Le Serpent géant du lac de l'ombre - Kaamelott, tome 5 par Cinemaniaque
Quelques dialogues sympas... Et c'est tout : Karadoc et Perceval sont certes drôles mais trop d'eux tue l'humour, d'autant qu'ils sont plus lourds qu'idiots dans cette BD. L'histoire est tirée en longueur (les gags à répétition de la recherche sur le lac, les nains...) et la BD prouve surtout que le génie d'Astier n'est pas tellement dans son verbe que dans la manière qu'il a de le déclamer lui et ses acteurs. La comédie nécessite un rythme, encore plus difficile à avoir en BD qu'en audiovisuel : la preuve, Le serpent géant du Lac de l'Ombre n'est même pas drôle une fois sur deux.