Les livres de ma vie.

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Toutes premières larmes littéraires. Merci au garçon qui m'a fait le lire sans même le savoir...
Un peu mon premier "grand" livre. Je me souviens encore du jour où j'ai vu ce titre en parcourant les étagères poussiéreuses. Mais je ne me doutais pas que ce roman, j'allais l'aimer, l'adorer. Et le garder toujours en mémoire.

Sa fin m'a émue aux larmes, et aujourd'hui encore, quand je vois quelqu'un le lire dans le train et atteindre les dernières pages, je jette un oeil ému vers la larme qui coule sur la joue de cet(te) inconnu(e), car moi aussi, j'ai pleuré... Pleuré l'amour. Pleuré la vie. Inoubliable.
Gravé, à jamais.

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Mon amour de jeunesse.
Je ne m'en lasserai jamais. Coup de cœur pour l'époque et les personnages. Beauté de la langue (à lire en anglais, une pure merveille), beauté des sentiments.
Mon amour des mots vient de là (et de Roméo et Juliette, et de Stendhal aussi), comment les agencer ensemble, comment mettre en forme des sentiments, comment s'adresser à l'autre.. J'aurais vraiment du naître à une autre époque, et si ça n'avait pas été celle de Bach, ça aurait été celle-ci... Un rêve.
Ce livre se lit avec un tel plaisir, et cette histoire dépasse dans mon cœur toutes les autres.. Mon premier livre de Jane Austen, et le début de mon adoration pour son œuvre. Non, non je ne m'en lasserai jamais.

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M'a très largement marquée et influencée. Une surprise, que je n'attendais pas au tournant il y a déjà quelques années de cela, et qui m'a ouvert les portes de bien des réflexions et bien des lectures (Joyce Carol Oates avec par exemple son merveilleux "J'ai réussi à rester en vie", Nelly Arcan, Anaïs Nin...).

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Difficilement comparable à tous les autres livres de cette liste. Difficilement notable. Mais au-delà même du témoignage d'une réalité poignante et abominable, c'est avant tout une vision de la vie, une beauté des mots et une justesse dans la retransmission des sentiments que je tiens à saluer. Jamais déclaration ne fut si belle....
Non, une histoire ne suffit pas, aussi touchante soit-elle. Mais ses mots, son âme, m'ont eue. Toute entière. Ce musicien des mots qui dépeint si merveilleusement cette perte incompréhensible. Ou comment mettre des mots sur l’innommable.
Des larmes et des sourires, et tellement de justesse. Je l'aurais fait lire à n'importe qui une fois la dernière page terminée, tant il me semblait essentiel de partager ce chant de vie. De quoi redonner foi en l'Humanité.

Coup d'amour.

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Des livres dans mon enfance il y en a eu beaucoup...
Mais Hulul pourrait tout résumer. Une illustration, quelques lignes, une histoire : un rien suffit à me faire sourire, à me submerger de tendresse et d'émotion.
Ce personnage si attachant, si paternel presque. Et ces histoires simples, des histoires de vie, riches et si ouvertes à l'imagination. Ces "petits riens" qu'on nomme "grands tout" ...

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Lecture essentielle dans un chemin de femme.

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J'ai commencé, et j'ai très vite été prise au point de ne plus le lâcher. L'écriture est belle et d'une grande fluidité. Ça peut m'arriver souvent, en revanche, ce livre m'a littéralement parlé, certains passages ont eu un écho tout particulier en moi. D'une justesse impressionnante quant à mon ressenti personnel.
Et le début d'une longue lignée de Murakami lus et enchaînés jusqu'à presque épuisement.

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Une petite révolution.
Ce n'est que le début d'une longue lignée d'ouvrages que j'ai envie de lire, d'apprentissages que j'ai envie de faire, à propos de la Communication non violente.
J'ai trouvé ça percutant, à tous points de vue.
Son discours sur l'empathie reste moteur dans ma formation actuelle. Et tant d'autres parties/chapitres font écho en moi.
Ca me donne des envies, des envies de rendre accessible cette méthode à tous ceux qui le souhaitent, et ce dès le plus jeune âge. Parce que la communication c'est partout : en famille, en couple, au travail, en amitié, en politique, dans la rue, ... Parce que la relation à l'autre, c'est la clé de tout. Et que si on se connecte davantage à soi-même pour se connaître mieux, si on est plus disponible à l'autre et à l'écoute de l'autre, ça sera bien plus simple...
"La violence n'est pas l'expression de notre nature. elle est l'expression de la frustration de notre nature."

A lire, à relire, à prêter, à offrir, à garder, à retenir.

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Le livre que j'aurais tellement voulu lire quand j'avais 16 ans... Le livre que j'attendais quelque part. Et même en le lisant maintenant, j'ai l'émotion de me retrouver, d'être de nouveau cette adolescente désemparée qui avait follement besoin de ces personnages, de cette histoire, de ces post-its, de ces challenges... J'aime j'aime j'aime. Pourquoi, pourquoi n'a-t-il été écrit qu'en 2016...

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Si juste...
Plus j'en lis sur la communication non violente et plus je veux en lire. C'est merveilleusement à propos. Ca pose question sur tant de choses !! Sur l'empathie, sur l'expression de la colère, l'usage de la force, accepter un remerciement, ... A mettre entre absolument toutes les mains. Waouh...

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Génial. Un concentré intensif de positivisme en barre. On sort de cette lecture grandit, c'est simple, ça n'est pas aussi technique que des livres de communication non violente, c'est romancé mais plus plausible qu'un Gounelle. A lire, à relire, pour être heureux, encore, toujours plus !

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Ce livre est une petite partie d'une grande révolution dans ma vie.
Ce n'est pas (trop) moralisateur, pas seulement des grands préceptes : ce sont des exemples concrets, des solutions pour presque tout !!!
Comment bouleverser ses habitudes (et pour elle ça doit être bien plus dur que pour d'autres, parce qu'elle est partie de trèèèès loin !!) et sortir de cette société de consommation sur emballée.
Ca fait aussi bien relativiser sur nos possessions matérielles, ce qui nous sert vraiment, quelles sont les raison qui font qu'on garde les choses alors qu'on pourrait s'en passer. Ca permet de se poser des questions, et de faire un beau tri dans ses affaires.

Ce qui est dommage, c'est que ça aurait pu être ma bible. Mais non. Parce que dire que c'est 40% d'économie, c'est un peu facile quand on passe d'une gigantesque villa à une maison "normale", qu'on passe d'un shopping hebdomadaire à un exemplaire de chaque vêtement dans sa garde robe (1 chemise, 1 robe, etc), qui plus est, acheté d'occasion. En bref, quand on a pas mal de choses qu'on pourrait diminuer même sans penser au zéro déchet, juste en vivant comme un habitant "moyen", et pas sous le grand train de vie américain.
Le ton ne m'a pas particulièrement emballée et m'a rendu le personnage un peu antipathique... Voilà pourquoi ce n'est pas plus que 8 alors que ça aurait vraiment pu.

Donc vraiment : A LIRE ! Pour tout les conseils pratiques qu'il contient. Et juste parce que, quand on sort de cette lecture, on ne peut pas recommencer comme avant. Il y a forcément des petites choses qu'on modifie... (ou plus). Et c'est toujours ça de pris, la planète en a bien besoin. Donc je l'ai, je le prête à qui veut, et je le recommande.

Il n'ira pas dans mon top 10 car il n'a rien de littéraire, que du pratique. Certes développé à fond, mais pas ce que j'ai trouvé le plus accessible dans le domaine. Je remercie néanmoins grandement cet ouvrage d'avoir croisé ma route, il est à l'origine de bien des changements dans mon quotidien !

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Parce qu'au lycée, on a tous du lire Stendhal. Et parce que j'étais la seule qui adorait ça...Ce livre m'avait fascinée, envoutée. Moi qui détestais lire sous la contrainte, c'est bien la première fois que je n'ai pipé mot. Stendhal, comme je t'aime.

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La justesse des mots m'a autant frappée que dans La ballade de l'impossible. Ces deux là sont bien mes préférés chez Murakami, et je m'y suis sentie "chez moi", vraiment...

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C'est simple, sûrement un peu bête mais... ça me fait toujours le même effet !
Car c'est tellement sincère, tellement plein d'innocence que ça me touche, à chaque fois...

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Quelle beauté...
C'est bien écrit, et c'est surtout tellement juste !
Quel regard elle porte sur son art, sur cette raison de vivre. Quelle fulgurance dans cette passion qui la dévore, qui la prend toute entière.
Si je me suis retrouvée dans ses doutes, si j'ai bu ses mots avec bonheur, je suis béate d’admiration face à sa détermination absolue, la certitude qu'elle a de sa destinée.
C'est beau, vraiment. Et j'en avais besoin.

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Incisif. Poignant. Les mots sont d'une justesse incroyable et percutent sans détour tout ce qu'ils croisent. J'ai tellement aimé tout ce qu'elle dit de la lecture. Aimé tout ce qu'elle dit du vide, du manque, du non à-propos des réactions des autres, ... Peut-être un brin inégal, j'aurais aimé qu'il me bouleverse dans son entier, mais ce douloureux récit de peine est déjà tellement fort. Roman de présence, roman d'absence.

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Percutant, frappant de justesse à en pâlir. Incroyable. De mettre des mots sur l’innommable. D'oser sortir du silence. De parler pour soi mais aussi pour d'autres.

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LE coup de coeur de mon année 2018... Sans aucune hésitation...
Ce livre....<3


Je vais m'empresser de le relire pour en parler mieux (et pourquoi pas vraiment écrire à son propos).
Mais de très loin une des plus belles histoires d'amour...
Si il venait un jour à être adapté au cinéma, j'espère qu'il sera aussi magistralement retranscrit que Call me (j'ai peur autant que j'ai hâte).

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Evidemment... <3

Ce livre est une découverte incroyable, il y a eu un avant et un après. Ces personnages font partie de moi comme si je les avais rencontrés. Et bien que ne l'ayant lu qu'une fois, je passe tellement de temps à "autopsier" les pages pour l'écriture de l'autre point de vue, l'autre côté du miroir....
Merci André Aciman pour toute cette justesse de l'attente, pour ces doutes et ces remords. Il aurait été difficile de mieux les retranscrire...

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Je ne pensais pas l'aimer autant. Je connaissais l'histoire, je ne pensais vraiment pas. Mais les mots de Fournier m'ont séduite, et je n'ai pu que me rendre à l'évidence. J'aime ce roman.

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Incontournable. Je connaissais toutes mes scènes préférées par cœur quand j'étais plus jeune, en français et en anglais. Pour dire à quel point je l'ai apprécié. Ces mots m'ont bercée comme peu d'autres l'ont fait...

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Coup de coeur. Evident. Fou.
De la justesse des mots. Sur les sentiments, sur le manque, sur la maladie. Sur tant de choses. Arf.
Je ne pensais pas pouvoir être émue par une autre histoire que celle avec Thomas Andrieu. Et pourtant... Paul Darrigrand ne démérite pas...

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Coup de coeur !
Un personnage original, fort en caractère, touchant.
Un humour vif, très appréciable.
Un de mes coups de coeur "pour ado", ça ne me fait pas regretter de piocher dans ce rayon quand j'accompagne les gamines.

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Petit coup de coeur pour cet univers que j'avais déjà tant chéri dans le film.
L'univers des livres bien sûr, de cette bibliothèque. Et toutes ces histoires croisées, ces amours brèves, non dits, ces rencontres et ces séparations. Tous ces personnages chamboulés, tellement humains.
Je me sens un peu à la maison en lisant ces pages...

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Stendhal, la suite. J'ai beaucoup trop regardé le film quand j'étais petite, si bien que je ne voyais personne d'autre que Gérard Philippe dans ce personnage. Il n'en reste pas moins que si j'avais déjà vraiment apprécié l'histoire à l'écran, le livre m'a plu largement, au moins tout autant.

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Je l'ai vu par hasard dans les rayons de la bibliothèque, rayon jeunesse, où j'étais avec les petites filles que je garde.
Et puis je n'ai pas pu m'empêcher de le prendre, en l'honneur des quatre tomes que j'avais dévorés quand j'étais petite...
Je n'en attendais rien puisque je ne l'attendais pas. Je l'ai ouvert hier matin, fini aujourd'hui. Je ne l'ai pour ainsi dire pas quitté.
Le début ne m'a rien fait, puis... je ne m'attendais pas à ça, mais ces personnages ont un peu fait partie de ma vie, et c'est avec une certaine émotion que je les ai retrouvés.
C'est peut-être le tome le plus sensible et fin des cinq livres. C'est toujours aussi "simple" (trop simple ?) et un brin cliché, mais c'est beau, aussi.
Enfin voilà, peut-être pas de la grande littérature, mais cette saga fait vraiment partie de moi et nul doute que je ferai lire ce livre à mes neveux, nièces potentiels, enfants potentiels ?