Les meilleures répliques de Kaamelott par personnage

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Angharad : Je dois avouer que la chose a du bon, si c'est pour m'éviter la vue de la grande décarade, le défilé des nouvelles têtes, la parade des amoureuses à calcul, les poids lourds de la jambe légère... le festival de la morue en somme !

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Manilius : J'pensais à une chose, en toute amitié, un gros pain dans votre tête, ça serait de nature à vous convenir ?

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Arthur : Ben c’est comme ça ! Apporter la lumière c’est pour que tout le monde y voit ! Si c’est juste pour ma tronche, je vois pas l’intérêt.

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Merlin : Quand vous êtes parti, je me suis dit : Je vais me promener ? Je vais me pas promener ? Finalement j'ai décidé de me beurrer la gueule.

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Attila : Arthur ! Kaamelott, c’est zéro ! Des cailloux, des cailloux, des cailloux, ça m'énerve! !

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Lancelot : Les villageois, je les emmerde !

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Guenièvre : Eh ben moi une fois, j’ai pissé par la fenêtre !

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Père Blaise : Non, je suis désolé, moi je peux pas faire une légende avec un vieux qui enroule sa bite autour d'un bâton.

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Bohort : La neige, on l'enlève, elle revient. Toujours. Encore et encore. Et nous, pauvres âmes chagrines, nous perdons notre regard dans l'horizon blanc de notre solitude.

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Le roi burgonde : La fleur en bouquet fane, et jamais ne renaît !

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Caius : Hé les connards ! Vous pouvez faire griller un porcelet s'il vous plaît ?

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Calogrenant : Vous n'avez qu'à considérer que je suis officiellement cul nu.

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Dame du Lac : Vous êtes sûr que j'ai pas dit "elle est sympa" ?

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Capito : Vous préférez monter dans la barque, maintenant, de plein gré, ou dans vingt secondes avec un coup de pompe dans l'oignon ?

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César : A l'époque quand je levais le doigt, y avait 15 000 soldats qui gueulaient Imperator ! Maintenant, quand je lève le doigt, c'est pour aller pisser...

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Dagonet : Eh... Il a pas inventé le plat de la main morte celui-là.

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Demetra : C'est vexant de me ressembler ? C'est pour ça qu'on vous a choisi et qu'on vous a sorti de votre cambrousse, alors du respect !

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Le duc d'Aquitaine : Avec votre dégaine de crevette, faites gaffe à pas vous faire bouffer par un mérou.

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Elias : Mais retournez à l’état sauvage, espèce de con.

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Galessin : Moi, à une époque, je voulais faire vœu de pauvreté mais avec le pognon que j'rentrais, j'arrivais pas à concilier les deux.

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Gauvain : Noblesse bien remisée ne trouve jamais l'hiver à sa porte...

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Goustan : Hé ! A l'origine j'étais sorti pour lâcher une caisse, mais quand on vous voit comme ça dans le clair de lune, on a pas envie de bousiller le tableau. J'vais aller loufer à l'intérieur pour emboucaner les autres fumiers.

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Grudu : Moi, un jour j’ai rêvé qu’y avait un type qui venait me voir. Il me dit : « Vous avez jamais connu vos parents ? » J’lui réponds « non ». Et là, il me dit : « Eh ben vous inquiétez pas, ils sont fromagers. »

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Guethenoc : Ces bourgeois, ils savent plus quoi inventer ! A force de lire et d'écrire, ils deviennent tous plus cons les uns que les autres.

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Hervé de Rinel : L'adjectif qui me correspond le mieux ? La Bretagne.

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L’interprète : La culture burgonde ? Je savais même pas qu’y en avait une… Non, moi je voulais faire grec moderne, mais y avait plus de place. Il restait que burgonde ou anglais... Aaaaanglais... Mais c’est encore moins répandu !