Après un album bien fade au niveau de la rythmique, Malmsteen engage Mike Terrana à la batterie et Michael Vescera au chant pour un résultat beaucoup plus puissant et convaincant, tout comme le son qui groove d'avantage. Plus bluesy que le côté FM des précédents albums, Malmsteen signe son meilleur album depuis Odyssey (1988). même si l'inspiration est peut-être moindre avec une poignée de titres plus dispensables, le disque contient quelques moments de bravoure à l'image du morceau éponyme qui fait partie de ses meilleures compositions. Le mélange entre morceaux plus funky et bluesy et les thèmes néoclassiques ont font un album particulier, peut-être plus grand publique et moins technique, mais intéressant du maître suédois.
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