Rising Doom
7.7
Rising Doom

Album de Mondkopf (2011)

Mondkopf est à l’image de cet animal étrange aux teintes bleu nuit, mi-rapace, mi-hibou, qui trône sur la pochette de Rising Doom : un drôle d’oiseau. Un oiseau qui ne choisirait pas entre ses racines terrestres et les hauteurs grisantes du vol plané. L’électronique apocalyptique du français est animée de cette dualité sol/air, et c’est cela qui la rend si singulière.
Lire la suite ici :http://www.bubzine.fr/2012/01/05/mondkopf-rising-doom/

Créée

le 2 janv. 2019

Critique lue 83 fois

François Corda

Écrit par

Critique lue 83 fois

D'autres avis sur Rising Doom

Rising Doom
Greaver
8

Critique de Rising Doom par Greaver

"Pourquoi tu ne viens plus aux soirées ?" Imagine toi une maison sale et délabrée. Tags sur les murs, sang sur les meubles, salon sans fenêtre. Ajoute-y spots, lasers, fumée, boule à facettes. J'ai...

le 26 févr. 2012

7 j'aime

Rising Doom
Frédéric_Schwar
8

Critique de Rising Doom par Frédéric Schwarz

Si des généalogistes des sons se mettaient au boulot ils tiendraient là un beau cas d'école. On reconnaît tout au long de Rising Doom de Mondkopf des sons qui à l'origine sortaient de synthétiseurs...

le 20 mars 2013

3 j'aime

Rising Doom
Flibustache
9

Critique de Rising Doom par Flibustache

Une ambiance oppressante d'une intensité folle pour cet album beaucoup plus sombre que le précédent. Excellent.

le 20 déc. 2011

2 j'aime

Du même critique

Les Chambres rouges
Francois-Corda
4

Les siestes blanches

La salle de procès qui introduit Les Chambres rouges est d'un blanc immaculé et incarne aussi bien l'inoffensivité de son propos que le vide existentiel qui traverse son héroïne Kelly-Anne. On ne...

le 24 janv. 2024

4 j'aime

1

The Telemarketers
Francois-Corda
8

My name is Patrick J. Pespas

Les frères Safdie, producteurs de The Telemarketers, ont trouvé dans Patrick J. Pespas l'alter ego parfait de leurs personnages aussi décalés qu'attachants créés dans leurs longs métrages de fiction...

le 3 nov. 2023

4 j'aime

Rire une dernière fois avant la fin du monde…
Francois-Corda
8

Critique de Rire une dernière fois avant la fin du monde… par François Corda

Didier Super se repaît de la lie de l’humanité, c’est son fonds de commerce. Qu’il soit parvenu à élever ce concentré de bêtise crasse au rang d’art (cf. ses albums Vaut mieux en rire que s’en foutre...

le 17 juin 2020

4 j'aime

2