Nanars: le grand recensement

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Merci le doublage culte, le kung fu avec les moignons et la poursuite sans fin !

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Rare exception, celui-ci se voit en VO pour admirer le "jeu" des acteurs, notamment un Wiseau totalement en roue libre. Et ne pas oublier de faire The Room: The Game par la suite, c'est culte.

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Une merveille de rythme et de gags, impossible de s'ennuyer.

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Mon premier Leroy et certainement pas mon dernier, un mélange hallucinant d'incrustations baveuses, de maquettes fauchées et de numérique immonde, une sorte de point de non-retour du mauvais goût esthétique.

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WHIIIIIIIITE FIRE !

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Un nanar incroyablement généreux, d'une débilité et d'une ringardise à toutes épreuves, avec un casting des plus improbables et un Gene Simmons sous cocaïne en méchant, c'est à ne rater sous aucun prétexte.

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Mon premier dessin animé nanar, du sud-coréen totalement azimuté et fauché, j'ai été vraiment emballé ! Le doublage est un énorme foutage de gueule, c'est moche, totalement incohérent et en plus ça ne dure qu'une heure, du tout bon.

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Du lourd, du culte, mais c'est usant. Mieux vaut être en forme avant de le lancer.

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Du bon gros Mattei avec son lot de héros viril, méchants très méchants, stocks shots, morts ridicules, synthé hystérique et "BEUUUUARGH !!!" à tout va.

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Du nichon toutes les deux minutes sans raison, une ambiance moite, une aventure écrite avec les pieds mais sans temps morts, que demande le peuple ?

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Certainement le nanar le plus ancré dans son époque que j'ai vu, c'est tellement 80's que ça devait être déjà démodé 5 ans après. Mention aux compositions du groupe, tout simplement épiques.

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"Mon dieu, un gant mutant nous attaque, aaaaaaaaaaaah !!!"

Le résumé du film, mais c'est hilarant. J'aime bien l'affiche aussi, un chat noir alors qu'il est tout ce qu'il y a de plus rouquin dans le film.

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Magré sa duré, il passe bien car il contient un mélange assez rare de volonté de bien faire et d'incompétence totale. On sent que le type était ambitieux, voulait raconter une grande aventure pleine d'action, mais avec la troupe d'acteurs dont il est affublé et les effets spéciaux à peine digne des premiers jeux vidéo en 3D, c'est plus hilarant qu'autre chose.

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En voilà du 2 en 1 bien corsé, enfin ! Du coup on ne comprend strictement rien à l'histoire, et les deux segments étant incroyablement mauvais et nanars séparément, le mélange est explosif.

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Celui-ci fait un peu figure d'exception, on sait très bien que c'est fait exprès, mais ça reste suffisamment nanar et fauché sur les bords pour avoir sa place ici.

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Une première heure au rythme incroyable, dommage que la fin soit plus répétitive.

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Du grand Mattei qui ose dénoncer plein de choses, attention film engagé !

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C'est pas tous les jours qu'on voit Chuck Norris se transformer en animal pour catcher des bûcherons.

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Une rareté dont on ne connaît ni le réalisateur ni l'année exacte, que j'ai eu la chance de voir durant le festival Extreme Cinema, et qui vaut son pesant de cacahuètes.

"Carnaval toi-même !"

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Ca vaut le coup rien que pour les fameux sbires qui crient leur nom un par un dans la carrière.

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Un des meilleurs du genre, qui repompe allègrement toutes les années 80. Mad Max 2, Conan, Indiana Jones, c'est un joyeux fouillis très appréciable, avec deux héros d'une débilité rarement atteinte dans un film "sérieux".