Films vus en 2016

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Vu le 10 janvier.

Dernier film de Tarantino sorti en salle, et comme souvent, c'est très plaisant à regarder, surtout que le film est un huis-clos hyper efficace, aux dialogues savoureux (comme souvent avec Tarnatino) , portés par de très bons acteurs ; en plus, on se paie comme toujours le découpage en chapitre avec des allers et retours dans le temps, jusqu'à ce que le film ait tendance à se barrer dans des délires grotesques types séries B (ce qui fait toujours bien rire, même si la salle dans laquelle j'étais n'avait pas l'air de trouver tout ça très drôle) ; bref, c'est donc un excellent film, pour bien commencer la nouvelle année. En plus, la BO d'Ennio Morricone est excellente.

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Vu le 22 janvier.

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Vu le 7 février.

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Vu le 21 février.

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Vu le 21 février.

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Vu le 22 février.

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Vu le 28 février.

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Vu le 2 mars.

Très bon film, qui s'en sort pas mal avec un sujet loin d'être simple à évoquer. C'est très bien interprété, avec un Idris Elba fascinant et effrayant, et surtout la photo est assez géniale ; on se paie des scènes hyper bien filmée, des beaux plans, un changement de colorimétrie le temps d'une scène, un petit plan-séquence classe, et puis pas mal de compo super classe. Bref, un très bon film.

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Vu le 3 mars.

Sans doute le Carpenter le plus improbable que j'ai pu voir jusqu'à ce jour : tout ou presque est outré, il faut se payer des mini-gags moisis, Kurt Russel qui fait n'importe quoi avec son side-kick random... Mais ce film m'a plu, justement pour cette ambiance de série z qui part dans tous les sent ; je l'oublierai peut-être, mais c'était quand même un bon film détente.

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Vu le 4 mars.

Je m'attendais pas à quelque chose d'exceptionnelle, mais c'est vrai que c'est pas ouf ; dans les choses décevantes, je retiens surtout certaines séquences d'actions assez malvenues (comme celle de la prison, où il faut se payer des grosses bastons de couloirs alors qu'il n'y en a presque pas dans le comic) un peu trop violentes sur certains points, et en plus on a droit à des ralentis inutiles un peu partout... Le pire, c'est que la première partie du film se tient à peu près et est agréable à regarder...

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Vu le 5 mars.

Chouette film de Lynch, très bien mis en scène, avec une ambiance bien particulière et de bons acteurs.

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Revu le 6 mars.

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Vu le 11 mars.

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Revu le 12 mars.

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Vu le 20 mars.

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Vu le 26 mars.

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Vu le 27 mars.

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Vu le 9 avril.

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Revu le 16 avril.

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Vu le 23 avril.

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Vu le 25 avril.

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Revu le 26 avril.

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Vu le 13 mai.

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Vu le 15 mai.

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Vu le 19 juin.

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Revu le 25 juin.

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Vu le 3 juillet.

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Vu le 21 août.

Dernier film de Carpenter des années 80, Invasion Los Angeles se présente comme un film d’invasion extra-terrestre avec pour singularité qu’ ”ils” sont déjà parmi nous.

Tout commence tranquillement avec les aventures d’un héros vagabond dont la vie bascule le jour où via l’obtention de lunettes de soleil spéciales, il découvre que les extra-terrestres sont parmi nous et nous contrôlent via les médias.

Avec cette idée sympathique, le réal nous glisse en fait une critique du système capitaliste américain (où les personnages vont même jusqu’à comparer les fameux extra-terrestres à une entreprise libérale...) qui passe plutôt bien, malgré sa non-subtilité et le rythme improbable du film (avec une séquence de catch sortie de nulle part aux deux tiers du film qui dure quand même dans les 5 minutes, mais qui fera plaisir aux amateurs de baston jouissives) qui va avec.

Le film est ainsi franchement bien réalisé, et contient pas mal de bonnes scènes bien réalisées, à l’image de celle où les crs américains/extra-terrestres rasent un bidonville, ou encore la séquence où le héros met ses lunettes et découvre la vérité, qui arrive à mettre en place une ambiance bien particulière et assez forte. Le reste du film est très bien rythmé, et sa durée relativement courte (un peu moins d’1h30) fait que l’on ne s’ennuie jamais, ou rarement.

En tout cas, le film m’a bien plu, notamment par curieux mélange série B/militantisme qui fait que l’on en ressort avec un film d’actions très sympathique, qui se révèle en plus porteur de message.

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Vu le 22 août.

Troisième film de Terrence Malick et étonnamment sortie à peu près 20 ans après Les Moissons du Ciel, The Thin Red Line essaie de faire une sorte de grande fresque sur la bataille de Guadalcanal lors de la seconde Guerre Mondiale, entre les américains et les japonais, avec de nombreux personnages, et comme souvent avec le réalisateur, une belle mise en avant de la nature. Pour le coup, le film a de très belles images, et une belle mise en scène. On distingue bien la flore qui pousse au sol, ce ne sont pas justes des brins d’herbes random. Par contre, difficile de s’attacher aux personnages qui sont difficilement identifiables, mais j’aime bien comment est traitée la relation entre le personnage de Sean Penn et celui de Jim Caviezel . Un chouette film en tout cas, bien qu’un peu longué.

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Vu le 23 août.