Si je me souviens des articles de la presse de l’époque , on nous vendait « Alias « comme une sorte de James Bond au féminin , en fait quand on regarde le pilote très attentivement , aussi mal écrit soit-il . N 'est là que pour deux choses : nous vendre le concept de Sydney Bristow , sa doubles allégeances , mais surtout ces missions . Hors celle-ci non aucun sens , la saison un est globalement un foutoir , entre Rambaldi , les guerres inter agences … et cela sur cinq très très longues saisons . Certes JJ Abrams rend hommage à « Die hard « sur le double épisodes avec Tarantino , ou bien au « silence des agneaux « quand maman Bristow est emprisonné ou bien Kill bill , ne serais ce que le premier duel . On ne passera pas sous silence les multiples twist , comme l ' un des rares bon épisodes , toutes saisons confondues qu’est « phase 1 « avec le démantèlement de toutes les sections SD. Alias se veut technologique , Bristow passe la moitié sa vie à vouloir pirater des serveurs , ouvert au quatre vents , le plus fort étant courant saison deux , copié un fichier avec un modem infrarouge , le tout suspendu à un trapèze ( oui , c 'est aussi ridicule ) , qui bien sur se balance plus ou moins durant le plan . Toujours dans le domaine technique , les acteurs passe leurs temps à utilisé des scripts sous GNU/Linux .
Mais ce qui fait la patte Alias , c 'est les voyages à Los Angeles , Sydney Bristow passe peux être sa vie en voyage , mais la production ne quitte pas la Californie et cela se voie et donne un coup de vieux terrible à la série .
N’oublions pas que la notion « suspension d’incrédulité « semble avoir été forgé pour cette série , vu ne serais ce que les performances martiales de Bristow ( avec un très bon monteur et une station AVID , on peut tout faire )
Le problème Sydney Bristow
Sydney Bristow est une bizarrerie en soi . Sa création est symétrique à Buffy Summers . Certes Bristow sais se battre , mais elle est écrite comme un personnage féminin des années 1960 . Elle passe la moitié d ' une saison a pleuré ; cela devient un gimmick. Elle est à la fois antibadass , mais est paradoxalement antiféministe ( la ou la Black widow version Whédon est une vraie descendante de Buffy ) Bristow est à fois une femme forte – fragile – forte . On ne passera pas sous silence les love interest , moteur des intrigues . En fin de compte , Sydney Bristow n ' a aucun intérêt , pour un personnage fondamentalement réactionnaire . On n’oublieras pas que Bristow , dans ces missions passe sont temps ou la plupart du temps , pour une femme aux mœurs légère . Mais très rarement pour une ingénieure , un médecin , une journaliste , bref un métier normal pour une femme .
Michael Giacchino et la musique d ' Alias
Giacchino est l ' une des révélations d ' Alias , le pauvre à fait ce qu’il a pus pour donner de l ' épique avec deux murs en carton et un scenario digne d ' un film d ' auteur « à la française « . Mais le soucis est que la série est caviardé par de la pop . J ' ai eut mal au ventre d’entendre Kate Bush et Peter Gabriel dans les deux premiers épisodes . J ' adore ces artistes , mais là à été une erreur d ' Abrams , il a voulu mélanger série d ' espionnage et comédie romantique et c 'est comme l ' huile et le vinaigre , sa ne colle pas … comme Depeche Mode , vers la fin de la saison une dès plus hors sujet . Le résultat est que cela amoindri le scenario , la mise en scène et demandais à Giacchino de remplir les blancs .
La révélation Bradley Cooper
Le côté ironique d ' Alias , est que le show , taillé sur mesure pour Jennifer Garner , qui aurait pu être la Jennifer Lawrence des années 2000 , est passé d ' un premier rôle féminin dans une série pour elle à au mieux un premier ou second rôle dans un film « indépendant « . Non , une dizaine d’années après , il est rigolo de voir un faire valoir , au mieux , arrivé à faire , pour l ' instant une carrière quasiment sans faute .
L’épisode final
Le final épisode est un moment à ne pas loupé pour une série , c 'est cet épisode qui transforme ER , XFiles , Quantum leap … Battlestar galactica et bien sur Buffy & Angel , toutes ces séries sont intouchables, car elles ont marqué l ' histoire de la pop culture . Mais le final season n’entre pas dans cette catégorie . Le seul avantage est que tout est conclu , sinon on sent que cet épisode est bâclé , n ' importe quel final de « grande « séries a quatre-vingt-dix minutes en moyenne pour s’exprimé , sauf Angel qui est l 'exception . Je ne vais pas spoilé la fin , meme si la série à dix ans .