Didier Super se repaît de la lie de l’humanité, c’est son fonds de commerce. Qu’il soit parvenu à élever ce concentré de bêtise crasse au rang d’art (cf. ses albums Vaut mieux en rire que s’en foutre et Ben quoi ? et ce Rire une dernière fois avant la fin du monde très réussi) est un exploit en soi, et au fond quelque chose de tout à fait inédit : un geste politique qui ne dit pas son nom.... Lire la critique de Rire une dernière fois avant la fin du monde...