Bernard Herrmann : maître de l'angoisse

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1941
Musique à la démesure de Charles Foster Kane.
On peut entendre l'influence de Tchaikovsky sur le travail de Bernard Herrmann.

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1941

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(1942)
Deuxième collaboration avec Orson Welles.

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(1945) / (1952)
Pour Hangover Square, on retiendra l'incroyable "Concerto macabre", une forme de concerto pour piano à l'intérieur d'un film, très en vogue dans les années 40 (je conseille par exemple le Concerto de Varsovie d'Addinsell pour le film britannique "Dangerous Moonlight" de 1941)
Une forme certainement inspirée du 2e concerto pour piano de Rahcmaninov joué pour la première fois en 1901.

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(1946)

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(1947)
Composition culte !

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(1951)
Très commun.

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(1952)

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(1953)
Une composition agréable à écouter.

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(1953)
Une composition éthérée dépaysante et aquatique.

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(1954)
Bernard Herrman et Alfred Newman conjuguent leur talent pour une musique de péplum musclée.

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(1954) / (1955)
Une B.O. honnête de la part de Herrmann

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(1955) / (1957)

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(1955)
Une mélodie sympathique pour le drame de Hitchcock.

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(1956)
Musique anxiogène pour le film de Hitchcock

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(1958)
Bernard Herrmann a travaillé plusieurs fois avec Ray Harryhausen pour ses films d'aventure. Et cette aspiration épique se retrouve dans son écriture pour un film comme "The 7th Voyage of Sinbad".

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(1958)
Angoissante dès le générique, cette partition est un véritable joyaux à la hauteur du film duquel elle s'inspire.
Il est à mentionner que Hitchcock construisait ses scènes autour de la musique de Herrmann. Ils avaient de longues discussions pour savoir si une scène nécessitait un accompagnement musical ou fonctionnerait mieux sans musique.

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(1959)
On trouve pour ce film les typiques choeurs qui font "Ooooh" et qui servait à manifester la présence des aliens dans les années 50.

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(1959)
Blue Denim

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(1959)
Ambiance magique pour cette composition qui compte parmi les plus emblématiques du compositeur.

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(1959)
Pour North by Northwest, Herrmann fait à nouveau des merveilles, avec une musique très travaillé, et qui ne sonne comme aucun autre compositeur de son époque.

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(1960)
Surement sa composition la plus anxiogène, avec des cordes très sèches et brutales, qui se développent et s'entrecroisent avec une perfection harmonique rarement égalée.

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(1960)
Herrmann livre une composition virtuose sous forme de pastiche de la musique du XIXe siècle.

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(1961)
Une nouvelle fois, des sonorités très intrigante et plusieurs thèmes qui s'enchaînent bien.

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(1963)
Un autre film de Ray Harryhausen qui bénéficie de la collaboration du compositeur.

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(1964)
Magnifique !

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(1964)
Voici le fameux score de la discorde entre Herrmann et Hitchcock. Et si on peut constater que cette musique est plus efficace que celle commandée à John Addison, l'ensemble se révèle quelque peu longuet sur la distance.

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(1965)
Une musique qui se fait totalement anesthésier par son sujet : un mélodrame totalement oublié.

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(1966)
Composé pour le film de science-fiction de François Truffaut, on y retrouve une atmosphère de suspicion qui plane sur l'ensemble du film. B.O. anxiogène entrecoupée d'un thème d'amour renversant.

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(1968) / (1968)
Twisted Nerve, culte depuis Kill Bill, est proche de la perfection dans ce mélange de sifflements et de cordes anxiogènes.