Cette jaquette répondait au nom de Bella (Best Art Vinyl 2005)

Annotation :

Malgré un jaune qui vous viole la rétine, l'illustration d'Albion se reconnait de loin sans forcément qu'on soit un fan du groupe. A une époque où la surenchère d'effets était déjà à la mode la valeur iconique de ce qui n'est finalement qu'un simple logo est d'autant plus renforcée.
Pas forcément de lien avec l'album ou le groupe mais surtout un message qui est passé.

Annotation :

La très célèbre pochette du groupe écossais alors en plein trip industrialiste. Take Me Out et son fameux clip aura popularisé ce style très épurée, esthétique et passionnément vintage.

Annotation :

Jamie Hewlett au sommet de son art (et seulement la troisième place !) pour ce qui est de mon avis la meilleur pochette du groupe et l'une de mes préférés en général. C'est simple, très épurée mais la gestion du noir et du blanc ainsi que le jeu des couleurs fonctionnent du tonnerre. La mythologie du vrai faux groupe se poursuit et en voyant ses 4 rock stars on meurt d'envie de savoir ce qui se cache derrière leurs histoires.
Le point d'orgue de la recherche musicale du groupe et de sa collaboration plus que nécessaire avec le célèbre illustrateur.
Et pour la version Instrumental un très joli détournement de l'illustration initiale.

Annotation :

Pas la pire du gamin mais ça m'en touche une sans me bouger l'autre pour rester correct. Toujours aussi ego centrique avec l'idée de l'ange et du démon maintes fois reprise et un fond étoilé du meilleur effet. J'aurais vraiment râlé si il n'y avait pas pire.

Annotation :

Bordel ! 3 fois qu'elle apparaît dans les Best Vinyl Art et heuresement ça s'améliore un peu vers la fin car là on touche le fond. Dans le genre aguicheur la vieille pie fait fort. 50 balais passés et grâce à Photoshop elle fait encore croire qu'elle a sa place dans le calendrier Playboy en tant que miss Juillet 2005. Mais non non et non ! C'est moche, commercial et putain de mysogyne. Écarter les cuisses et prendre des positions digne de Jojo's Bizarre Adventures ne veut pas dire qu'on fait de la bonne musique.
De la bouillie visuelle pour de la bouillie auditive, très déçu de la voir dans cette courte sélection alors qu'il y avait Clap Your Hands Say Yeah ou New Pornographers.

Annotation :

De plus en plus Pop, Coldplay demande à Tappin Gofton de réaliser le cover art et c'est un succès. En esthétisant le code Baudot (ne me demandez pas comment ça marche, c'est du binaire et j'ai pas voulu en savoir plus) avec un très beau jeu de couleur on obtient alors une pochette qui reste dans les mémoires. Simpliste au possible contrairement à pas mal de chansons de l'album. Comme pour l'album précédent A rush of Blood to the Head et ainsi que pour les futurs albums qu'on retrouve dans les séléctions suivantes, X&Y voit son concept développé pour tout les singles même si ici vu la simplicité du truc ce n'était pas bien compliqué à penser. N'empêche que ça donne à chaque fois de très beaux rendus.
Je suis définitivement fan (et prend ça dans les dents Madonna, arg !).

Annotation :

Très pop art et graf, la pochette fonctionne bien (et pour l'époque on va pas trop en demander).

Annotation :

C'est déjà un peu mieux que Confessions on a Dancefloor même si toujours un peu tapageur mais avec ici un petit côté malsain qui se dégage de la composition et des tons très sombres.

Annotation :

Le père Kanye toujours très bien logé niveau artwork même si malheureusement on ne le retrouve pas souvent dans les autres sélections. Ici c'est son fameux nounours qui se tape l'affiche sur une cover très mystique. Qui aurait dit que c'est le CD d'un rappeur US ?