Mes 10 oeuvres de fantasy les plus marquantes

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Vaut bien sûr pour tout le cycle... Mais j'ai vraiment une préférence pour celui-ci, ces paysages enneigés provoquaient en moi un sentiment de voyage qu'on retrouve moins dans les autres. Les Royaumes du Nord, c'est un livre qui sent bon l'enfance sauvage, la neige au soleil, l'air frais et coupant dans la fourrure de Iorek Byrnison, la danse aérienne des sorcières... Comment sortir du monde en quelques pages.
Un bouquin magique, pour la jeunesse comme pour les plus âgés, surtout dans les volumes suivants.

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Neil Gaiman a capté toute la complexité de l'Amérique, sa culture, ses paradoxes, et il a en plus de ça créé un personnage attachant et une histoire prenante, grâce à une narration de ouf.
Sweeney le Dingue, Voyageur, Lye-Smith, Sam, Grinzelmann, et bien sûr la poignante Laura sont autant de compagnons de voyage hauts en couleurs pour le mystérieux Ombre, paumé mais attachant. Un choc littéraire, sans doute comparable à cette macabre découverte, au fond du lac gelé...

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Encore un peu de voyage?
Voyage dans la magie onirique et poétique en Vendée avec Émile et Perette, ou voyage dans la violence vue par un Bordage humble à travers le personnage de Cornuaud, mercenaire de la Terreur. En plus d'une reconstitution historique bluffante, c'est également une trilogie de fantasy extraordinaire.

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Bon sang qu'elles sont drôles les aventures de Natrhaniel et Bartiméus. Le Londres magique, les djinns fous, et les magiciens arrogants. De tout pour faire un monde. Et c'est génialement pensé.

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Quand les jeunes lecteurs de Harry Potter deviennent grands, c'est vers ce roman qu'ils se tournent. A la base ça ressemble plus à une parodie de HP et Narnia qu'autre chose faut dire.... Mais rapidement il y a tout un univers qui se développe, les personnages sont attachants, l'histoire est chiadée et il y a pas mal d'émotion, sans compter un final incroyable et un propos beaucoup plus profond qu'il n'y paraît, sur la vacuité des choses, la poursuite infinie des rêves, le pouvoir de l'orgueil. Bin oui la magie c'est pas aussi fun que ça en a l'air!

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Autant le premier tome, peut se révéler plutôt chiant malgré sa foule de bonnes idées, autant les volumes suivants sont carrément géniaux. De l'action survoltée, des personnages bien construits, un univers original et étonnant. Un ovni de la fantasy, et pourtant si simple d'accès... C'est l'effet Stephen King.
Une petite préférence pour le tome 2, avec la formation du ka-tet!

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Cycle imposant en français (la manie du découpage chez les éditeurs de poche par chez nous...), les aventures de FitzChevalerie ne m'ont pas convaincu au premier abord. Rythme ultra lent, action quasiment inexistante, on suit l'initiation et la vie de cour de ce jeune bâtard porté sur la passivité et l'auto-apitoiement. Pas sexy!
Pourtant, avec les premiers mystères qui se profilent (les motivations de Royal, les Pirates Rouges) tout devient étrangement passionnant...

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Encore un cycle imposant, et incontournable. Cette oeuvre fait clairement partie des fleurons de la fantasy d'aujourd'hui, avec une déclinaison par HBO qui vaut aussi le détour. Plongez-vous dans les intrigues de cour! Impitoyables et attachants, tous les personnages sont intéréssants.
Mais je n'ai pas mis ce cycle très haut dans le top, parce que malgré le scénario, les persos, l'univers... Il manque cette petite touche de sensibilité et d'émotion qui provoque de la nostalgie quand on y repense... C'est une oeuvre intelligente, bestiale, sombre et froide, par beaucoup d'aspects. Suivre l'histoire est plaisant mais jamais je n'ai ressenti de la tristesse ou du bonheur à quitter un personnage, simplement une petite déception qu'il soit parti si vite, et l'envie de passer à la suite. Ce n'est pas une fantasy de voyage ou de rêve, plus une fresque historique imaginaire, les Rois Maudits avec des dragons... Les goûts et les couleurs!

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Là c'est concept. L'univers démesuré de ce château et son infinité de tours, la bataille entre le majordome maigre et le cuisinier gros, et au milieu de tout ça Titus qui réfléchit lentement. Duraille à ingurgiter mais ça vaut le coup.

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Nostalgie!
La fantasy de qualité à la française. Son univers qu'on croirait uniquement propice aux JdR peut rebuter au départ, mais Gaborit le maitrise étonnament bien. On prend plaisir à suivre le héros dans ses aventures, dans cet univers magique et riche :p
Avec un final à couper le souffle! Un de mes premiers cycles, et encore un des meilleurs.