Les meilleures histoires d'Iron Man selon arnonaud

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C'est pas du pur Iron Man, mais le personnage à son importance dans le récit, donc hop, je le rajoute dans le top, ça permettra de le nourrir un peu.

- Histoire complète en un tome -

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Après un très bon premier tome, le deuxième recueil du run de Matt Fraction et Salvador Larroca sur Iron Man est encore meilleur, et fait certainement parti de ce que j'ai pu lire de mieux sur le perso à ce jour. Et cela alors que je déteste le style du dessinateur !

Mais il faut bien avouer que la fin de la saga World's Most Wanted est vraiment très épique, avec beaucoup de scènes trépidantes et marquantes, une belle montée en puissance et un final incroyable, dans le désert Afghan, où Osborn est magnifiquement écrit, totalement dingue et surexcité à l'idée de potentiellement tuer Tony Stark. C'est totalement jouissif et c'est le temps fort du tome, un régal.

La deuxième saga que l'on a ensuite est sans doute trop décompressée, mais contient là aussi de belles scènes et une bonne montée en puissance tout du long. Et à part le monologue insupportable de 6 pages de 9 cases en gros plan au début de cet arc, c'est très agréable à lire.

Et autre petit "bon" point du tome : les dessins de Larroca sont un peu moins moches que sur le précédent, et on a même une belle case à un moment, rendez-vous compte.

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Très bon arc moderne du héros. C'est court, bien écrit, plutôt prenant, avec d'excellentes scènes d'actions et des personnages biens travaillés.

En plus Warren Ellis définit super bien le personnage et le fait vraiment aller de l'avant. Au final les auteurs suivants ont l'air d'avoir un peu rétropédalés et ignoré cet arc, mais ça reste une excellente lecture et les dessins, froids et vides de Granov, restent quand même beaux, travaillés et efficaces dans les scènes d'action et pour les arrivées impressionnantes du héros.

Pour l'histoire, tout part d'une ancienne amie de Tony qui a développée la technologie Extremis, qui permet, une fois inculquée, de grosso-modo réécrire l'ADN pour faire de soi un super-soldat. Seulement la technologie a été volée par des terroristes intérieurs. Et c'est donc ce brave Iron Man qui va essayer de sauver la situation.

Cette histoire d'apparence simple permet tout un discours très intéressant sur le futurisme et le transhumanisme, en plus des points relevés dans les premiers paragraphes.

- Histoire complète en un tome -

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Ce début de run de Kurt Busiek sur le héros est franchement très sympa.

On nous propose les aventures d'un Tony Stark plus héroïque, positif et altruiste que ce à quoi on a eu le droit ces dernières années, ce qui n'est franchement pas un mal, dans des aventures variées, pleines de mystères, avec de bons petits monologues internes, des personnages secondaires plutôt soignés et surtout des affrontements très réussis, où le héros est souvent bien malmené, où les combats ont des conséquences et où il faut être rusé pour s'en sortir. Ainsi, tout l'arc face à Firebrand est vraiment formidable, poussant Iron Man et ses alliés à se montrer héroïques, à sauver des vies, dans une situation assez tragique.

Bonne petite lecture, j'espère que la suite sera du même niveau (vu que ce premier tome n'est que la première partie d'une plus grande saga et l'on a pas encore toutes les réponses en fin de tome).

- Point d'entrée -

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Très bon début pour le run de Matt Fraction sur le personnage. Le premier arc, "Five Nightmares", est vraiment excellent, avec un bon affrontement international face à un ennemi inédit qui arrive vraiment à surpasser et surprendre Tony Stark pendant une bonne partie de l'intrigue.

Le deuxième arc est malheureusement un peu plus mou, mais avoir Stark en fugitif est super chouette, Osborn s'avère être un vilain redoutable pour Iron Man, et le côté road-trip permet de voir pleins de personnages inattendus.

En outre, l'écriture des personnages est super soignée, notamment Pepper Potts qui est super bien développée, et c'est agréable de la voir mise en avant par rapport à tant de runs récents où elle est plutôt absente.

Par contre, le gros bémol, c'est les dessins de Larroca que je trouve personnellement très laids, surtout au niveau des visages, et c'est vraiment la souffrance tout du long à ce niveau là. A voir si ce sera votre came ou pas.

- Point d'entrée -

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Dans la continuité du tome précédent. C'est très bien mené, avec un univers toujours aussi riche et des affrontements toujours aussi prenants, c'est vraiment agréable à lire, surtout que Tony Stark est malmené comme jamais et on se demande comment il va se sortir de tout ça.

Mais on n'aura pas vraiment la réponse à cette question puisque le tome se termine par un cliffhanger.

On regrettera par contre de ne pas avoir des affrontements aussi prenant que celui face à Firebrand. Celui face à Whiplash S&M au-dessus d'Angoulême (!) ou celui face aux Mandarin sont plutôt réussis, mais peut-être un peu trop courts (un ou deux numéros à chaque fois) pour vraiment rentrer dans la légende.

Toutefois une très bonne lecture et j'accroche vraiment bien à ce run de Busiek sur Iron Man.

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Deuxième partie des "Origines Secrètes de Tony Stark". Les origines secrètes en tant que telle n'occupent pas tant de place que ça dans l'album, mais ça reste certainement le meilleur arc qu'ait pondu Gillen sur la série jusque là. C'est une excellente histoire en quasi huit-clos, avec trois personnages uniquement et des enjeux assez importants, avec un aspect cosmique pas déplaisant et un Tony Stark vraiment mis à l'épreuve.

451 est vraiment un adversaire intéressant, c'est plein de bonnes idées, de bons rebondissements, et les dessinateurs se débrouillent tous à peu près correctement. En outre la conclusion est plutôt bien trouvée, posant des éléments intéressants pour la mythologie du héros.

Franchement très sympa, et une histoire assez singulière pour le héros.

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Suite aux événements de Secret Wars, Civil War II, et des trois premiers tomes d'Iron Man (2015) par Bendis, Docteur Fatalis devient le nouvel Iron Man.

Et en réalité ses aventures n'ont rien à voir avec les aventures classiques de Tony Stark, ça ressemble beaucoup plus à une histoire des 4F, notamment au niveau des personnages secondaires impliqués.

Mais en grand fan du quatuor et de Fatalis, je dois bien dire que cette histoire m'a fait vraiment plaisir à lire. Surtout que les 4F n'ont plus de titre chez Marvel depuis début 2016.

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Fin de la série Infamous Iron Man. Comme pour le premier tome, c'est beaucoup plus une série Doctor Doom et Fantastic Four qu'une série Iron Man et c'est sûrement ça qui en fait une série vraiment très agréable à suivre. Avec en outre un Alex Maleev toujours en forme aux dessins.

Bendis manie plutôt bien son histoire et nous fait un joli hommage au récit culte Dr. Strange & Dr. Doom: Triumph & Torment. Je ne sais pas si c'est un run qui deviendra un classique absolu, mais ça reste une expérimentation intéressante sur le personnage de Doom et un récit de plutôt bonne facture.

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Les débuts sympathique de Riri Williams en tant que super-héroïne, avec un Tony Stark I.A. comme mentor.

Ce qui est bien c'est que Bendis sait écrire les histoires de héros adolescents et qu'il offre au personnage une dynamique qui est différente de celle du Iron Man classique mais aussi des héros ado classiques type Spider-Man. Ça met un peu de neuf dans une écriture de Bendis autrement très classique, mais toutefois toujours efficace, notamment au niveau du combat final de l'arc, étonnement bien géré de la part du scénariste. J'avais très peur de ce come-back du Techno-Golem (issu de l'horrible 2e arc de la série de 2015 d'Iron Man), et au final c'est le climax autant émotionnel que qualitatif du tome (même si l'origin-story de Riri a aussi de bons moments).

Aux dessins Caselli s'en sort très bien. Il est peut-être un brin trop classique dans son trait pour ce genre de héros adolescents, mais il offre quand même de très belles pages, avec des persos expressifs et attachants et de bonnes scènes d'actions. Et Marte Gracia est toujours efficace à la colo même si il ne délivre pas ici ses meilleures pages.

En tout cas de bons débuts pour Riri Williams, qui renouvelle bien l'entourage de Tony Stark, et qui sort les aventures d'Iron Man du côté industriel et friqué, ce qui fait vraiment plaisir.

- Point d'entrée -

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C'est beau, plutôt amusant, Tony Stark a une caractérisation très proche de celle des films ce qui permet de le rendre très attachant et il se voit doté d'un nouveau supporting cast composé de deux-trois guest-stars connues de l'univers Marvel qui se révèlent plutôt intéressantes.

C'est très agréable à lire (notamment parce que les dessins de David Marquez colorisés par Justin Ponsor sont vraiment très très beaux et impressionnants), mais dommage que l'arc se termine à la Bendis (c'est à dire de manière foireuse) et qu'il n'y ait finalement que peu de mise en place d'intrigues futures pour donner envie au lecteur de continuer la série.

- Point d'entrée -

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Des épisodes à conseiller pour ceux qui veulent du bon comics old-school. C'est plutôt joli, rempli de bons moments et d'autres plus invraisemblables (on sent que le silver age n'est pas loin) et ça offre une nouvelle dimension au personnage avec l'arrivée de son côté alcoolique. Par contre, attention, l'alcoolisme de Stark n'est pas au centre de cette histoire, qui se concentre plus sur Tony qui essaye de savoir qui est responsable des dysfonctionnements de son armure.

- Peut se lire comme une histoire complète en un tome -

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Un deuxième tome plus réussi pour le run de Gillen qui envoie Tony Stark s'aventurer dans l'espace, un terrain de jeu tout nouveau pour le héros, et qui propose donc quelque chose d'assez rafraîchissant.

Le premier arc du tome, "Déicide", est vraiment très chouette. C'est une histoire simple mais fun, pleine d'humour et de rebondissements surprenants et improbables. Ça colle vraiment bien au héros, qui y est bien écrit et il y a pleins de bonnes idées.

Ensuite on attaque le gros morceau du run de Gillen "Les origines secrètes de Tony Stark" qui se termineront dans le tome suivant. Le scénariste y combine des idées très audacieuses qui redéfinissent complètement le héros (je conseille toutefois de lire le tome 3 avant d'émettre un jugement définitif sur celles-ci) avec une histoire dans le passé pas incroyable mais plutôt amusante. Cette partie a toutefois l'avantage d'être dessinée par Dale Eaglesham dont le style est quand même plus plaisant que celui de Greg Land. Et puis globalement ça reste un arc très prenant dont on veux savoir la fin et qui bénéficie de tout les éléments installés dans l'arc précédent.

Bref, il y a franchement du mieux pour ma part concernant ce deuxième tome d'Iron Man par Gillen, que j'ai franchement apprécié.

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Mini-série où Tony Stark part à la recherche de ses parents biologiques (ayant appris qu'il avait été adopté dans une autre histoire). Effet inattendu de cette quête, il croisera la route de son premier amour d'université qu'il n'avait pas revu depuis l'époque (et qui n'est pas une simple personne lambda, on reste dans du récit de super-héros), l'occasion de découvrir une partie du passé de Tony, et sa relation avec son père.

Globalement cette série sert surtout de prétexte à Bendis pour nous raconter des histoires d'amour dans le milieu de l'espionnage ou assimilé (milieu qui fascine le scénariste depuis très longtemps). C'est plutôt sympathique si on est intéressé par ce genre de récits (surtout que les dessins de Maleev sont beaux), et c'est sûrement une mini qui aura une place importante dans le run de l'auteur sur le héros, mais c'est pas non plus, à mon sens, un récit incroyable.

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Suite des aventures de Riri Williams en tant qu'Ironheart, et c'est toujours très agréable à suivre, avec Bendis qui s'amuse à aller dans des directions complètement inattendue pour une série centrée sur une héroïne adolescente.

En effet, Riri, en pleine période de doutes quant à la direction à donner à sa vie, puisque pas mal d'opportunités se sont ouvertes à elle depuis qu'elle a enfilée l'armure, va se retrouver confrontée à... des terroristes internationaux ! Et à partir de là, Bendis va continuer à faire monter la sauce jusqu'à un final d'arc complètement improbable et que beaucoup de lecteurs risquent de trouvé un peu exagéré, trop peu crédible (quoique ça veuille dire pour une série super-héroïque).

Mais ça reste très beau grâce aux dessins de Caselli et aux couleurs de Gracia, et mine de rien, le scénario qui part un peu dans n'importe quel sens de Bendis permet à la série de garder une certaine fraîcheur et son individualité.

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Réactualisation de la première rencontre entre Iron Man et le Mandarin, pour la rendre accessible aux nouveaux lecteurs friands d'histoires modernes et moins de oldies, et surtout pour sortir cette confrontation du contexte de guerre froide dans lequel elle était apparue à l'origine.

L'initiative est très louable, le personnage du Mandarin y est bien présenté et défini, les dessins cartoony de Canete sont très bons (même si ils ne plairont pas à tout le monde, notamment au niveau de ses visages) et les scènes de baston hyper dynamiques, plutôt bien chorégraphiés et prenantes.

Mais à côté de ça on a le droit à un récit parfois très bavard et surtout qui a une fâcheuse tendance à se reposer sur d'énormes ficelles scénaristiques hollywoodiennes qu'on a déjà lues et vues mille fois, en particulier sur la conclusion de la mini. Ça donne un côté très cinématographique à l'ensemble, mais aussi un côté très convenu, qui retire un peu l'intérêt de l'histoire pour un lecteur qui découvrirait Iron Man en comics et qui chercherait à découvrir l'originalité du héros.

A noter l'apparition d'autres adversaires en plus du Mandarin, comme l’Épouvantail (version Marvel, quasiment identique à celui de DC) et Temugin, le fils du Mandarin.

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Après un second arc assez mauvais, Bendis revient en forme pour terminer sa série. Ce n'est pas une très belle conclusion puisqu'elle a en réalité lieu dans les pages de l'event Civil War II, mais ces épisodes tie-ins sont vraiment très bons. Le scénariste prend le temps de développer ses personnages et trouve des situations intéressantes pour leur donner de la profondeur.

Pour une fois dans la série on a le droit à des dialogues vraiment intéressants et pertinents et ça rend cet arc très court (seulement trois épisodes), très agréable à lire.

Donc ce n'est sûrement pas la plus grande histoire du héros, mais c'est une bonne lecture, notamment si vous vous intéressez à la relation Tony Stark - Carol Danvers et si vous voulez ajouter un peu de profondeur à Civil War II.

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Une histoire sympathique revenant sur la relation Tony Stark - Bruce Banner et leur passé commun à la veille du lancement de la bombe gamma à l'origine de l'apparition de Hulk.

Bon rien d'incroyable non plus, mais ça se laisse lire.

- Histoire complète en un tome -

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C'est gentillet, et Dr.Fatalis est présent, mais ce n'est pas franchement une grande histoire.

Et pour l'histoire, sachez que c'est Iron Man et Fatalis qui s'affrontent... à l'époque des Chevaliers de la Table Ronde.

- Peut se lire comme une histoire complète en un tome. -

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Final du run de Bendis assez décevant. Sûrement un peu trop décompressé et assez peu passionnant dans ses enjeux dramatiques. Bendis rassemble toutes ces intrigues et ses 3 versions d'Iron Man et range tranquillement les jouets.

Y a toutefois pas mal de bonnes idées, de pistes d'intrigues futures, qui sont lancées durant ce trop long arc, mais difficile de savoir si elles ont un avenir ou si ce sont de faux espoirs. J'ai apprécié également les nombreuses guest-stars plutôt improbables et issus de tous les coins de l'univers Marvel qui se ramènent tout du long de cette histoire (mais vu leur côté assez WTF par moment, pas sur que tout le monde sera réceptif).

Et sur la partie artistique c'est toujours de très bonne tenue, en particulier Alex Maleev qui cette fois-ci se colorise lui-même et livre des pages absolument dingues. Ses pages sont vraiment très belles et sont sûrement le point fort du tome.

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Nouvelle guerre civile et encore une fois, notre bon Tony Stark y joue un rôle important. Mais cette fois-ci, c'est lui qui est du côté de la liberté.

L'event n'est pas désagréable en soi, et propose quelques passages réussis et quelques morts de héros, mais ce n'est pas non plus l'histoire du siècle.
Et pour ceux qui voudraient de la baston, c'est franchement assez limité dans cet event qui s'intéresse plus au conflit idéologique entre les héros.

- Histoire complète en un tome -

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Gillen débarque sur Iron Man et fait revenir l'Extremis de Warren Ellis. L'occasion de faire pleins de petites histoires en one-shot avec à chaque fois une tonalité différente et la découverte d'une autre conception du futurisme et du transhumanisme façon Extremis.

Cette approche permet d'avoir quelque chose de très diversifié et de complètement différent de l'histoire originale d'Ellis. Hélas c'est inégal, et surtout à côté de ça on a aucun vrai développement de Tony Stark qui reste une espèce de coquille vide tout le long. En outre la conclusion du tome est un peu vague et décevante et les dessins très superficiels et beaufs de Greg Land ne plairont pas à tout le monde.

C'est pas inintéressant, mais c'est pas l'histoire que je recommanderais pour découvrir le héros, malgré une caractérisation très proche des films, associée à un humour anglais bienvenu.

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Suite aux évènements d'Axis, Tony Stark est devenu un connard. Il s'installe à San Francisco et commence à faire sa loi, et personne ne semble pouvoir l'arrêter.

C'est pas très beau, pas très bien colorisé et pas très intéressant.

J'ai commencé à lire les épisodes qui composent le tome 2 mais c'était tellement nul que j'ai préféré arrêter en cours de route que m'infliger ça.

- Point d'entrée -

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Ceci ne fait pas partie des meilleures histoires d'Iron Man.
Autant le premier arc par Bendis était sympa (et surtout bien dessiné), autant celui-ci est vraiment extrêmement chiant.

C'est mou, le scénariste essaye de nous assommer à grands coups de dialogues qui racontent quasiment rien ou des choses que l'on sait déjà et surtout, les personnages ne savent jamais quand s'arrêter, quand être concis. Ça chie du dialogue au kilomètre et au bout d'un moment on en peut plus. C'est pénible.

Bon point : y a une vilaine inédite pour Iron Man. Mauvais point : elle n'a bien sur pas de charisme, tant côté caractérisation/dialogue que sur le plan graphique. Bien joué, et bonne chance pour en faire un ennemi important de la rogue gallery du perso. Le pouvoir de la méchante est intéressant, mais les affrontements sont nuls et on a le droit à une résolution finale faiblarde à la Bendis.

Et Mike Deodato Jr. aux dessins, moi je n'en peux plus. J'aime de moins en moins son style et la direction qu'il prend. Je sais qu'il a beaucoup de fans, mais moi je trouve ça froid, rigide, pas élégant... et avec des décors 3D/photos toujours plus immondes. Seul point positif, Doom qui ressemble encore plus à Vincent Cassel, ça c'est chouette.

Autre élément qu'on pourra sauver de ce tome, les débuts de Riri Williams. Mais sinon, c'est de la pure Purge Bendis/10.