Livres : Lus pour la première fois en 2017

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(1456) J'ai mis un an à terminer ce livre, et pourtant il m'a plu, sa densité ne faisait pas bon ménage avec ma fatigue.
Si il fallait un bouquin pour illustrer l'adage "Les gagnants écrivent l'histoire", celui-ci serait opportun. Non pas que l'on trouve les exactions commises par les nazis bienvenues, mais on dépasse l'éternel clivage des gentils alliés et des horribles monstres sadiques. On voit qu'il n'y a pas un nazi, mais tout un nuancier de personnages, qui va des vrais fanatiques de la race aryenne, à des rationnels sans coeur, à d'autres qui subissent. Le tout étant extrêmement bien documenté, avec une rigueur incroyable.
J'aime beaucoup le personnage principal, bien qu'il soit méprisable, monstrueux, et certainement fou. C'est un grand (et gros) bouquin, je regrette pas!

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T(179)
C'est peut-être la forme, mais je l'ai trouvé beaucoup moins beau que les enfants terribles. Trop de marivaudages, des personnages pas très crédibles...

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Joli petit bouquin, doux-amer, souvenirs d'une belle culture qui en a chié.

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(325) Quand on pense que c'est le même auteur que le Démon! Les deux personnages principaux ne sont pas très profonds ou subtils et l'intrigue aurait très bien tenu dans une toute petite nouvelle. Quelle idée de venir rajouter du mélo sur les camps, gros manque d'inspiration.

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(T658) J'ai beau aimer les contes, les Mille et une nuit sont très confuses, les personnages tous hystériques, et les péripéties sans queue ni tête. ça reste joli et dépaysant mais je lirai pas la suite de sitôt.

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(275) ça commence très bien avec une histoire kafkaïenne de loser travaillant dans l'administration qui se découvre un double maléfique. Finalement décevant, ça reste trop fixé sur les ressentis du personnage principal et on perd de vue le côté fantastique. Pour une fois j'ai préféré l'adaptation cinéma.

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(220) Un Thompson mineur, mais un Thompson quand même, j'adore ses perdants magnifiques, et le cadre.

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Un feelgood book avec des petits morceaux de vraie vie dedans.

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(160)Pas aussi bon que les autres Tournier, presque anecdotique, mais a le mérite d'allier la leçon d'histoire au frisson de voyeurisme des faits divers sordides.

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(140) Après mon premier Nosaka très mauvais, des élucubrations d'un vieillard sénile, et après avoir revu il y a peu l'(excellente) adaptation de ce livre, je m'y suis lancé, sans regrets.
C'est percutant, efficace, cynique, hâte de lire d'autres nouvelles de sa jeunesse.

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(T303) C'est le Steinbeck que j'ai le moins aimé, sans doute à cause du thème, loin des petites gens du sud des états-unis que j’affectionne. Ceci dit, c'est un bon bouquin, original, avec des morceaux d'Histoire, et même Merlin, inattendu au milieu des pirates.

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(110, seventeen déjà lu), Nouvelles froides et un peu glauques, sentiment d'étrangeté adolescent. Je continue d'apprécier cet auteur :)

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(T 355) Voilà une lecture exigeante et intéressante. Contrairement aux essais qui paraissent actuellement il y a très peu de notes et les citations ne sont pas traduites. J'ai été assez fière de voir que j'étais parvenue aux mêmes conclusions philosophiques que cette grande dame. Les premiers chapitres sont très rigoureux et apportent des définitions intéressantes sur des concepts tels que l'autorité ou la liberté. Nietzsche, et ses copains en prennent pour leur grade. Un peu moins emballée par les derniers chapitres, notamment sur l'éducation qui semblent porter plus sur l'observation que sur la réflexion pure.

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(167) Vite rassurée de ne pas lire une saleté de coaching de vie, j'ai plutôt trouvé des références philosophiques assez sérieuses assorties à une sagesse orientale. Toutefois, ça a beau être très joli et bien écrit, ça reste un peu léger et à la surface du sujet à mon goût.

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(370) Etrange roman que celui-ci, Karl, jeune homme candide débarque en Amérique et essuie les déconvenues. Il me fait penser au personnage du conte pour enfants Hans la chance. Reste que je le trouve un peu plus superficiel que les autres romans de Kafka, et le côté inachevé est assez frustrant. Je ne comprends pas la transition d'avec le dernier chapitre, assez surréaliste, mais pas très bien amené.

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(382) Moins emballée que par son recueil de nouvelles, la lecture de ce roman reste un divertissement de qualité, car le côté thriller est agréable et l'intrigue se dévoile jusqu'à la fin.

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(T245) Je connaissais mal Prévert à part quelques poèmes appris à l'école, j'ai été étonnée de la puissance et de l'inventivité de son style. Quelques formules et calembours font vraiment mouche. Par contre sur la longueur c'est un peu indigeste, et j'ai du mal avec les bouffeurs de curés.

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(T133) Vraiment Nosaka je ne sais qu'en penser, après le tombeau des lucioles poignant et son gâtisme avéré de Nosaka aime les chats... Ce court roman est difficilement soutenable, on enchaîne les scènes d'inceste, de nécrophilie, de pornographie débridée, de manière assez gratuite. J'ai aussi trouvé le traitement des personnages confus.

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(T340) Recueil de nouvelles agréable, chacune présentant des personnalités bien définies et des dénouements surprenants. Si ça n'avait pas été Tournier j'aurais mis une meilleure note.

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(381) Du mal à accrocher au début, trop descriptif, trop pathétique, et je n'arrivais pas à éprouver de l'empathie pour les personnages. Vers la moitié du livre j'ai commencé à rentrer dedans, portée par le style. J'ai apprécié le côté choral qui, bien qu'à la mode, n'est pas toujours aussi réussi.

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(T151) Excellent petit livre grinçant, à mettre entre toutes les mains. On a beau savoir ce qu'il va se passer on est à chaque fois effaré par les vilenies des co-cochons.

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(T116) On retrouve ici tous les tics d'écriture de Marquez, une galerie de personnages incroyable, des amours clandestines, du complot... Et malgré la minceur du livre, ça parait quand même long, dommage.

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(211) Je crois que j'ai été trompée par la 4e de couverture, j'attendais ce livre depuis longtemps, je m'attendais à trouver le personnage principal dans de terribles tourments quant à la survie du bébé. Alors qu'en fait ces interrogations n'arrivent qu'à la toute fin du livre, le reste étant focalisé sur le mal être plus généralisé de Bird.

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(509) Décevant, une flopée d'anecdotes, quelques analyses humaines, énormément de répétitions. Un Dostoïevski anecdotique. La lettre à son frère en fin d'ouvrage résume assez efficacement les 500 pages qui le précèdent.

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(T279) J'aime toujours peu Hesse, malgré quelques jolies nouvelles, la plupart relèvent d'une sorte de tendre ennui.

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(329) Comme d'habitude, il ne fait pas forcément fouiller dans les oeuvres non publiées d'un auteur pour faire un bouquin posthume. La plupart des nouvelles sont sans intérêt. La préface de Demande à al poussière a bien fait d'être ôtée. Il y a quand même une ou deux perles où l'on retrouve le grand Bandini, avec plaisir.

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(635)

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(T155) Qu'est ce que c'est mauvais! Le style est ignominieux, le personnage principal semble être juste un fantasmatique alter-ego, femme forte et amoureuse, gnagna... J'imagine que c'est à ça que ressemblent les Daniele Steel?
La deuxième partie rattrape un peu le naufrage.

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(T115)

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(T130)