Spyro : le parcours d'un dragon

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1er jeu vidéo mettant en scène Spyro, le célèbre dragon violet, qui lança toute une nouvelle série de jeux de plate-forme sur les diverses consoles (à partir de la PlayStation).

Développé par Insomniac Games (et édité par Sony Computer Entertainment) en 1998), Spyro the Dragon surfe sur le succès des jeux cartoonesque en 3D tel que Crash Bandicoot, offrant un graphismes très soignés et surtout colorés.

Dès lors, les bases de la saga sont directement intégrées ! Nous contrôlons donc le petit dragon qui peut planer, foncer ou bien cracher du feu. Ce dernier étant toujours accompagné d'une libellule (ici, elle se nomme Etincelle) qui lui sert de "point de vie", qu'il faudra régénéré en éliminant de petits animaux qui se transformeront en papillons juteux pour cette libellule.

Le gameplay était déjà : parcours des niveaux (via des portails) et des mondes, tout en ramassant des joyaux de diverses couleurs (rouge, vert, bleu, or, violet) à l'air libre ou enfermés dans des coffres et pourchassant des voleur d'oeufs. Sans oublier quelques niveaux de vol intégral (qui demandent de passer/brûler tous les obstacles en un temps imparti) et des super-pouvoirs (la super-charge et le feu puissant pouvant percer le métal) qui seront repris dans le reste de la saga.

Sans oublier la participation musicale de Stewart Copeland, l'ex-batteur du groupe The Police, qui composa tous les thèmes du jeu, plus ceux de certains opus qui suivirent celui-ci.

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2nd opus qui reprend les bases du 1er épisode, tout en y instaurant bon nombres de nouveautés. A commencer par le gameplay. S'il reste le même (parcourir des niveaux via des portails et des mondes, tout en ramassant des joyaux à l'air libre ou enfermé dans des coffres).

Mais grande nouveauté : tout se retrouve scénarisé. En effet, chaque niveau à sa petite histoire, présentant les décors, les divers personnages et les adversaires. Sans oublier que des mini-jeux ont été ajoutés pour la récolte de boules magiques. Des mini-jeux que l'on retrouve aussi pour les niveau de vol. Tandis que les talismans (relique que vous obtenez en finissant un niveau) se gagne rien qu'en atteignant le bout du stage.

Même, ce Spyro abandonne le concept des joyaux libérer par un ennemi éliminé (qui sera repris dans l'épisode suivant). Lâchant à la place une étoile qui permettra d'accéder à un super-pouvoir. En plus de la super-charge et le super-feu, vous aurez également le super-saut, le super-vol ou encore la super-résistance (idéal pour marcher sur la lave). Que vous utiliserez pendant un temps imparti. Spyro pourra mêm cracher autre chose que du feu (de la glace), juste pendant un seul niveau.

En parlant de pouvoirs, Spyro 2 est le premier opus où le petit dragon apprend de nouvelles capacités : nager sous l'eau, grimper aux échelles et charger au sol (coup de cornes retourné). De plus, pour certaines phases de gameplay, Spyro peut avaler des objets et les cracher, via un écran de visée. Que l'on retrouvera également lros de l'utilisation de boules de feu.

Néanmoins, Spyro perd quelques capacités (le roulé-boulé pour éviter les attaques, l'atterrissage lors d'un vol plané) pour en gagner une nouvelle. Celle de papillonner (faire un battement d'ailes au bout d'un vol plané afin de gagner légèrement en hauteur).

De plus, les joyaux prennent ici plus d'importance que l'opus précédent. En effet, au lieu de n'être que ramassés, ils peuvent être dépensés. Pour avancer dans les niveaux, ouvrir des passages ou bien apprendre les nouvelles capacités. Cela faisant par le biais d'un nouveau personnage, Gros-Sous, qui deviendra un incontournable de la série.

D'ailleurs, Spyro 2 met en scène de tous nouveaux protagonistes, dont la majorité reviendront dans les épisodes qui suivront (Chasseur, Zoé, le Professeur, Ripto, Crush et Gulp). De plus la fameuse libellule déjà présente dans le 1er change de nom définitivement, optant pour Sparx.

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3ème opus, qui reprend exactement les mêmes bases de gameplay du précédent. En y ajoutant quelques nouveautés, comme des phases en skate board, à bord de véhicules...

Mais ce jeu marque surtout un grand changement dans la saga, qui est de pouvoir prendre le contrôle d'autre personnages autre que Spyro. Pas tout le temps mais durant certains niveaux, permettant ainsi d'introduire de nouveaux protagonistes à la saga (le kangourou Sheila, le pingouin volant Byrd, le yéti Bentley et le singe Agent 9). Même la libellule Sparx a le droit à ses propres niveaux. Sans oublier l'a première apparition de Bianca, ici en tant qu'antagoniste.

Sinon, rien d'autres à rajouter sur ce 3ème opus, sauf qu'il s'agit du dernier développé par Insomniac Games. La société vidéoludique qui permit à leur création de devenir l'une des mascotte (avec Crash Bandicoot) de la PlayStation.

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1er opus sortant sur une autre console autre que celle de salon. Adieu la PlayStation, bonjour la GameBoy Advance ! Adieu également à Insomniac Games, la licence étant vendue à Digital Eclipse (Blackbone Entertainement depuis 2003).

Néanmoins, le changement de développeurs n'apporte pas énormément de changements au gameplay de base de la saga, qui reste le même. La différence venant juste du visuel. En effet, le jeu voulant garder un rendu 3D comme pour la trilogie originale, ce Spyro adopte des graphismes en 3D isométrique, ce qui gâchera le plaisir de nombreux fans. Et pour cause, la saga a toujours été connue pour sa fluidité et sa simplicité. Cette 3D rend le contrôle du personnage plus ardu (notamment lors des vols planés) et les niveau de vol.

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2nd opus de Spyro sur GameBoy Advance, qui semble continuer la lancée sur une nouvelle trilogie (sur console portable cette fois-ci), vu que la boîte arbore le titre de Spyro 2 : Season of Flame.

Sinon, aucune nouveauté à émettre. Cet épisode reprenant exactement le système de jeu de Spyro Season of Ice.

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Véritable 4ème opus de la saga originale, qui poursuit son parcours sur les nouvelles consoles de l'époque. Oui, LES nouvelles. Pour s'offrir à un large public, Spyro fait des infidélités à Sony en s'installant sur la GameCube (Nintendo) autre que la PlayStation 2 (Sony).

Et pour ce premier opus sur console de salon développé par une autre équipe qu'Insomniac Games, les bases des 3 précédents épisodes sont intégralement repris. Sans oublier que Spyro peut cette fois-ci choisir un crachat de flammes, de glace, d'électricité et de bulles (oui...) pour éliminer ses adversaires (et capturer des libellules pour les bulles).

Malgré cette fidélité à l'esprit de la saga, Spyro : Enter the Dragonfly marque le premier premier rejet des fans envers leur dragon préféré. Et pour cause, pour ce portage sur une console moderne, le seul changement visuel provient du fait que les graphismes n'ont été que lisser, rien d'autre. Sans oublier des doublages (VO et VF) catastrophiques et souvent inadaptés (un personnages féminin ayant une voix masculine), des temps de chargement vraiment longs, un Spyro trop lent dans ses déplacements et aucune originalité (le jeu allant jusqu'à reprendre des adversaires déjà rencontrés dans les jeux précédents pour son bestiaire). Des défauts qui ont été fatals à la saga toute entière. Pour preuve, Spyro : Enter the Dragonfly sera la dernière collaboration de Stewart Copeland à la musique.

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3ème et dernier opus de la trilogie signée par Digital Eclipse sur GameBoy Advance, qui reprend les bases de gameplay de Spyro : Season of Ice et Spyro : Season of Flame.

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Pour ce nouvel opus, Spyro atterri entre les mains de l'équipe de Vicarious Visions, qui détenait déjà les droits sur GameBoy pour une autre saga de Vivendi Games (l'ancien Universal Interactive qui distribué le jeu avec Sony Computer Entertainement). qu'est celle de Crash Bandicoot.

Si ce détail est précisé, c'est que Spyro : Fusion est en réalité (à l'instar de la saga Pokémon) une version d'un même jeu. Un cross-over où Spyro et Crash (dans le jeu Crash Bandicoot : Fusion) s'unissent pour une même aventure. Une réunion qui sera confirmée dans Crash Twinsanity, où le dragon fera un caméo de quelques secondes. D'ailleurs, cette fusion depuis les débuts des deux personnages, étant donné que sur certains jeux, vous pouviez avoir des démos sur ces protagonistes.

Pour ce jeu, Spyro délaisse la 3D isométrique utilisée par les 3 précédents opus pour se transformer en simple jeu de plates-formes en 2D.

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5ème et dernier opus de la saga originale qui, à l'instar de Crash Twinsanity pour Crash Bandicoot, va bousculer les codes de cette dernière. Après la PlayStation 2 et la GameCbe, cet épisode s'offre également à la XBox.

Même si certaines bases sont encore reprises, le joueur n'accède plus aux niveaux en passant par des portails. Mais tout simplement de lieu en lieu par des grottes. De plus, les fameux joyaux, toujours en nombre limité pour chaque niveau, se obtenus qu'en ne tuant des ennemis. Et ne servant qu'à acheter des objets au personnage de Gros-Sous.

Néanmoins, ce Spyro, par rapport à son prédécesseur, présente un nouveau personnage (jouable en plus de Chasseur et de Byrd). Blinky, une taupe qui apparait également dans Spyro : Fusion (ces deux jeux s'étant faits en parallèle).

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5ème opus sur console portable, 1er sur la Nintendo DS.

Un jeu qui n'a clairement pas marqué les esprits, étant donné que, comme Spyro : A Hero's Tail, Spyro : Shadow Legacy abandonne les bases éditées dès le tout premier jeu.

De plus, le jeu est souvent critiqué pour son utilisations du stylet et du 2nd écran de la console jugées comme anecdotiques.

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Virage à 360° (orchestré par Krome Studios) pour la saga, qui se voit ici s'offrir d'un reboot (d'une remise à zéro, comme ce qu'était Batman Begins). Ce qui induit une nouvelle histoire, de nouveaux personnages (dont la dragonne Cynder), un nouveau look, une nouvelle ambiance, un nouveau gameplay.

1er opus d'une nouvelle trilogie multi-console (éditée sur toutes les consoles existantes), qui raconte l'histoire de Spyro telle celle de Moïse. Le tout en abordant un style un peu moins cartoonesque et plus mature et heroïc fantasy.

De plus, Spyro laisse de côté la plate-forme pour devenir une sorte de beat'em all. Le dragon préférant alors user de quelques techniques de combats plutôt que ses flammes.

Un changement radical qui surprit et déplu grandement aux fans du petit dragon violet.

Et cette histoire de reboot prise au sérieux, le casting vocale (en VO) se voit offrir quelques stars : Elijah Wood pour Spyro, David Spade pour Sparx et Gary Oldman pour Ignitus.

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2nd opus de la trilogie The Legend of Spyro, qui poursuit donc l'aventure commencée par A New Beginning.

Seul changement : pour la VO de Sparx, David Spade est remplacé par Billy West.

Apparition du grand méchant de cette trilogie : Malefor, qui se voit doublé par Mark Hamill et VO et par Pierre Hatet en VF. Bref, un antagoniste ayant les deux voix outre-atlantiques du Joker des dessins animés Batman.

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Dernier opus de la trilogie The Legend of Spyro, qui se place pour le final entre les mains de l'équipe d'Etranges Libellules. Un changement de développeurs (qui se voit déjà via une traduction française du titre) qui sera bénéfique pour ce dénouement.

Et pour cause, le gameplay s'en retrouve un peu plus élargi, via le fait de pouvoir voler de manière illimitée et des phases de coopération inédites avec le personnage de Cynder (doublée en VO ici par Christina Ricci).

Sans oublier le fait que La Légende de Spyro : La Naissance d'un Dragon est le premier opus de la série entière à connaître l'essor de la XBox 360 et de la PlayStation 3. Lui donnant des graphismes de bien meilleures qualités que ses 2 prédécesseurs.

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Nouveau virage pour la saga, où l'univers tout entier de Spyro est ici dérivé pour servir un jeu de plate-forme façon Pokémon. Où le joueur pourra matérialiser des figurines et les contrôler dans le jeu en les posant sur un socle vendu avec.

Une nouvelle saga vidéoludique différente de la série. Mettant pourtant en scène les personnages de Spyro, de Sparx et de Cynder, qui se retrouvent ici protagonistes parmi tant d'autres. Et ce même si le titre arbore "Spyro's Adventure".

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Suite de Skylanders : Spyro's Adventure, qui reprend le même concept que son prédécesseur, en y intégrant des personnages bien plus impressionnants (les géants).

Même si le titre ne le mentionne pas, Spyro reste un personnage jouable dans ce jeu.

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Nouvel opus des Skylanders, où le joueur peut fusionner deux de ses figurines.

Comme pour Skylanders : Giants, Spyro est encore une fois un personnage jouable dans ce jeu.

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Quatrième opus sur grande console des Slylanders, dans lequel le jouer peut user de pièges afin de contrôler les boss combattus.

Comme pour les jeux précédents de cette franchise, Spyro est une nouvelle une fois un personnage jouable.