Oracular Spectacular
7.2
Oracular Spectacular

Album de MGMT (2008)

MGMT, excentrique duo de Brooklyn, est certainement, derrière Vampire Weekend, la proposition la plus excitante à surgir de la bouillonnante scène new-yorkaise actuelle. Inclassable mais pas inaccessible pour autant. Loin de là. A l'instar de leur look intrigant, entre hippies post-apocalyptiques et fluokids primitifs, Andrew VanWyngarden et Ben Goldwasser, délirants forts en thème qui se sont rencontrés à l'université du Connecticut, opèrent dans leurs chansons un ébouriffant va-et-vient entre psychédélisme 60's, rock aventureux 70's et percutant second degré électro-pop contemporain. En ouverture, Time to pretend, prodigieux single à l'entêtant gimmick de synthé, s'écoute comme une déclaration d'intention pleine de dérision (« Faisons de la musique, faisons de l'argent, épousons des mannequins... »). Et place la barre haut. La réjouissante mélodie en forme de ritournelle propulsée par un dance beat hypnotique se réécoute en boucle, laissant peu de chance au reste de l'album. Pourtant, Week­end Wars, le deuxième titre, intrigue presque autant, avec son impressionnant télescopage glam progressif au parfum d'inédit de Bowie, période Hunky Dory. Et ainsi de suite. MGMT, au fil des morceaux, étonne, surprend, déroute, sans jamais nous semer. Seule réserve, une tendance à la surcharge sonore qui, à la longue, pourrait se révéler un peu rébarbative. En attendant, les chansons et les refrains mémorables sont bien là. Pour un moment. HC


La première rencontre avec Oracular Spectacular fut une telle baffe que, encore pris dans les vapeurs enivrées du KO, on cherche nos qualificatifs. Car la langue française a ses limites, mais pas celle de MGMT : comme leurs copains de Yeasayer, Vampire Weekend ou Ra Ra Riot (Brooklyn est décidément une terre d’astronautes), c’est quelque part dans les étoiles, peut-être artificielles, que les deux jeunes Américains ont appris leur grammaire et leur vocabulaire. Ils sont infinis, inédits, parfaitement fascinants. Annoncé par une pluie de tubes météoriques, clamé par les blogs et déjà croisé sur scène, leur terrain de jeu favori, leur premier album, Oracular Spectacular donc, est une somme musicale où synthétique et musculeux s’embrassent mutuellement (Kids, bientôt sur toutes les ondes), un foyer commun où funk et pop, rock et soul, psychédélisme et electro, Bowie et les Flaming Lips, Prince et TV On The Radio, Animal Collective et les Scissor Sisters partagent la même couche. Un truc indescriptible, ultrapop et clinquant, une collection de morceaux Superglu aux propriétés hilarantes et/ou fortifiantes, des œuvres épiques qui donnent envie de grimper l’Annapurna sans les mains (l’ouverture Time to Pretend), des chansons à tiroirs où quatre refrains étoilés compètent au sang pour une prise de pouvoir totalitaire dans des neurones enfumés (la glorieuse Weekend Wars et sa ligne de basse en superballe rebondissante, la très imprévisible Of Moons, Birds & Monsters). Oracular Spectacular est la grande œuvre psychédélique d’une jeunesse furieuse, la monstrueuse fête païenne de gredins qui ont appris sur la pop des choses que personne ne sait, un immense labyrinthe qui ne vous lâche pas une seule seconde, même quand le silence est revenu. L’“oracle spectaculaire” est très clair : mai ressemblera à avril, juin à mai, puis juillet, puis août, puis le reste aussi. L’oracle spectaculaire nous dit simplement que l’année sera MGMT. Et de bout en bout. (Inrocks)
Ces temps-ci, un peu comme on tire ses dernières cartouches, les antennes françaises des majors internationales éditent tour à tour les premiers albums de groupes habituellement confinés aux labels indés ou à une sortie strictement anglo-saxonne (marché français d’une consternante santé oblige). Après le post-math-punk-rock de Foals chez Warner le mois dernier, et en attendant le rouleau compresseur Black Kids chez Universal, SonyBMG sort aujourd’hui de son chapeau MGMT (prononcez Management). Soit le duo américain Andrew Van Wyngarden (prononcez Van Wyn) et Ben Goldwasser (prononcez normalement), deux gentils chatons complètement camés pour lesquels on adorerait jouer le rôle de la pelote de laine dans leur panier en osier douillet où ils s’amuseraient comme des petits fous. D’autant qu’on inviterait l’autre chaton Panda Bear dans le panier aussi… Bref, comme souvent chez les musiciens drogués, ce n’est pas dans leur discours erratique de branleurs un peu débiles qu’il faudra chercher un quelconque intérêt, mais bien dans leur seule musique, qui charrie de facto des effluves psychédéliques d’un autre âge. D’âge et d’époque, il est en question tout au long de Oracular Spectacular . Celui de la déraison d’abord, comme fantasmé par les deux compères sur l’inaugural Time To Pretend. Sexe, thunes, pouffes, drogue et électronique débraillée, voilà à peu près le programme étayé sur ce premier single. Un leitmotiv hurlant de synthétiseur en guise d’appât sonique, un refrain à la nostalgie touchante, une batterie jouée avec les bras de Titan et un vrombissement sourd au groove gargantuesque… Difficile de ne pas gigoter l’échine devant l’exubérance déployée par ce tube immédiat. Puis, le chant ancestral de Van Wyn fige l’attention en surgissant d’ailleurs. Du fin fond de l’âge d’or britannique peut-être, tel le Mick Jagger à la sensualité incisive des débuts. Weekend Wars et son air musical accélérateur font ainsi œuvre de prodige, parvenant à tisser un lien improbable entre le psychédélisme printanier de l’Incredible String Band, le lyrisme intoxiqué des Flaming Lips et le boogie woogie charnel de T. Rex. Par extension, entre prog-rock ampoulé, pop à l’évidence braillarde, acoustique aveuglante et électricité parasitée, electro putassière et excentricité glam, ce premier effort fomente un fatras sonore difficilement pénétrable mais duquel ressort des mélodies éclairées. Comme celle qui dirige aux destinées The Youth, slow imparable qui liquéfie le romantisme jusqu’à ce qu’il ne soit plus que cyprine. Ou celle de Electric Feel, et sa basse “fonky” doublée d’un falsetto twisté qui endiablent avec minutie. Moins précieux mais grandement dévastateur est l’hymne discoïde Kids. Capable de mitrailler les vertèbres avec sa rythmique démesurée et sa résonance digitale qui ondule, puis de s’attacher notre estime par un chant à la mélancolie vibrante, et toujours ce charmant leitmotiv synthétique addictif. Ces Kids sont en quelque sorte les petits frères de Time To Pretend, là où, un peu plus loin, Pieces Of What se révèle être le cadet de Weekend Wars. Et quand les tambourinements de l’incantatoire 4th Dimensional Transition, avec son final en dérive acoustique, rappellent les accointances opiacées et hippies de MGMT, les nappes digitales et les synthés crépitant d’excitation de The Handshake ou Future Reflections déclenchent à nouveau les flammèches cosmiques qui gravitent dans les esprits interlopes du couple de Brooklyn. Et s’il serait justement aisé de comparer ce duo mis en son par Dave Fridmann aux autres formations à la musicalité interstellaire que le routier des studios a déjà enluminées (The Flaming Lips, Mercury Rev et compagnie), on retrouve chez MGMT une fraîcheur et une mégalomanie nouvelles à l’heure de recycler les influences, n’hésitant pas à piocher leur inspiration aux limites du mauvais goût. Cette propension au chic, à l'extravagance et aux reflets glam les rapprocheraient ainsi plutôt de Evangelicals et de leur très récent The Evening Descends, que de leurs aînés plus anciens. Une lame de strass sillonne donc actuellement la pop américaine. Et en attendant les dérives maniérées et épuisantes que ce genre est capable d’engendrer, pour l’instant, c’est plutôt CHTT (prononcez chouette). (Magic)
A ce qu’on dit, il y aurait à Brooklyn une nouvelle scène psychédélique super extra... Avec des noms de groupes aussi imbéciles que Invisible Conga People, Gang Gang Dance ou Dragons Of Zynth, fatalement, le programme est aussi excitant qu’un éventuel revival western swing en Poitou-Charentes ou une bourgeonnante scène néo-skinhead en Hauts-De-Seine. Mais enfin... Ce qui compte, franchement, c’est cet album, oui, celui-ci. Non pas qu’il soit, comment dire ? phénoménal. A vrai dire, non : sa seconde moitié est partiellement ratée. Et ça ne compte pas : qui écoute encore les albums jusqu’au bout aujourd’hui en dehors des sexagénaires ou des romantiques impuissants ? Les MGMT, d’emblée, ont tout pour faire fuir. Dans l’entourage direct de leur label ou de la société indépendante assurant leur promotion, un malade mental écrit sérieusement, en français dans le texte d’une biographie envoyée aux journalistes : “Ils sont cute, ils vont être huge. Ils ont de superbes look, visuels, vidéos.” Ouah ! ‘Tain, n’est-ce pas énormousse, comme on dit dans les restaurants du Canal de l’Ourcq où l’on sert sérieusement des pizzas à la roquette ? Leur nom, déjà, pour management, comme une vraie blague de bobo ultime (“like, huh, dude, let’s make some fun with the ultimate corporate bullshit”, hein...). Leur look, ensuite. Aussi atroce et fluo que les défunts Klaxons (prononcer claque-son), pour les quelques malheureux souffrant encore de leur douloureux souvenir. Ensuite, ils sont produits par Dave Fridmann, l’homme des abominables Mercury Rev et Flaming Lips, les Genesis des années 90 qu’on avait pris — à tort — pour un nouveau Floyd période Barrett. En réalité, Fridmann a aussi et surtout emballé les deux dernières merveilles en date de Sparklehorse, et c’est pour ça qu’on accepte d’écouter cet album. Qui agace, épuise, énerve, empêche de dormir et dont on peut assurer aujourd’hui qu’on aura honte de l’avoir défendu dans six mois tant il est prévu qu’il devienne la nouvelle bible des adeptes de, au choix, la cuisine du Chateaubriand à Paris, les films de Cédric Klapisse, les romans de Cormac McCarthy découverts avec quinze ans de retard et qui commencent invariablement par “Quand il se réveillait dans les bois dans l’obscurité et le froid de la nuit il tendit la main pour toucher l’enfant et lui dit il faut partir bientôt il n’y aura plus de Nutella et si je n’utilise pas de ponctuation c’est parce que ça va plaire aux journaux de gauche postmodernistes qui vont assurer ma promotion”, les disques moustachus de CocoRosie et le concept tong et rouleaux de printemps sous la pluie de les The Do avec un o barré s’il vous plaît ça donne un genre. Mais les MGMT sont là et ils en imposent autant que lorsque Beck, avec qui ils partagent plus d’un irritant point, avait débarqué avec son “Mellow Gold” et que tout le monde s’était justement prosterné. Ils ont tout ce qui fait la beauté du concept même de jeunesse. La fulgurance, l’inconscience, l’arrogance. Ils sont insolents, ils sont malins, ils écrivent comme des dieux, ils ont une maturité qui doit donner envie de se suicider aux deux tiers de leurs collègues et ils empruntent des ponts et des sentiers qui inquiéteraient n’importe qui. Ils signent des choses mémorables, comme Beck avait torché son “Loser”. Eux vont plus loin encore : il y avait, offerts aux enfants des fifties, sixties et seventies, “My Generation”, “Pretty Vacant” ou “Alright”. Il y a désormais “Time To Pretend”, hymne générationnel, jalon d’une époque et accessoirement plus grande chanson écrite depuis... “Alright”, qu’elle surpasse encore. Mais quand Townshend affirmait vouloir “mourir avant d’être vieux”, et lorsque Gaz Coombes chantait “nous sommes jeunes, nous n’avons pas le temps de nous tromper”, les deux elfes de MGMT, après s’être prédit une vie glamour tracée de A à Z via mannequins anorexiques, cocaïne, fêtes parisiennes et suffocation vomitive inéluctable, n’oublient pas de préciser ad nauseam : “Nous sommes condamnés à faire semblant, condamnés à faire semblant, condamnés à faire semblant.” Et ce faisant, referment toutes les portes ouvertes aux illusions depuis 1964 en n’oubliant jamais d’en faire scintiller tout ce qu’elles avaient de noble et de désespérément, magnifiquement, romantique et pur. Et en disent très long sur l’état d’un rock and roll codifié, branlant, incontinent et plein de cholestérol puisqu’âgé de plus de cinquante ans. Le tout dans la décadence orgiaque d’un gigantesque banquet de saltimbanques où sont conviés les Stones de “Black And Blue” et “Some Girls” (le morceau), Todd Rundgren, Suicide, Brian Eno, Syd Barrett, Bob Dylan et David Bowie : certains prétendent qu’il s’agirait là du “Hunky Dory” des années zéro. Et peut-être ont-ils raison malgré tout ce que cela pourrait éventuellement avoir de révoltant... (Rock n folk)
Difficile d'affirmer, à écouter "Oracular Spectacular", parfaite bande-son de l'été à venir, ce qu'Andrew Vanwyngarden et Ben Goldwasser ont réellement dans le ventre. Récemment encore étudiants dans le Connecticut, ils ont vite fait bonifier le buzz que leur ont attiré leurs prestations scéniques et leurs morceaux multicolores, gagné l'aide appréciable de Dave Fridmann pour la production de leur premier album et surfent aujourd'hui sur la vague qu'ils ont eux-mêmes créée, en habiles publicitaires. Si l'on devait jeter en l'air la pièce permettant de départager la face prophétique de leur musique, une pop psychédélique qui fait feu de tout bois, de sa face commerciale (la société du spectacle, le management transformé en griffe, Warhol à l'ère de la télé-réalité, tout ça), difficile de savoir ce qu'élirait le sort. Reste ce premier album s'ouvrant comme une poignée de promesses, des tubes acidulés et imparables ("Time to Pretend", "Electric Feel", "Kids", pour le décompte minimal), aux mélodies séduisantes ("The Youth"), en passant par l'improbable capacité de brasser les références les plus diverses : électro-dance barrée en sucette psyché ("Time to Pretend"), pop hybride faisant le pont entre David Bowie et les Smashing Pumpkins période "Ava Adore" ("Weekend Wars"), disco-funk à la Scissor Sistors vs Sparks ("Electric Feel", entremêlant avec suavité basse, synthé et voix de tête), etc. Assurément, le groupe a de quoi faire le fier, et même s'il suscite au mieux l'amusement poli avec le décorum qui entoure sa musique (le paganisme, le look surfeur tribal, les clips à la Jodorowsky, tout ça et le reste) ou risque parfois de ne pas bien mélanger les ingrédients de sa musique (les trois derniers morceaux, de l'anecdotique au lourdingue), il donne de quoi se rafraîchir les oreilles pour les semaines à venir. Mais la suite ? Car cela risque de se jouer là : après tout, on en a connu d'aussi malins caler après la première salve virtuose (au hasard, The Avalanches). Pour l'heure, entre marketing et fête des sens, prophétie et spectacle, le groupe ne choisit rien : la pièce, ô petit miracle médiatico-musical, retombe sur sa tranche. (Popnews)
Rolling Stone a eu le nez fin. Non, il n’est pas ici question des grabataires du rock récemment mis en boîte par Martin Scorsese, cela fait bien longtemps que ceux là ne sentent plus rien, hormis peut être le renfermé...En novembre 2007, le magazine américain qui a emprunté son nom à qui vous savez, annonçait que 2008 serait l’année de MGMT ou ne serait pas. Au vu du buzz généré par le duo sur la toile et ailleurs (même TF1 s’y est mis), on peut dire que Rolling Stone ne s’est pas trompé.

MGMT (prononcez Management), c’est avant tout l’histoire d’un duo aux noms improbables. Andrew VanWyngarden et Ben Goldwasser, étudiants dans le Connecticut, se découvrent une passion commune pour la musique et les sons hypnotiques, le paganisme et tout ce qui est un peu mystique. Les deux universitaires se produisent rapidement sur leur campus lors de shows conceptuels : ils écrivent un nouveau morceau à chaque concert et ne joue que celui-ci !! Le succès est immédiat, au point qu’un groupe de fans de New-York fonde le label Cantora Records, uniquement dans le but de sortir leur EP "Time To Pretend". Columbia flaire le bon coup, signe le duo et lui adjoint ni plus ni moins que Dave Fridmann (Mercury Rev, The Flaming Lips) à la production. Ce dernier va s’atteler à modeler le son du duo, le rendre plus planant à grands coups de nappes de synthés atmosphériques et d'ambiances réverbérées. Le résultat se nomme Time To Pretend ou Kids, deux titres présents dans des versions beaucoup plus « soft » sur l’excellent premier EP du duo. "Oracular Spectacular" est donc une ballade pop sous psychotropes (Of Moons, Birds and Monster), une hallucination collective un brin mystique (voir les clips de Time To Pretend et Electric Feel), du Bowie fricotant avec les Bee Gees (Weekend Wars, The Youth) et deux derniers titres insipides. On trouvera toujours des grincheux pour nous dire que c’est beaucoup de bruit pour pas grand chose, que l’on n’entendra plus parler de ce groupe dans moins d’un an, que danser autour d’un feu sur la plage c’est total ringard, même sur Koh Lanta...Certes, mais en attendant, si l’on fait abstraction de tout le tapage autour de ce groupe et de l’imagerie néo-baba-tralala, il reste un excellent album (quoique inégal) qui a déjà marqué de son empreinte l’année 2008. Survivra t’il à l’épreuve du temps, il est encore trop tôt pour le dire... (indiepoprock)

bisca
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le 9 avr. 2022

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