La légion version club med, ou nos deux gaulois moustachus et tressés, (ici pressés) favoris vont rendre la vie aux décurions, centurions formateurs. Obélix est amoureux de la nouvelle et belle Falbala et les premières pages de l'album sont magistrales. S'ensuit une série de péripéties afin de retrouver le belâtre de la donzelle s'engageant dans la légion avec un belge, un égyptien, un grec, un barbare (on dirait une blague) ils vont rendre marteaux les décurions, centurions, formateurs et même l'empereur lui même. Un joyeux bordel sous fond de guerre complexe entre romains, ou le comique de répétition by Goscinny se révèle d'une caustique efficacité. Un de mes albums préférés.
Et le talent d'Uderzo est proportionnel au poids d'Obelix.