Je hais l'humanité

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"Non je ne puis souffrir cette lâche méthode
(Ah il aime pas)
Qu'affectent la plupart de vos gens à la mode
(Il aime pas la mode)
Et je ne hais rien tant que les contorsions
(Il aime pas le jerk)
De tous vos grands faiseurs de protestations
(Il aime pas du tout)
Viens viens ma Célimène! Ah viens viens je t'amène
(Allez viens va)
Laisses ces sapajous faire ensemble joujou
(Ils dansent le jerk)
Toutes leurs flatteries et leur cajoleries
(Avec les mains)
C'est rien que du chiqué ..."

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Certes, ce sont des chevaux qui sont misanthropes, mais tout de même.

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Il est là pour les autres aussi. Si j'avais trouvé les entretiens...

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Ici, c'est l'auteur qui hait l'humanité. Non?

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pour Thieuthefirst. Davantage une âme blessée qu'un contempteur de l'humanité à juste titre.

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dixit Socinien

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dixit Ano. Je préfère mettre sa grande fiction, qui pour ce que j'en sais a une portée plus générale que ses invectives.

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dixit Torpenn

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dixit JM_ach (quel drôle de nom).

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Le dernier article, "Apocalypse" paraît donner à la bêtise une portée générale; le reste s'adresse surtout aux intellectuels et aux pouvoirs (donc les journalistes...)

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Dans le dialogue final avec le journaliste. De mémoire: "Qu'éprouvez-vous à présent? - De la haine."
C'est, disons, une conclusion logique sur l'être humain.

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Dixit Article50

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Monsieur le professeur, répliqua vivement le commandant, je ne suis pas ce que vous appelez un homme civilisé ! J’ai rompu avec la société toute entière pour des raisons que moi seul j’ai le droit d’apprécier. Je n’obéis donc point à ses règles, et je vous engage à ne jamais les invoquer devant moi !

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Robur.

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Pas bien reluisants ceux qui restent.

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Plus exactement: cette surhumanité que sont les femmes.