Critiques de Ponchiot

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7.1

Trois accords et une morale

Avec quelques années de retard par rapport à sa sortie en 2013, on remarque que les craintes concernant cet album se vérifiaient bien. Giedré fait toujours figure d’ovni musical dans la chanson française qui écume les petites salles et les petits festivals (la petite pause folk qu’on apprécie tous entre deux groupes un peu plus énervés). La recette est en effet toujours la même : une... Lire la critique de Mon premier album vendu dans les vrais magasins

5.6

Ligne temporelle imparfaite.

Sorti en 2002, le film basé sur Hey Arnold s’inscrit plus dans la continuité du programme Nickelodeon (après Les Razmokets ou les Delajungle) que dans la timeline de la série, celle-ci n’étant à l’époque toujours pas finie. Sorte de produit au positionnement un peu bâtard, le film Hey Arnold avait tout pour conclure la série, mais ne le fait pas. On ne trouve donc pas les réponses... Lire la critique de Hé Arnold ! le film

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5.6

La petite sirène VS Halo.

Le dernier espoir de faire quelque chose de la franchise DC part ici totalement en fumée, dans un film qui ne semble n'avoir que pour seul but de rehausser Justice League dans le cœur des fans. La première chose qui frappe les yeux, au sens premier, sont les CGI totalement immondes. Comme dans beaucoup de Marvel, oui, mais ici tout est transcendé. Les visages sont lisses jusqu'à... Lire la critique de Aquaman

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4.3

Presque honnête, malgré tout décevant.

On ne va pas se leurrer ni tergiverser pendant des heures, The Predator n’est pas un bon film. Il a cependant des qualités : on y retrouve les traits principaux de la saga (la chasse, la forêt amazonienne, le morphing), une volonté de faire à la fois un film de SF avec des traits d’humour à la Marvel et un perso Badass. Mais, et c’est tout de même un gros mais, tous ces éléments sont... Lire la critique de The Predator

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4.2

Critique de A Christmas Prince: The Royal Wedding par Ponchiot

Si chaque année sortent (et ressortent) des films de Noël tout plus remplis de guimauve les uns que les autres, Netflix se démarque aisément du lot par son aspect massacre. Puisqu'il arrive à massacrer l'univers de la plupart des séries SF en les transformant en navets lents imbibés de justice sociale, Netflix massacre donc allègrement l'esprit de Noël en intégrant tous les clichés... Lire l'avis à propos de A Christmas Prince: The Royal Wedding

6.2

Flashback

Sur PlayStation 4 : Une compile de jeux de la grande époque Atari. On peut déjà regretter l'effet d'opportunisme de grouper ces jeux dans deux compiles et volumes sur PS4, alors que chaque ensemble dépasse péniblement les 300mo (d'ailleurs surtout lié à l'introduction). Au final, cependant, qu'est-ce qu'on a. Pour quelques Euros ou en locations PS now, on a une plongée dans le tout début des années 80... Lire le test Atari Flashback Classics: Volume 1 sur PlayStation 4

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6.0

Capitaliser sans créer

Ralph 2.0 s'inscrit dans la veine des classiques Disney les plus récents avec une animation somptueuse, sur laquelle il n'y a rien à reprocher. Sur le fond, Ralph est plutôt un bon film pour enfants. La dynamique de quête est classique mais l'enrobage est suffisament novateur et moderne pour attirer le bambin, alors que le parent accompagnateur pourra se réjouir du double degré de... Lire l'avis à propos de Ralph 2.0

8.3

Critique de Le Locataire chimérique par Ponchiot

Et c’est avec ce locataire chimérique que j’ai découvert l’œuvre de Roland Topor. Formidable touche-à-tout, Topor fut tour à tour, comme le dit si bien Wikipédia, illustrateur, dessinateur, peintre, écrivain, poète, metteur en scène, chansonnier, acteur et cinéaste français. C’est ce petit fleuron de Montparnasse, adepte de l’humour noir, cynique et absurde que l’on regarde... Lire l'avis à propos de Le Locataire chimérique

6.9

"S'abandonner à moitié"

Avec le recueil de nouvelles « Le téléphérique » chez Folio 2€ (version plus concise du recueil « S’abandonner à vivre », Sylvain Tesson délaisse un peu sa plume philosophique, faite de contemplation solitaire des grands espaces. Si le grand Nord et les plaines glacées de la Russie restent les paysages privilégiés des six nouvelles présentées, il n’y a ici pas ou très peu... Lire la critique de Le téléphérique et autres nouvelles

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5.6

The Bouncer

Des recettes classiques pour ce grand retour de JCVD sur le grand écran : Un garde du corps devenu videur qui a la suite d’une plainte se retrouve dans une boite de nuit un peu crade, qui abrite des méchants faussaires. Il se retrouve à bosser pour eux, puis collabore avec la police pour les coincer. S’en suit les traditionnelles bastons – trahisons – tests de loyauté – cliffhanger - … Ce qui... Lire la critique de Lukas