On retrouve dans le dernier Godspeed les deux matières auxquelles le groupe nous a rendus sensibles : le territoire (au hasard, les plaines de Mésopotamie, la steppe kazakhe, Oulan-Bator) et la durée (celle du récit, celle qu’il faut pour déployer une nostalgie). Deux éléments, offerts par le groupe, voire retrouvés (comme si Godspeed remettait du destin dans les vies), qui donnent autre chose qu’une simple musique post-(peu importe le suffixe).
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