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Je croyais le désamour qui entoure cet album disparu... mais non, à en juger par les critiques précédant celle-ci, ça reste le vilain petit canard des années 60 des Rolling Stones. Pourquoi ? Oui,...
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le 28 nov. 2012
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Malgrès ses ventes qui ont très vite déclinées après être facilement passé gold à sa sortie, et de même pour l'avis des critiques qui l'ont comparé à un sous-sgt pepper : ce sixième album (britannique) des Stones recèle d'idées originales dignes des "golden years" à mes yeux (65-66-67) et ne manque pas de bonnes pistes même si les auteurs de ce dernier le rejette au fil des décennies.
Sous la direction artistique de Brian Jones (qui sera pour lui un coup dur dont il ne se relèvera jamais du fait du semi échec commercial et critique) cet album sort de la zone de confort des Stones un peu plus que sur Aftermath et Between the Buttons (UK version pour les deux) et suit le mouvement psychédélique en vogue à l'époque.
Je le recommande à quiconque voudrait s'y essayer, même si je prône que plusieurs écoutes sont nécessaire pour le faire mûrir dans votre esprit.
Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur et l'a ajouté à sa liste Les plus belles pochettes d'albums
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le 6 mai 2019
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