
Chiendent
Le cinéma italien est pessimiste, à l'image de ce pays, véritable phoenix européen, splendide mais dans l'éternelle combustion de ses propres fastes. Il y a Rome et ses merveilles d'architecture, son histoire, son luxe, puis il y a les banlieues romaines, aux allures de tiers-monde ; immeubles déchiquetés, émiettés comme les rivages méditerranéens, balayés par les vents. C'est dans... Lire la critique de Dogman