Honte à moi qui, bien qu’ayant quelques milliers de livres au compteur ne connaissais pas Voltaire !
Ou peut-être que si. En remontant dans mes lointains souvenirs de Lycée (ça date), je me revois peinant sur ces textes insipides, auquel je ne comprenais rien, qui me paraissait d’un ennui mortel et qui m’ont attiré quelques si mauvaises notes que ma mère en fut un temps désespérée.
Bref, les classiques, plus jamais et Voltaire encore moins.
Les imbéciles seuls ne changeant jamais d’avis, je viens de lire Candide, ce chef d’œuvre.
Et oui, je n’y crois pas, j’ai savouré chaque ligne, dégusté chaque mot de ce texte.
J’ai suivi avec passion les traces de Candide à travers le monde, allant de Russie, au Brésil en passant par Lisbonne... pour retrouver son bel amour interdit, Cunégonde.
Décidément Candide fût une grande découverte.