BD franco-belge de Michaël Sanlaville, Yves Bigerel (Balak) et Bastien Vivès (2013)
Le ton de ce tome trois vire carrément dans le grotesque ça va clairement dans le n'importe quoi,mais ça passe. Quoique le passage du procès n'est pas super inspiré,mais c'est aussi ça les références des auteurs et ils piochent dedans à tout va. Dans ce tome il y a des plans de dingues,c'est bluffant tellement il y a une inventivité dans le dessin. On voit ici réellement l’intérêt de bosser à trois car si Vivès a un trait dans ses autres bd il ne fait pas ce genre de plans,bon évidement lastman se prête plus à ce genre de choses. Mais y a une vraie recherche dans les plans et pour l'instant c'est le seul Tome de la série qui est travaillé de cette manière.
Créée
le 25 juin 2017
Critique lue 202 fois
D'autres avis sur Lastman, tome 3
Last Man c'est un peu la série que je regardais de loin pas franchement convaincu par le style Vives avec une réal qui ne m'accrochait pas. Après avoir lu des critiques de partout qui disaient du...
Par
le 28 déc. 2013
4 j'aime
Le virage pris à la fin du tome 2 en a certainement effrayé plus d'un. N'ayez crainte ! Après 2 tomes de mise-en-bouche nous voilà complètement immergé dans l'univers absolument délirant imaginés par...
Par
le 10 déc. 2013
2 j'aime
Fini le confort de la vallée des rois, fini de jouer à domicile : Marianne et Adrian s'aventurent en terre inconnue pour tenter de retrouver Richard. C'est que Marianne à son honneur, on ne lui...
le 28 févr. 2016
1 j'aime
2
Du même critique
En voilà une chose qui en fait du vacarme, ça bouge dans tous les sens mais pourquoi? Pour faire du divertissement, c'est pour cela que Disney a acheté la licence Star wars après tout. La société aux...
Par
le 18 déc. 2019
79 j'aime
44
L'endoctrinement de la jeunesse Allemande est le sujet de ce Jojo Rabbit, qui voit Adolf Hitler comme la seule voie à suivre. Adolf est là constamment pour le petit Jojo, il est son ami imaginaire...
Par
le 28 janv. 2020
66 j'aime
16
Les années 60 à 70 ont été une très bonne période du cinéma, elles étaient inventives et permissives. Pourtant la censure était omniprésente, mais les cinéastes trouvaient tout un tas de stratagèmes...
Par
le 28 nov. 2019
55 j'aime
6
