Best of Culture QUEER (gays, lesbiens, transsexuels, bisexuels, BDSM, fétichisme, travestis, transgenres, féminisme, prostitution, pornographie...)

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Le chef d’œuvre de Visconti. Il est à noter par ailleurs que dans l'œuvre de Mann, l'enfant a 11 ans. Visconti fait jouer Tadzio par un enfant de 14 ans, mais la sensation d'amour pédophile ne disparaît pas pour autant. Consumé par ce désir interdit, Aschenbach est peu à peu dévoré de l'intérieur ; sa chair se corrompt, et il n'en est libéré que par la mort.

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C'est parce que la mise en scène ne varie pas, parce qu'aucun décret moral ne vient régler manu militari le problème, parce que tout demeure également possible que Mysterious Skin apporte, sur la pédophilie une réponse honnête. Et même admirable pour des raisons plus profondes.

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La référence! Plus vraie que nature... Exubérant et tellement drôle, on adore à la folie.

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La référence! Plus vraie que nature... Exubérant et tellement drôle, on adore à la folie. Mais on s’arrêtera là. Le troisième volet n'est pas au niveau.

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Helmut Berger travesti en Marlène Dietrich, un must.

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J'ai été embarquée dès les premières secondes par l'atmosphère très seventies du cabaret new-yorkais.

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Incontournable.

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Un mélange des genres à faire perdre la tête.

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Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur l'origine du voguing... Avec Madonna vous avez eu le mainstream (la copie), avec Paris Is Burning vous avez l'underground (l'original).

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Cet hommage sophistiqué, qui retrace aussi, vingt-cinq ans après, les années fastes d'un New York ouvert aux marginaux visionnaires, résonne aujourd'hui comme une chanson mélancolique, lointain écho d'une fête défunte.

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Artistes psychédéliques, Drag Queens avant leur temps : bienvenue dans l’univers toqué des Cockettes, la troupe déjantée qui inspire et exalte, de John Waters à Andy Warhol.

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Une merveille d’humour mélancolique et de délicatesse ; un modèle de documentaire qui, contre les principes du cinéma vérité, élabore la mise en scène du film avec ses propres personnages…

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Parmi tous ces documentaires vous en avez un qui vas vous faire pleurer à chaudes larmes : "Prostitution : l'enfer d'une mère" : Il y a quelques années, Jean-Marie, jeune homosexuel toxicomane est devenu Sandra, prostituée de la place de la Nation à Paris. Josée, sa mère, retraitée, a abandonné depuis dix ans une vie tranquille pour vivre jusqu'au bout avec Sandra, combler sa solitude, l'aider à faire face à sa récente séropositivité et peut-être à abandonner la drogue. Le film raconte la vie de ce couple déchirant et se veut le récit d'une histoire d'amour exceptionnelle.

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A tout ceux qui comme moi n’ont pas connu le Sex avant l'arrivée du SIDA...

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Vallée s'attache au moindre détail 70's avec l'amour et l'humour constamment vissé à sa petite troupe, mélange les genres, balaye les idées reçues et offre à Marc-André Grondin, son héros, l'occasion de devenir une star.

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La raison pour laquelle ce précipité généreux émeut vient précisément du fait qu'il retranscrit des tonnes de choses justes sur la sexualité d'aujourd'hui, sous une forme légère et une apparente euphorie (l'humour étant la politesse du désespoir). Le film n'a pas été fait avec des millions de dollars mais un coeur gros comme ça.

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Cet amour qui se consume de loin résume finalement à lui seul le vrai sujet du film : l'obsession.

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Ancré dans le réalisme d'une banlieue morne de Londres, cette histoire d'amour est une bouffée d'air frais crédible et enjouée portée par des acteurs crédibles et la musique de Mama Kas. Ce film culte fait le portrait positif de deux garçons qui découvrent leur désir réciproque en mettant l'accent sur la force de l'élan amoureux .

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Après "Short Cuts" de Atman, vous avez "Happiness" de Todd Solondz : pervers à souhait. Le jeune auteur américain nous écorche vif avec une douceur toute fraternelle.

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O Fantasma évacue très rapidement l'imagerie du film pédé et ses cortèges de pissotières malodorantes pour défricher la voie d'un manifeste en faveur d'une étrange liberté de déshumanisation et de négation de son propre ego.

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Ce film est une "expérience", et de ce fait ne supporte que le visionnage. A voir et méditer... Il révolutionne l'expérience cinématographique en tant que telle et place le cinéma comme un art à part entière et indivisible.

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Ah la bourgeoisie et ses fantasmes, tout un poème...

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Intéressant pour découvrir le combat qui a été le sien et qui nous parait déjà bien loin...

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Encore un témoignage qui me fait fondre en larmes... En attendant, tous ces rescapés évoquent avec une simplicité parfois tragique comment le paragraphe 175 (entré en vigueur en 1871 mais tombé en désuétude, il condamnait les "actes contre nature" entre hommes), devint une référence cauchemardesque... qui ne disparut du Code pénal allemand qu'en 1994.

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Film culte de tous les films cultes. Comédie musicale fantastique (comme le "Phantom of the Paradise" sorti à peu près en même temps). Génial et délirant, un des films les plus barrés du cinéma. Un des premiers rôles de Susan Sarandon...rôle clé pour Tim Curry...excellent !!

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"je vais t'enculer et tu vas jouir",on pourrait trouver ça vulgaire, Blier le rend poétique. Rétrospective sur les critères de masculinité, chef d’œuvre du cinéma français, le trio Depardieu-Blanc-MiouMiou, nous raconte un veau de ville contemporain ,drôle et tragique. De pardieu qui campe un couillu voyou, est dans l'un de ses meilleurs rôles.

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Un grand doc, très instructif, très intelligent, très drôle et qui permet de revisiter un siècle de cinéma gay, pas toujours ouvertement dit, mais souvent, génialement évoqué. Avec en plus des témoignages forts intéressants. A voir !

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Un thriller hypermaniériste où le suspense (...), millimétré comme des préliminaires au lit, exsude le plaisir constant de filmer.

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Délicieusement trash...