Adieu Breaking Bad

Sans spoil /!\
Breaking Bad c'est fini et la fin est logique et pragmatique.
C'est ce qui fait la force de la série et sa beauté, et les derniers épisodes ne dérogent pas à la règle...
Cette série offre des pures moment de suspense où l'émotion est juste parfaitement dosée...
Pas de musiques pleurnichardes, aucun plans inutiles, les rares flashback sont juste essentiels, pas une grosse production typiquement américaine dans sa niaiserie, non, rien de tout ça, juste les éléments parfaits au parfait moment pour nous faire ressentir les émotions qu'éprouvent les personnages, pour nous les faire aimer ou détester...
Breaking Bad, c'est une série dans laquelle chaque personnage est attirants et se développe au fil des épisodes! Ces personnages sont quasiment tous charismatiques et apportent tous quelque chose au développement de l'intrigue ou de la psychologie des personnages, et ça c'est fort! Rien, absolument rien n'est laissé au hasard et le but, les objectifs des personnages sont clairement définis et respectés dans le déroulement du scénario!
Breaking Bad est une série juste excellente et déjà culte à voir et revoir sans modération pour son scénario exemplaire dans sa cohérence et son déroulement, pour ses plans mystérieux, d'une beauté extrême, pour ses musiques étranges (franchement, j'ai parfois l'impression que c'est Tarantino qui gère les musiques X) ) mais qui sont tellement en accords avec ce qui nous est montré!
#GoodbyeBreakingBad, encore merci pour ce show juste parfait!

Mes épisodes préférés de la série resterons :
- S03E013 "Pleine Mesure" (Ah ah, le clifhanger de fin de saison ! )
- le S04E011 "Seul contre tous" (la scène du désert et la scène ou Walt cherche son argent sont les meilleures scènes de la série à mon sens)
- le S04E13 - "Mat" (non mais la scène dans l'hospice quoi! ! Génial!!)
- S05E13 - "To'hajiilee" (la fin, la fin... Jamais autant de monde n'a failli disparaître à la fin de cet épisode, le clifhanger et la semaine qui suivait ont été insoutenables, du grand art!)

Bref, adieu Breaking Bad, snif