La parenthèse est un très beau témoignage, très intime avec les différents dessins de l'époque de la maladie sur la jeunesse perdue, les regrets, le déni mais aussi sur le regard par rapport à l'épilepsie, cette maladie finalement inconnue.
Passionnant, l'ouvrage s'avale en quelques minutes mais amène à réfléchir au delà. La solitude du personnage, entouré de ses proches mais qui ne s'en rappelle pas et sombre peu à peu, peut être mis en parallèle avec les doutes des pillules bleues, ou il y a un soutien indéfectible, qui change la donne.