
[...] Bref, Obscene Repressed, c'est un peu de concessions certes mais pour servir un propos d'autant plus généreux, plus à même de s'inscrire dans le temps qu'une énième forme d'agression gratuite au top d'une intensité invariablement haute. Benighted tient peut-être là la recette de la vraie folie qui inspire tant son frontman : des moments de crises hystériques, oui, certes mais entre autres périodes plus pondérées de visu mais non moins glauques dans le fond. Telle une promenade bucolique dans un champ de mines à fragmentation.
La critique entière figure sur Core And Co, n'hésitez pas à aller y faire un tour !