le 5 mars.

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First run.
Ceci n'est pas un jeu. On n'a pas du tout le sentiment d'accomplissement d'un jeu. On ne fait rien, on n'a le temps de rien faire. Faire un prologue, d'accord, mais il faut le faire en tant que jeu. Là on a vraiment le sentiment d'avoir un bout tronqué du jeu final. Merci, super. Pas de boss, pas de péripéties... Une map sympa et de bons systèmes de jeu oui, mais ça ne suffit pas. Les missions secondaires sont sympas mais pas extraordinaire, et n'aident pas à offrir au jeu le sentiment d'accomplissement que l'on recherche. Pourquoi une si haute note ? Simplement car en tant que faible fan bah le scénario nous emporte quand même vachement, c'est du " Need la suiiiiiiiite ", c'est un plaisir à contrôler Snake, à jouer à un nouveau Metal Gear... Ca suffit à faire passer du bon temps, mais ça reste vraiment peu.
Commencé le 27 mars, fini le 28 mars.

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First run.
Il fallait le faire. Et bon voilà, c'était mauvais, comme prévu. Level design mauvais, aucune nervosité, un level art navrant, moche et vide. Aucun plaisir de jeu, jamais, à part en coopération quand on se moque ensemble. Malgré tout le jeu a des idées intéressantes, mais elles ne permettent pas de sauver l'ensemble, et beaucoup de ces idées sont ratées... Haze est mou, plat, laid, il manque cruellement d'énergie. Son scénario est bon dans le principe mais son traitement est catastrophique... pourtant il se prend au sérieux. Au secours. Ma note est un peu généreuse, mais voilà en coop on s'amuse quand même !
Commencé le 9 juillet 2013, fini le 4 mai. (oui, on a pris notre temps).

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Quatrième run ?
En une soirée en coopération avec mon frère, c'était torshé. Un jeu beaucoup trop court, mais son plaisir immédiat et son charme old-school font mouche pour une soirée, et c'est vraiment toujours plaisant. Les armes, les ennemis, les persos, les époques, tout est fun même si c'est imparfait. On s'éclate. C'est le moins bon de la série, mais on s'éclate quand même. Alors ça vaut 7, puisqu'au fond je l'aime d'amour ce jeu.
Fait le 22 mai.

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First run.
C'est beau, c'est envoûtant, c'est charmant, c'est enchantant, c'est un univers dans lequel on prend plaisir à s'immerger. A grands renforts de décors magnifiques sous forme d'aquarelles et de musiques mélancoliques qui nous transportent, la direction artistique fait que l'on se sent bien à Lemuria. On aimerait continuer à y voyager tant la route est plaisante. Mais au delà de ça, j'ai été déçu par le background du jeu, que j'espérais plus étoffé, avec plus de petites histoires annexes, plus de dialogues avec les pnj, plus de sidequests... En fait, je voulais que cet univers nous raconte des histoires en plus de se laisser regarder. Alors oui, il le fait via les différentes contrées que l'on explore et la magie que l'on en tire, mais j'en voulais encore plus. On décrit souvent Child of Light comme étant poétique... A mes yeux ce n'est pas le meilleur adjectif pour le décrire. En réalité, ce jeu est magique. On nous immerge dans la magie, dans une imagination magnifique qui nous renvoie à nos amours d'enfants. De la poésie il y en a, mais plutôt sous la forme de fable. Coeur de pirate a composé une ost magnifique, qui colle parfaitement au titre et lui confère une vraie identité sonore. J'ai adoré les combats en difficile, nécessitant de vrais stratégies, et parfois un suspense de haute volée ! Bref, Child of Light est un très bon jeu, son esthétique lui confère un charme exceptionnel, mais il manque un petit quelque chose pour se hisser au panthéon.
Commencé le 18 mai, fini le 2 juin.

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First run.
Depuis le temps qu'on attendait son retour ! SSX est fun, très fun, surtout dans ses tricks, jouissifs au possible, une explosion de plaisir entre les mains (surtout avec le gameplay "old SSX"). Les pistes se ressemblent souvent mais les tracés sont tous très très cools, et voyager à travers le globe est franchement très plaisant. Mais la campagne est vraiment raté, dans le sens où elle ne nous invite pas à nous impliquer. Vu qu'on change de persos tous les sommets, on n'a pas le temps de s'y attacher qu'on change déjà... Du coup, aucun sentiment de progression, d'autant qu'il n'y a pas de capacité à améliorer ni de personnalisation de personnage comme auparavant, qui permettait de s'attacher à notre parcours. Et puis c'est tellement facile... Finir 3ème sur 4 pour réussir... Sérieux ? Si je regrette la disparition de l'ambiance championship, j'adore l'ambiance Sport Extrême, et donc ça ne me dérange pas du tout. Le mode exploration a l'air complet, et propose le challenge absent de la campagne, mais sa structure ne donne pas envie de s'y plonger. Du moins, on ne voit pas ce qui est motivant, vu qu'on connait déjà toutes les pistes. Bref, l'absence de multi local et de multi en ligne est honteuse. Bref, vivement un SSX2 pour corriger tous ces défauts et nous plonger dans un fun sans limite.
Commencé le 6 janvier, fini le 4 juin.

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First run.
Bioshock Infinite nous livre un brillant univers, concocté à la perfection, écrit avec un soin irréprochable. Le scénario est un ensemble intelligent et formidable, prenant énormément de risques mais ne se vautrant jamais. Au contraire, il nous promène avec génie dans son univers, la ville elle-même mais bien au delà, en n'oubliant pas de faire marcher notre imagination et laisser libre cours à notre intelligence. Tout fait sens, on y croit, et si on n'accroche pas à telle ou telle idée, on ne peut qu'être admiratif devant le travail de cohérence qui a été établi. En plus de cela, les personnages sont très bien écrits, on s'attache grandement à Elisabeth, et si les secondaires sont peut-être un peu en retrait ils sont tout de même plus maîtrisés que dans la plupart des autres jeux vidéo. J'ai l'impression que les gens sont sévères sur certains points juste parce que c'est signé Bioshock. Ils ont raison de le faire, mais il ne faut pas pour autant en venir à trouver des excuses pour dé-hyper un jeu. Niveau gameplay, je regrette grandement un manque de punch, mais j'ai fini par beaucoup m'éclater sur la fin du titre ( et ce en m'impliquant davantage, car j'ai été assez passif dans les combats au début de mon run). Bref, Bioshock Infinite est un jeu marquant, comme on n'en fait peu, et qui a le goût de ces chef d'oeuvres intemporels. Je suis content d'avoir vécu dans la faille où ce jeu a vu le jour. Un titre d'exception.
Commencé le 3 avril, fini le 28 juin.

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First run.
Un très bon délire. Le jeu South Park nous porte dans son univers complètement abusé, parodique, satyrique, vulgaire, et complètement loufoque. On suit une histoire sans queue ni tête, et on se laisser surprendre par les dérives de ce gros bordel pour voir où il nous entraîne. J'ai beaucoup beaucoup ri, été plusieurs fois choqué par ce que je voyais. Mais c'est ça qui est génial dans ce jeu. Sinon, en tant que petit RPG, c'est vachement sympa, le système de jeu est plutôt cool, les combats sont un brin répétitifs car trop faciles mais on prend plaisir. J'ai pris mon temps sur ce jeu, pour y jouer uniquement que par période, pour ne pas me lasser. Et le jeu m'a énormément plu comme ça.
Commencé le 10 mars, fini le 1er juillet.

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Second Run
Difficile de le juger sans prendre en compte le monde en plus dans Ultimate Doom. C'est un FPS super cool, immédiatement fun, au level design génial (sauf pour certains niveaux) faisant primer l'exploration sur le shoot, de nombreux piège qu'il faut apprendre à déjouer, avec un bestiaire varié mais qu'on aurait peut-être aimé un peu plus enrichi. Difficile d'être exigeant envers un jeu de 1993, surtout quand il offre autant et qu'il me réjouit plus que la plupart des FPS modernes.
Pour le reste, cf ma critique (désolé, un peu la flemme).
Commencé le 7 juillet, fini en fin juillet (je n'ai plus la date exacte).

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Second Run
Ici je ne juge pas que le monde rajouté, ça n'aurait pas de sens, mais bien le jeu complet qu'on nous vend de nos jours comme étant le Doom 1 complet. Et cet ensemble est vraiment génial, avec des niveaux rajoutés assez ardus et globalement très bon. Puisqu'il est plus long sans dénaturer le jeu original, cet Ultimate Doom est forcément très cool.
Commencé le 7 juillet, fini le 10 août.

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First run.
Une de mes plus grandes attentes de l'année 2014. Soldats Inconnus est un jeu au postulat plus qu'ambitieux, celui de nous raconter la guerre telle que l'on vécue les soldats, les touts venant, ceux que l'histoire n'a retenu que par ses chiffres mortels. J'ai adoré ce voyage au sein de la première guerre mondiale, de front en front, de villes en villes, d'événements en événements. Je me suis vraiment senti dans cette guerre. Immersion facilitée par le talent incroyable des graphistes, réussissant à dépeindre ces ambiances dans un style de bande dessiné qui ravit l'oeil à chaque instant. Ce sont des dessins, mais on s'y croit, on s'y sent. L'horreur n'y est donc pas retranscrite avec du sang, mais elle n'en est pas moins édifiante. J'ai aimé toutes les petites énigmes qui parcourent le jeu, j'aime ce game design de point & click, mais sans pointer ni cliquer, juste en interagissant avec le décors. Certains pourront s'y ennuyer, moi j'ai adoré fouiller les décors à la recherche de tout. Entre légèreté et horreur, Soldats Inconnus montre la guerre avec un charme assez unique. Du reste, il y a quelques imperfections, des péripéties grossières (le Baron devient lourd au bout d'un moment), un manque d'empathie pour certains personnages dont on n'oublie vite le background dès qu'ils ne servent plus l'histoire, ce qui témoigne des imperfections de l'écriture de la trame même du jeu... Mais pour sa valeur historique, la grandeur de ses batailles, son charme indéniable, Soldats Inconnus fait parti de ces jeux qui marquent à la fois l'oeil et l'esprit. Pour autant, on aurait préféré qu'il aille encore plus loin, qu'il nous en montre plus, tant dans l'Histoire de la guerre que dans les émotions qu'il véhicule.
Commencé le 12 août, fini le 16 août.

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First run.
En une soirée en coopération avec mon frère. QForce est vraiment bien trop court, il se fait très rapidement en moins de 3h. Pour autant, ce sont 3h vraiment amusantes, où l'on prend grand plaisir à jouer à Ratchet en coop avec une dimension tactique en Moba/Tower Defense. Un concept qui se lie bien avec le fun de la série. Le plaisir de la coopération me rend plus généreux dans la notation... Dans les faits on aurait aimé que le lvl design des maps soit un peu plus fou, un peu plus vaste encore peut-être, et qu'il exploite plus les capacités de Ratchet. La force du titre semble se trouver en multijoueur compétitif, la campagne n'étant qu'une mise en bouche appréciable, j'y jouerai donc et si jamais il me déçoit je baisserai éventuellement ma note.
Fait le 17 août.

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Troisième run.
Une expérience horrifique toujours aussi saisissante. L'ambiance est magistrale. Porté par une esthétique somptueusement hardcore, des décors de folie, un grain angoissant sur l'image, des bruitages torturés, des musiques tantôt belles tantôt tétanisante... Silent Hill, c'est l'esthétique de la peur. Même si j'ai de moins en moins peur au fil des runs, le souvenir de mon premier traumatisme est toujours aussi frais. Maintenant, je constate quand même que plus le jeu avance, moins on est effrayé car on s'habitue au gameplay et car les monstres les plus pénibles sont ceux de l'école, au début du jeu, quand on manque d'arme pour se défendre. Mais avoir un peu de confort plus le jeu avance n'est pas un mal, plutôt un soulagement. Dans tous les cas, j'adore parcourir ce jeu, explorer la ville en prenant des risques, déchiffrer des énigmes, trouver mon chemin dans les niveaux... un plaisir de jeu qu'on ne retrouve que si peu de nos jours.
Commencé le 18 août, fini le 27 août.

Annotation :

First run.
Mouais. L'histoire est sympathique, c'est déjà pas mal. Malgré tout, elle est quand même beaucoup trop manichéenne. Là où les méchants créaient du mystère dans l'épisode précédent, dans celui-ci ils jouent leur rôle pour te montrer que ouais ils sont trop méchants. Les ficelles sont assez visibles. Mais ce n'est pas ça qui me gêne le plus. Dans cet épisode, pour la première fois dans TWD (à part le dlc), je me suis senti dans un film interactif plus que dans un jeu. Dans 90% de l'épisode, on ne fait qu'écouter les dialogues et participer de temps en temps en choisissant notre réponse. Mais il n'y a aucune implication émotionnelle, aucun suspense, aucun moment où on est pris au coeur. On contemple. A part sur le final qui, lui, est plutôt réussi. Les 10% restant sont composés de QTE qui semblent un peu forcés ("Les joueurs voudront une attaque de zombie!!"), et de scène où on devra marcher dans le décors... sans rien accomplir de spécial, sans résoudre aucune énigme, en cliquant juste où on nous dit de cliquer. La saison 1 proposait au moins un minimum de gameplay, qui nous faisait vivre les séquences et non pas juste les contempler. Au delà de ça, on peut regretter que dans son écriture, Clémentine fasse trop adulte au sein du groupe. Mais j'aime bien personnellement. Elle a un côté badass que je me plais à forger dans mes maigres choix quand j'en ai l'occasion. Bref. Ca se suit sympathiquement, mais c'est décevant, et ça fait peur pour la suite. Malheureusement.
Fait le 28 août.

Annotation :

First run.
Bien meilleur. Cet épisode est bien plus dynamique, l'histoire bouge beaucoup, le groupe attire de plus en plus l'empathie, et surtout on est beaucoup plus émotionnellement investi. Mais pour autant, ce qui s'y passe ne frappe pas autant au coeur que dans la saison 1, le manque d'investissement émotionnel pour les personnages auparavant joue en la défaveur de cet épisode. Même si je pense que c'est en soi le meilleur épisode jusqu'à présent, le climax aurait du être à ce moment beaucoup plus important. Pas la faute de l'épisode, mais la faute de la saison. Cela dit, l'épisode final promet. Confirmation bientôt.
Fait le 29 août.

Annotation :

First run.
Voici un jeu que je rêvais de faire quand j'étais gosse, mais je ne l'ai jamais trouvé à bon prix. Finalement je le fais 12 ans plus tard, et ça ne lui rend pas honneur. Bordel, ce que ça a vieilli. Moi aussi, j'avais vibré au premier level, du moins dans les vidéos que j'en voyais. J'étais subjugué. Et là... là... Là c'est plat, mon dieu. Trop triste. On a vu tellement plus fort en intensité et en mise en scène que l'on n'est pas surpris, on en attend plus, même s'il faut avouer qu'en terme d'ambiance et de décors le jeu est vraiment sympathique. Je m'attendais à ce que le jeu nous immerge dans de grosses batailles (comme la première mission), mais finalement on reste sur les bases des précédents opus : nous sommes un soldat tout seul et on va exécuter des trucs tout seul. Bien moins excitant. Le level design est extrêmement classique. La visée est assez imprécise si on ne se sert pas du viseur, et lente si on s'en sert, mais on s'y fait. Heureusement, la localisation des dégâts et les animations d'impact et de morts sont vraiment sympa, ça confère une patte agréable. A jouer, c'est atroce en mode normal, le jeu est bien trop dur et il n'y a aucun checkpoint, on passe notre vie à couvert à avancer très lentement, et à la moindre erreur on retourne 20 min en arrière. Affreux. En facile, le jeu se révèle du coup beaucoup plus appréciable et se fait, certes rapidement, mais avec plaisir. C'est un FPS classique, qui souffre du poids des années, qui a moins de charme Old School que le tout premier épisode, mais qui se fait avec sympathie. Il n'est en tout cas pas à recommander de nos jours... A part pour sa fabuleuse OST de Michael Giacchino, quelle pépite. Elle confère au jeu un souffle épique et mélancolique. Une aura triste. How war feels.
Commencé le 16 août, fini le 10 septembre.

Annotation :

First run.
Il avait beau avoir une excellente réputation, P.T. est loin de m'avoir déçu. Son travail sur l'ambiance, tant visuelle que sonore, est excellent. Dès les premiers pas, impossible de ne pas être happé. Pourtant, si le stress arrive bien tôt, la peur elle est croissante, jusqu'à devenir une véritable terreur. La répétitivité constante apporte un véritable sentiment d'enfermement, de piège duquel on ne pourra jamais s'extirper. Plus le nombre de répétition augmente, plus le sentiment de perte de contrôle devient fort. Le jeu se joue de nous, et jamais nous ne jouons avec le jeu. Il y a là un grand talent dans la compréhension de la peur. Extraordinaire. Malheureusement, le principe même du jeu (celui d'empêcher le joueur d'arriver à la fin pour ne pas découvrir le trailer de Silent Hills) nuit à P.T. maintenant que le pot aux roses a été découvert. Impossible de finir le jeu sans solution, et même avec c'est loin d'être évident... Il en reste tout de même un jeu qui marque.
Fait dans la nuit du 14 au 15 septembre.

Annotation :

First run.
Un épisode final saisissant. Enfin on comprend où Telltale nous menait pendant tout ce temps, et l'intensité émotionnelle est très forte. Les choix sont très difficile, et on se sent malmené par le jeu. On a là un très bon épisode, un des meilleurs toutes saisons confondues, écrit avec beaucoup d'intelligence. Il ferme d'une très belle manière cette saison 2.
Fait le 15 septembre.

Annotation :

First run.
Pour finir, cette saison 2 ne satisfait pas toutes les attentes du fan de la saison 1. De manière générale, celle-ci est bien moins saisissante, elle surprend moins et prend beaucoup moins le joueur aux tripes. La faute à de trop nombreux personnages qui ne servent pas à grand chose, un attachement bien moins fort, des choix bien moins cornéliens (sauf dans le dernier épisode). La passivité est plus grande, beaucoup moins de choses sont demandées au joueur : il n'y a plus d'énigme, les phases où l'ont peut marcher sont inutiles et n'apportent rien, le jeu n'est que succession de dialogue QCM, cinématique, et QTE de temps en temps. Forcément, l'implication du joueur en souffre. De plus, on a du mal à voir où nous mène cette saison, tant elle s'amuse à prendre des virages à chaque épisode sans que cela n'apporte grand chose. Heureusement, l'épisode finale rétablie la balance du bon côté, et je trouve que se dégage alors de cette saison une histoire intéressante, transcendée par cette fin. Cependant, le tout reste beaucoup moins fort et marquant. Même si toutefois efficace.
Commencé le 17 décembre, fini le 15 septembre.

Annotation :

First run.
Honnêtement, comme pour le premier, c'est un peu surnoté. Mais je m'en fiche, c'est vraiment un des meilleurs FPS que j'ai pu faire. En terme de gameplay, ça corrige tous les défauts du premier. Si les déplacements restent relativement lents, on est très très très loin de la lenteur insupportable du premier, les combats sont hyper nerveux, les pouvoirs sont vraiment cools, les interactions avec les éléments du décors deviennent vite à réflexe.. Ca donne envie d'avoir un Darkness avec nous dans tous les FPS. C'est un pied de tous les instants, d'autant que le bestiaire se renouvèle et est bien plus intelligemment pensé que pour le premier. Un vrai plaisir. Le level design est cependant très simpliste, mais celui du premier l'était aussi dans ses niveaux fermés. Je regrette quand même que l'ambiance soit beaucoup moins sombre et suintante à cause du Cell shadding, mais la patte artistique reste intéressante. Le jeu n'oublie pas la dimension narrative du premier, même si celle-ci est moins appuyé. Les passages purement narratifs et tranquilles sont plus rares, mais ils sont efficaces. Globalement, l'histoire nous porte vraiment, elle est bien rythmée et on a toujours envie de voir la suite. Un grand point fort. C'est juste dommage que le jeu ne soit pas très long, mais ça ne me dérange pas outre mesure. Le jeu Darkness parfait ce serait le mix des deux opus, avoir l'ambiance et la narration du premier et le gameplay du 2, ce serait ultime. Cela dit, le 2 ne démérite pas du tout, et même s'il est linéaire je le trouve vraiment efficace, il tire clairement son épingle du jeu parmi les autres FPS du moment. C'est triste qu'il ne soit pas autant mis en avant.
Commencé le 21 septembre, fini dans la nuit du 23 au 24 septembre.